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Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara]

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Autumn Stevens

Autumn Stevens

Elève de 7ème année - Gryffondor

Humeur : Méga Giga Joyeuse


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MessageSujet: Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Icon_minitimeMer 28 Mar - 14:40

Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] 953540MK13Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Gif-1-2f500e2

    Il est devenu si facile, de nos jours, de perdre goût aux petits plaisirs de la vie. Non pas que je me sentais dépressive, suicidaire ou quelque chose de tout aussi déprimant, mais je n’arrivais tout simplement plus à sourire comme je souriais auparavant. Je cherchais à comprendre pourquoi, moi, une personne qui avait toujours trouvé du positif dans chaque petits moments, dans chaque petites choses aussi futiles soit-elle de la vie, pouvait finir par sentir que la vie était morose et ennuyante. Pourtant, j’avais une relation amoureuse qui allait très bien, des amis aussi fantastiques les un des autres et qui me parlait de tout et de rien, me prouvant ainsi qu’ils avaient une confiance aveugle en moi… bref, je n’arrivais tout simplement pas à mettre le doigt sur ce qui me mettait maintenant si en colère, qui me rendait si triste et difficile à vivre. Pas une peine d’amour, tout allait bien de ce côté, pas une amitié perdue, tout le monde était encore auprès de moi et l’on s’entendait encore très bien… En fait, j’étais peut-être, tout simplement, un peu mélancolique de ma vie passée… j’avais peut-être simplement besoin de prendre un peu de recule pour penser à autre chose que ma vie de sorcière.

    Zonko me paraissait l’endroit idéal pour tenter de mettre un peu de bonne humeur et de joie dans ma vie. Quand on déprime, même sans en connaître la raison, c’est parfois le rire le meilleur remède pour nous remettre sur pied. Après tout, s’il existait dans le monde des moldus une thérapie par le rire, c’était bien pour une raison ! De plus, je me connaissais assez bien pour savoir qu’une bonne partie de rire allait me remettre sur pied et que j’oublierais alors très facilement mes petits malheurs. J’aurais très bien pu rester dans la salle commune a écouter les jeunes élèves de première année se plaindre de leur devoir pour rire un peu, mais même à ça, je n’avais pas le cœur de le faire et, de toute façon, j’avais une tête à faire peur aux morts, donc autant quitté un peu Poudlard pendant que j’en avais encore le droit. Heureusement pour moi, nous étions la fin de semaine et je pouvais quitter l’enceinte du château sans craindre de me faire choper par un professeur en me promenant illégalement dans les couloirs. Je laissais un petit mot à ma meilleure amie, simplement pour lui signaler que j’étais à Pré-au-lard, dans l’optique où quelqu’un me cherchait. Je savais d’avance qu’elle serait la première personne que les autres iraient voir pour me retrouver.

    L’air frais de l’extérieur me fit, déjà, le plus grand bien. Je marchais doucement, laissant tous les autres élèves presser de se retrouver dans les rues de Pré-au-lard me dépasser en grognant un peu devant ma lenteur. J’avais toute la journée devant moi, alors je ne comprenais pas pourquoi je devrais me dépêcher. Nous étions la fin de semaine, le temps était ensoleillé et l’on pouvait entendre, de loin, les oiseaux qui chantaient le beau temps. Pourquoi être aussi presser de commencer une belle fin de semaine et, surtout, pourquoi rendre les autres de mauvaise humeur comme ça, sans raison, simplement pour le plaisir de mettre une personne de mauvais poil par une aussi belle journée ? J’allais l’attraper par le col de son chandail, ce petit Serpentard, et lui montrer les bonnes manières en faisant perdre quelques points à sa tendre maison, petit privilège d’une préfète en chef, quand je me repris aussitôt. Théoriquement, il n’avait rien fait de mal, et je ne voulais pas me retrouver dans le bureau du directeur après une plainte de sa part. J’avais toujours été une bonne élève, je m’appliquais bien dans mes cours et je prenais toujours les moyens pour réussir lorsque j’avais de la difficulté, il était donc hors de question que je me retrouve avec une petite note dans mon dossier pour la simple et bonne raison que j’étais de mauvaise humeur et déprimé !

