Une mise au point s'impose {Pv Anne}

Depuis la mort de ma mère, j'étais devenue une autre personne. Une personne qui cherchait le pouvoir pour pouvoir venger ma mère. Je n'acceptais toujours pas et je ne l'accepterai jamais, le comportement qu'on eu ses collègues envers elle. Je trouvai cela totalement déplacé de leur part. Mais maintenant que je me trouvai déjà assez dans la hiérarchie du Ministère, j'avais une influence sur les lois et sur la Ministre de la magie elle-même. Mon nouveau caractère qui se traduisait par mes méthodes peu appréciées mais aussi par mes paroles totalement décalées parfois, allait m'aider dans mon nouveau rêve : être ministre à la place du ministre. Je n'avais rien contre Anne O'Lauglhin mais elle se trouvait au mauvais poste voilà tout. Ma stratégie était simple : me rapprocher d'elle pour pouvoir mieux contrôler certains points. Maintenant, il fallait que je mette en pratique cette stratégie que je qualifierai d'extraordinaire. Normal j'en étais l'inventrice. Et oui il fallait bien que je me flatte un peu car si je comptais sur ce que je dois appeler collègue, je n'aurai que des mots pessimistes.

Je me trouvai dans mon bureau, à côté de celui de la ministre. Je traitai une affaire qui concernait Poudlard. J'avais demandé de faire une petite enquête vite fait pour savoir l'éducation que recevait les élèves dans cette école. Et d'après les premiers résultats, j'allai devoir intervenir. Ce qui pouvait paraitre étrange, c'était le fait que je m'intéressais, depuis quelques semaines, à cette école. Pourquoi ? Pour le pouvoir bien évidemment. Je pouvais faire tomber le directeur et prendre sa place par exemple. Je devais avouer que j'avais de ces idées en tête parfois. Mais c'était moi : Jennifer Bridgit Sylvester.
Je pris le dossier sur cette affaire à Poudlard et je me levai de mon fauteuil en cuire, rouge pourpre. J'adorai cette couleur, cela reflétait mon pouvoir et ce que je représentais pour le ministère. Je pris la direction de la porte de la ministre et frappa par politesse. "Politesse" un mot qui ne faisait pas trop partit de mon vocabulaire mais que je devais appliquer pour l'instant pour ne pas faire de mauvaises images de moi-même. J'entendis un petit "entrée" et je fis alors mon apparition dans le bureau d'Anne. Je m'arrêtai devant elle, le dossier à la main.

- Bonjour madame la ministre ! Merci tout d'abord de me recevoir. J'aimerai vous parler d'une enquête que j'ai demandé de faire en ce qui concerne Poudlard. Et voici mes résultats.

Je posai le dossier sur le bureau de ma supérieur et pris place dans un fauteuil. Au premier abord, on pourrait croire que je n'avais pas envie de prendre la place de la ministre mais je devais la jouer fine et très rusée. Ouai, on pouvait dire que je faisais la focul ! Et fière de la faire !

- Si je puis me le permettre, j'aimerai donner mon avis. Je pense que le ministère devrait intervenir dans cette école, comme Ombrage la fait. Cela date je le sais mais l'avenir de vos futur concitoyens est en jeu. Je préconise que l'on mette en place une évaluation du personnel de Poudlard. Je trouve que certains professeurs sont jeunes et douteux aussi parfois. Enfin ce ne sont que les conclusions de ce premier rapport bien évidemment.

Je croisai mes mains en attendant la réponse d'Anne. Je la mettais à l'épreuve mais je savais aussi que c'était une femme très intelligence et aussi rusée par moment. Elle allait sûrement me sortir une solution miracle ou bien me dire que ce n'est pas de notre ressord, bien que là, je pourrai la contredire. En politique, il fallait trouver les bons mots et les placer au bon endroit. C'était pour cela que j'avais choisi de travailler au ministère : je savais que j'avais ma place.