    Les rues étaient bondées d’élèves en quête d’articles en rabais, de fournitures scolaires de dernière minute et de couples amoureux qui profitaient de leur petit moment d’intimité, petit moment impossible à trouver dans un château bondé de monde comme Poudlard. Trouver un coin tranquille dans l’enceinte de l’école, c’était un peu comme trouver une aiguille dans une botte de foin, c’est-à-dire, pratiquement impossible… à moins de connaître l’endroit tant recherché qu’était la salle sur demande. C’était peut-être le seul endroit où l’on pouvait se retrouver sans la crainte d’être pincer. Je dépassais ses couples rêveurs et complètement dégoûtants (je vous avais bien dit que j’étais de mauvais poil et pas d’humeur à rire) pour m’arrêter devant le magasin que je recherchais, justement. Zonko m’ouvrait grand les portes. Un petit sourire en coin apparut sur mon visage et je tendis la main vers la poignée pour entrée. Je sursautais quand cette dernière s’ouvrit à la volée pour laisser passer une petite fille, noire de la tête aux pieds et les cheveux en pétard, sous les rires méchants de la clientèle. Soudainement, mon idée ne me parut pas aussi bonne qu’elle ne l’avait été au début… mais je ne pouvais plus reculer, maintenant ! Je pourrais peut-être trouver mon remède entre ces murs, tout comme un petit coup de barre en plus.

    En entrant dans le magasin, la première chose qui me frappa, se fut l’odeur de fumée qui planait, probablement suite à l’expérience de la petite fille que j’avais croisée en tentant d’entrer dans la petite boutique chérie des étudiants de Poudlard. Il y avait encore quelques traces de fumée ici et là, rendant la visibilité moindre… mais les clients ne semblaient pas s’en formaliser plus qu’il n’en fallait. Je me mis donc à fouiner un peu à droite et à gauche, à la recherche de l’objet fétiche qui pourrait enfin me rendre le sourire quand j’entendis, derrière moi, une petite explosion qui me fit quitter momentanément le sol. Je me retournais pour voir un groupe de Serpentards, autour d’une table, qui invitait les petits de première à toucher un objet qui explosait alors à leur visage, pour leur plus grand plaisir. Les pauvres premières sortaient en pleurant et je compris aussitôt ce qui s’était produit pour la petite fille qui avaient quitté le magasin sous les moqueries. Mon poing se sera et j’approchais de ce petit groupe, remarquant qu’ils étaient tous en deuxième. À la simple vue de mon regard, ils prirent leur jambe à leur cou et quittèrent. J’eus enfin mon premier vrai sourire.

    Je tournais le coin, tentant de chercher quelque chose qui ne serait pas trop dangereux, mais assez amusant, pour me permettre de faire un mauvais coup à une personne de mon entourage. Je n’étais pas de nature comique à ce point, habituellement, prenant plutôt mon humour dans les paroles que dans les gestes, mais cette fois c’était pour mon bien et pour le changement. Personne ne se douterait que je pouvais me rendre à cet extrême et, surtout, la surprise sur leurs visages finirait probablement par me remettre de bonne humeur. Je pris alors quelque chose entre mes mains, quelque chose qui ne semblait pas mortel ou imprévisible. La petite boule ronde entrait très bien dans ma main et ne bougeait pas, si bien que j’en finis par croire qu’il était brisé. Je le regardais sous toute les coutures avant de remarquer qu’une drôle d’odeur planait maintenant autour de moi. Je me mis à tourner sur moi-même, ma trouvaille entre les mains, commençant à croire qu’une personne avait malencontreusement laissé échapper un gaz tout près de moi. L’odeur devint alors de plus en plus forte, devenant complètement insupportable. Commençant à me douter de quelque chose, je portais la petite boule à mon nez pour la humer quand… l’odeur me prit à la gorge et me fit laisser tomber la petite boule à mes pieds. C’était cette chose qui dégageait cette odeur, au contact de la peau. Aussitôt, je mis un bon coup de pied à cette chose qui roula jusqu’au pied de quelqu’un d’autre, qui commença aussitôt à se poser les mêmes questions que moi, quelques minutes auparavant.

    Je tournai légèrement sur moi-même, quand je vis une petite tête brune, comme la mienne, tendre la main vers cet objet infernal. Pendant un moment, l’envie de vint de ne pas parler et de rester là à la regarder vivre la même expérience que moi… mais la pensée que cette réaction était un peu trop Serpentarienne me fit culpabilisé. J’avançais donc doucement vers elle, presque timidement, éloignant sa main de cette chose, sans étiquette et description pour les consommateurs. Vraiment, les gens pouvaient être complètement malsains à ce point !

    "À votre place, je ne toucherais pas à ça. J’ai vécu cette expérience et c’est plutôt dégoûtant… Regardez par vous-même !"

    Je pointais alors en direction de la personne vers qui j’avais botté la boule. Cette personne avait la tête dans un tonneau de fourniture et vomissait à pleine bouche, alors que le propriétaire de la boutique lui disait des bêtises pour le faire culpabilisé et, surtout, trouver le moyens de rembourser tout le stock perdu.
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Clara Ramagny

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MessageSujet: Re: Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Icon_minitimeVen 30 Mar - 18:29

Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] 966514petitelenaTiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] 321521petiterk

Il y a certains jours où on se lève, là exactement comme ça, les yeux tout petits comme si une drôle de bête nous les avait piqué pendant notre sommeil, les cheveux formant une étrange couronne au-dessus de notre tête, un mal de tête semblable à l'effet qu'aurait produit cinq élèphants qui vous aurez labouré le crâne... Et moi j'ai envie de dire que quand ce genre de chose vous arrive vous n'avez alors plus qu'une envie vous rendormir ! Seulement bien évidemment cela ne vous arrivez jamais le week end mais toujours en semaine, du coup en élève modéle que vous êtes vous vous levez quand même pour assister, la tête dans le cul, aux cours géniaux que vous avez, sinon ça ne serait pas drôle... Enfin bref la journée ne fut pas merveilleuse et j'avais été tout au long de celle-ci d'assez mauvaise humeur. Par chance je n'avais cours que le matin et mes chers camarades eurent à supporter mes sautes d'humeur que durant trois heures... De toute façon ces derniers temps ils en avaient l'habitude, ma fierté n'avait jamais été aussi haute, peut-être pour compenser la tristesse qui m'habitait au plus profond de moi.

Enfin l'après midi commença et je pus profiter de la solitude. Durant le chemin qui me mena à ma salle commune je remerciais le ciel d'avoir fait que je ne le croise pas lui... Je n'aurai pas aimé qu'il me voit si faible face à mes sentiments, si sensible, si vulnérable... Et pourtant j'étais incapable de le fuir, bien souvent j'avais même l'impression d'être trop collante... Assise sur mon lit je me forçais à penser à autre chose, car sinon je savais que j'en perdrai l'appétit et que je n'en dormirai pas... Maxime n'était qu'un gars comme un autre, je me prenais trop la tête pour ça il fallait absolument que j'arrête ça ! Et maintenant ! Enfin je veux dire que je suis déjà tombée amoureuse, du moins je le soupçonnais, j'avais embrassé quelques garçons, on s'était tenu par la main en se murmurant qu'on s'aimait, mais jamais je n'avais été aussi obnubilée par mes sentiments... En fait je m'en fichais qu'il m'aime, du moins je m'étais persuadée que cela n'était pas possible pour ne pas en souffrir et pour me contenter timidement d'être toujours là si un jour il en aurait besoin... Mais ce que je ressentais bientôt ça ne s'appellera plus de l'amour mais de la véritable obsession ! Que je pouvais être béte des fois ! J'étais belle, intelligente, j'avais de l'humour juste ça ça aurait pu suffire à sortir avec maints garçons, enfin l'humour ça n'attire pas mon père m'avait dit un jour, on ne va pas aimer une fille parce qu'elle est drôle... Enfin tout ça pour dire que l'être humain est un insatisfait de nature, il veut toujours ce qu'il ne peut avoir. Furieuse contre moi-même j'abatis un poing contre la couverture, essuyant la seule larme trahissant ma faiblesse avec l'autre main. Jamais je ne me laisserai anéantir par une personne, encore moins par un gars !

Je me levais, ressentant le besoin fondamental de changer d'air. Si le monde moldu avait été plus près sans nul doute serai-je allée au cinéma, c'était toujours ce que je faisais quand ça n'allait pas... Une bonne petite comédie, un paquet de pop corn et le moral revenait tout seul. Seulement on était perdu un peu au milieu de nul part loin de la civilisation normale... Je me contentais donc de prendre mon vieil MP4 et d'écouter des chansons peu connues et souvent légèrement paillardes, profitant d'être seule pour les fredonner, cela ne me redonna assez le moral pour que je me décide enfin à sortir de mon lit.