Même si j'avais beaucoup de choses à faire ce jour là, je ne me sentais pas surchargée, chose rare chez moi. Je triai mes papiers, seule dans mon bureau avec pour unique compagnie les quelques portraits d'ancien ministre accroché sur le mur. J'avais fais en sorte de faire taire quelques un étant donné qu'ils n'arrêtaient pas de piailler à droite à gauche, soit pour se disputer entre eux, soit pour dire que je faisais mal mon travail ou juste histoire de parler. Autant le dire, il y avait des fois où rester enfermés avec ces peintures n'étaient pas une réelle activité de plaisir, surtout quand il fallait se concentrer.
Aujourd'hui, ils étaient silencieux et que grand bien m'en fasse. Je me sentais apaisée, comme si rien au monde n'allait me déranger. Bien sur, j'étais loin du compter mais c'était la pensée que j'avais en ce moment même. Cela faisait du bien un moment de calme comme celui ci. Il ne manquait plus qu'une longue détente et un grand moment de repos et ce serait parfait. Parfois je me demandais si je ne me démenais pas tellement que j'en perdais la boule. J'avais tellement de choses à gérer... pourtant, rien ne semblait être menaçant. C'était pas forcément bon signe de penser ainsi car le danger arrivait toujours au moment et à l'endroit où on s'y attendais le moins. Mais que fallait il viser alors?

La porte s'ouvrit et la secrétaire que j'avais employé apparut alors. Je levai la tête pour la voir puis me remis à ma préoccupation du moment.

"Bonjour madame la ministre ! Merci tout d'abord de me recevoir. J'aimerai vous parler d'une enquête que j'ai demandé de faire en ce qui concerne Poudlard. Et voici mes résultats." annonça-t-elle comme une fleur.
Je relevai la tête et lui adressai un regard curieux et à la fois hésitant. J'étais en train de me demander ce que je devais penser de cette initiative. Ma secrétaire déposa alors le dossier sur le bureau mais j'attendais qu'elle s'explique avant d'y jeter le moindre coup d’œil.

"Une enquête à Poudlard?" répétai-je presque ahurie.
"Si je puis me le permettre, j'aimerai donner mon avis. Je pense que le ministère devrait intervenir dans cette école, comme Ombrage la fait. Cela date je le sais mais l'avenir de vos futur concitoyens est en jeu. Je préconise que l'on mette en place une évaluation du personnel de Poudlard. Je trouve que certains professeurs sont jeunes et douteux aussi parfois. Enfin ce ne sont que les conclusions de ce premier rapport bien évidemment."
répondit-elle de façon très déterminé et sur d'elle. Je restai un moment figée sur place à la regardant en clignant des yeux. Des tas de pensées me traversèrent l'esprit et je ne savais pas quel fil tirer.

"Vous avez fait une enquête à Poudlard?" répétai-je en cachant ma colère, détachant chaque syllabe de mes mots histoire de bien réaliser ce qu'elle était en train de me dire. Puis je me fis décontractée et posai mes coudes sur la table pour entrer dans le jeu.
"Ma chère madame Sylvester, vous savez, je vous aime beaucoup. Mais, au cas où vous l'ignoriez, John O'Lauglhin a employé des enseignants Auror au sein de l'établissement. Ainsi, voilà ma question : savez vous pour qui travaille les Aurors?"
Je levai un sourcils en attente de réponse. De toute façon, j'étais loin d'en rester là et j'avais très bien vu les engrenages tourner.

En entrant dans le bureau de la ministre, j’avais en tête une idée bien précise. Le sujet qui concernait Poudlard n’était qu’un simple moyen pour mettre cette femme à l’épreuve. Et je savais qu’elle n’était pas idiote et qu’elle allait certainement me contredire. Mais ce n’était qu’un détail cela car je savais que j’allai trouver un truc pour lui répondre. Le dossier sur l’enquête à l’école à la main, je frappai à la porte et j’entrai. Dès mon entrée, j’exposai les faits concernant l’école de magie et comme je m’en doutai, la ministre fut assez surprise. La pauvre, j’allai pourrir sa journée mais ça je m’en foutais royalement. Je posai le dossier sur son bureau et j’entendis le son de ces paroles. Elle répéta même deux fois l’expression « une enquête à Poudlard ». Ça avait dû lui rester dans la gorge. A chaque fois qu’elle le disait, je faisais un sourire en coin et baissais ma tête en avant en lui faisant un signe de la tête pour lui dire « oui ». Je n’aimais pas me répéter et puis vu qu’elle avait redit cette expression plusieurs fois, elle avait compris pour ma part. Puis elle me rappela le fait que le directeur de Poudlard avait employé des Aurors et me demanda par la suite pour qui travaillait les Aurors. Me prenait-elle pour la derrière des cruches ou quoi ? En tant que sa secrétaire je savais cette information.