Tandis que j'arpentais le dortoir de long en large et en travers un nouveau besoin oppressant s'installa à moi : j'avais besoin de prendre l'air ! De marcher, de courir, de gambader peu importe mais de sortir ! Je décidais donc de me rendre à Pré-au-Lard. Malgré mes sept années passées à Poudlard je m'étais rarement rendue à cet endroit, c'est peut-être ce qui me poussait à y aller. J'avais besoin de me changer les idées, j'avais besoin de voir et de faire quelque chose de différent, j'avais besoin de me sentir vivre... Pour les sensations fortes il y avait la Maison Hantée... Hantée parce que le dénommé Remus Lupin se changeait en loup-garou là-bas... Depuis quelques temps déjà ce dernier était mort, il n'y avait donc plus rien d'amusant à aller s'aventurer dans cet endroit à part pour entendre le plancher grincer... Encore à plusieurs on pouvait s'amuser je n'en doutais pas mais seule le temps devait passer si lentement !

Le désavantage de sortir en ville et surtout ici c'était qu'on ne s'entendait plus penser tellement il y avait de bruit... On pourrait croire que les gens jouaient à qui crierai le plus fort... Quoique je ne savais pas si c'était un mauvais point de ne plus s'entendre penser... C'est alors que je vis un groupe de serpentard sortir de chez Zonko en courant, une lueur de peur dans leur regard. Cela m'intrigua et m'amusa beaucoup. Qu'est-ce qui avait bien pu se passer ? Telle était la question... Une blague qu'ils avaient voulu faire à des plus jeunes qu'eux c'était retournée contre eux ? Cela métonnerait en général ce genre de blague ça se voyait au premier coup d'oeil quand on les subissait. Alors restait qu'ils avaient été sévèrement punis par le gérant de la boutique... ou par quelqu'un d'autre.

Je tournais la poignée en bois, poussais la porte et pénétrais à l'intérieur. Je n'avais jamais mis les pieds à Zonko... Je savais que cette boutique était super bien réputée, en sept ans j'aurai pu au moins y mettre les pieds par curiosité mais cette envie ne m'avait jusqu'alors jamais pris. Et il a fallu que j'attende d'aller mal pour trouver cet endroit particulièrement intéressant. Il régnait ici une odeur de brûlé qui irritait légèrement les narines. La pièce était assez sombre, mais dans la semi pénombre je discernais plein d'objets tous plus étranges les uns que les autres. De peur de réaction étrange, je me contentais de les regarder, complètement fascinée par leur originalité. Je me promis qu'au prochain anniversaire de mon paternel j'irai acheter quelque chose ici.. La pièce était plutôt vide à part deux élèves, dont une que j'étais persuadée de connaître. Ayant envie de me changer les idées je m'approchais d'elle. Ce fut à ce moment là qu'elle fit tomber une sorte de petite boule... Je me penchais pour la ramasser et la lui rendre, lorsqu'une crise de nausée m'envahit ! Il fallait que je vomisse ! A peine eus-je cette pensée que cela partit tout seul, et cela ne semblait pas vouloir s'arrêter. Je cherchais un carton pour ne pas vomir partout dans le magasin, ma gorge me brûlant énormément ! Je regardais mon vomis venir colorer l'intérieur de la boite, complètement sidérée. Genre qu'on pouvait vomir autant ! Mais j'avais mangé quoi bordel pour qu'il y ai tout ça dans mon estomac ? Pendant ce temps le propriétaire était occupé à m'engueuler.. Bien évidemment dans l'état actuel où j'étais j'étais incapable de lui répondre... Je tressaillais à chaque fois que la sonnette de la porte d'entrée s'ouvrait, j'avais si peur qu'on me voit. Je me sentais tellement mal et j'étais tellement humiliée. Enfin je réussis à me calmer... Les hauts le coeur passèrent tandis que je comprenais enfin à cause de quoi j'avais réagi si violemment. La fille qui se tenait devant moi ! Tout était de sa faute ! L'avait-elle seulement fait exprès ?


- Mademoiselle j'exige...
- .. des kleenex ! S'il vous plait donnez moi des kleenex.


Le vendeur me regarda alors avec une drôle de tête, coupé en pleine phrase,, et médusé par ma réaction. Il était plutôt grand, et musclé, en fait ce n'était pas du genre à se faire couper. Il disait quelque chose et on le respectait. J'étais peut-être la première à lui demander des mouchoirs.. Mais il ne fallait pas abuser, le vomi part avec un sort de magie... Pas le gout que j'avais dans ma bouche... Je me tournais alors, pivotant vers la jeune brune responsable de mon malaise, mes yeux brillant de colère mais je me refusais à l'attaquer même s c'était la première chose que j'aurai eu envie de faire. Je ne pouvais pas la blesser, elle l'avait peut-être pas fait exprès. En tout cas elle avait intérêt à s'excuser bien platement... Je me sentais si misérable, si stupide... La chose qui m'était arrivée aurait suffi à me faire pleurer si je n'avais pas un super grand égo qui m'empéchait de me lamenter pour si peu. Les larmes sont précieuses et c'était certain je ne les gaspilerai pas pour rien. Cependant je n'osais parler et me contenter de la regarder,attendant quelques petites secondes qu'elle rompe le silence avant que je céde à cette force bestiale qui m'habitait et réclamée vengeance.
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Autumn Stevens

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MessageSujet: Re: Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Icon_minitimeMer 25 Avr - 18:36



Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* / CLARA&AUTUMN

Bien entendu, lorsque je tentais de corriger mes erreurs, ce n’était jamais concluant. Résultat, j’avais sauvé une personne d’une asphyxie totale, mais j’en avais importuné une autre qui, elle, ne semblait vraiment pas dans son assiette. Je la regardais vider ses trippes dans se caisson, le cœur se serrant atrocement. Dire que c’était de ma faute si cette personne se retrouvait dans cette situation dès plus humiliantes devant de nombreux clients, dont certain qui devaient sûrement appartenir à la terrible maison des serpents, une maison qui n’hésiterait pas à raconter cette histoire à toute l’école et à la propagée en quelques heures. Je passais une main dans mes cheveux pour tenter de les aplatir, bien qu’ils soient déjà plats, mais rien n’arrivait à changer mon mal de place. Je regardais mon voisin quitter le kiosque en me disant que j’aurais probablement autant de succès qu’elle et qu’il serait peut-être pour le mieux que je prenne mes jambe à mon coup. À cette simple idée, je fus prise de terrible remords. Je ne pouvais tout de même pas la laisser comme ça !

D’un pas timide, je m’approchai d’elle au moment où elle tardait son regard glacial et meurtrier sur moi. Aussitôt, je me figeai sur place, incapable d’approcher de nouveau, ressentant toute la haine que cette personne ressentait envers elle. C’était pourtant claire que je n’avais pas fait exprès et que c’était l’odeur nauséabonde qui m’avait monté au nez qui était à l’origine de tout ce malheur. Ravalant ma gêne et la tristesse qui ravageait mon cœur, je m’approchai tout de même de la jeune femme au visage vert maladif et de l’employé du magasin qui semblait sur le point de lui arracher les cheveux si elle ne la remboursait pas sur le champ. Je déposai alors ma petite main froide sur le bras immense de l’homme et le regardai dans les yeux :

Il ne faut pas lui en vouloir, monsieur. Tout ça, c’est de ma faute à moi. J’ai laissée tomber la boule sous l’effet de la surprise et, comme l’odeur était insoutenable, je l’ai botté sans regarder et elle a atterrit à ses pieds. Je vais payer pour les dégâts… votre prix sera le mien.

Doucement, d’une main tremblante, je sortis de ma poche la petite bourse dans laquelle je gardais précieusement mes gallions. Je ne gagnais pas des tonnes et mes parents me donnaient tout juste assez pour subvenir à mes besoins scolaires, mais je savais que rien de tout cela ne serait arrivé si je n’avais pas touché cette chose immonde. Grognant quelque chose d’incompréhensible, l’employé se dirigea vers le comptoir, semblant se calmer un peu. Il reviendrait probablement plus tard pour que je paie mon dû. Replaçant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, je jetai un petit regard de côté vers celle qui venait de vider ses tripes dans le stock du magasin. Elle me disait vaguement quelque chose, mais je n’arrivais pas à mettre le doigt sur son nom ou, encore, sur la relation qui nous liait peut-être. Mordillant ma lèvre inférieure, je lui dis d’une voix qui tremblait beaucoup plus que je ne l’aurais voulu :

Vraiment... je suis désolée ! Je ne voulais pas, j'ai... j'ai laissé tombé la boule quand l'odeur m'a monté à la tête. Je... je croyais pas que quelqu'un allait la ramasser, ça sentait tellement mauvais comme... comme une poubelle qu'on laisse sous le soleil cuisant d'un mois d'août !
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O. Axel Deboissy

O. Axel Deboissy

Medicomage à Ste Mangouste


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MessageSujet: Re: Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Icon_minitimeVen 13 Juil - 10:07

le rp est il toujours d'actualité?
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MessageSujet: Re: Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Tiens... c'est quoi ça ? *PAF!* [Clara] Icon_minitime

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