« Les Aurors travaillent pour le ministère madame. Et c’est bien ça le problème si je puis me le permettre. Ces Aurors donnent une mauvaise image du ministère avec de telles attitudes ! Faudrait, je pense, faire une relève et les changer. Je vois pas pourquoi Mr O'Lauglhin serait contre cette avis n’est-ce pas ? »

Ben oui pourquoi le directeur de Poudlard serait contre ? Personnellement je ne voyais pas pourquoi il serait contre mais avec la ministre, je devais me méfier en plus c’était son mari. Cela n’allait pas arranger mes plans. Le ministère et l’école avait soudé des liens encore plus fort. On pourrait croire que je voulais tout faire pour qu’il y ait le chaos dans le monde des sorciers en donnant plus de chance aux forces du mal pour y faire. Mais c’était totalement caricatural. Je savais certes que mes actions pouvaient leur être favorables. Mais cela ne constituait pas mon principal objectif. Non moi je voulais le pouvoir et le respect. Pourquoi le respect ? Même en tant que la secrétaire de la ministre, très peu de personne au sein du ministère me respectait. Et je ne savais pas pourquoi. J’étais désagréable certes, mais pas avec tout le monde. Mais comme je me disais souvent, je n’étais pas au sein du ministère pour faire plaisir aux gens. Non, je m’en fouettais de leur pensée sur moi.
Bref, je devais me concentrer sur mon petit exposé qui allait me servir, je l’espérais, de preuve pour montrer que le système de Poudlard devait être revue et que j’étais la seule personne apte à redresser la situation. Je continuai alors sur ma théorie bien que je savais que la ministre allait être contre. Surtout que j’allai critiquer son mari. Mais il fallait voir la vérité en face aussi.

« Alors je reprends… voyez-vous madame, je pense que c’est tout le système éducatif qu’il faut revoir à Poudlard d’où ma proposition de test pour les professeurs. Quant au directeur, peut-être devrait-il penser à passer la main ? Du renouveau fait parfois du bien. Il faut que vous vous concentriez sur vos concitoyens. Poudlard doit être un endroit correct et non un bordel…. »

J’avais un vocabulaire assez familier mais tout le monde le savait cela. Je parlais comme je pensais car l’honnêteté était importante pour moi. Je ne voyais pas, en plus, un autre qui pourrait qualifier mieux la situation de Poudlard. Lors de mon enquête, qu’est-ce que je voyais ? De la drague, des baisers par-ci par-là, comme si j’étais dans un club échangiste moldus. Horrible, mes pauvres yeux… et puis j’avais remarqué le fait que certains Aurors étaient très proches de certains élèves. Je ne pensais pas qu’on avait envoyé des Aurors pour draguer des filles.
Maintenant, j’attendais la réponse de la ministre. Oh je savais qu’elle allait prendre la défense du directeur mais par contre, elle n’allait pas pouvoir faire grand-chose en ce qui concernait les Aurors. Sur ce coup, j’allai gagner car si elle ne voulait pas d’enquêtes approfondis au sein de Poudlard, je savais que je pouvais sur mon journaliste pour faire diffuser de belles petites informations. Ouai, j’étais une femme sans scrupule et fière de l’être. Mon avantage, c’était que je connaissais des gens dans le monde des sorciers comme des avocats mais aussi des journalistes, dont mon journaliste « privé » le seul à qui je pouvais permettre de me poser des questions sans que je lui gueule après.

J'ignorais comment je devais prendre les paroles de Jennifer Sylvester. Elle disait tout ceci avec une telle confiance et détermination que c'en était presque déroutant. Je l'écoutais, là, assise sur la chaise de mon bureau, à me demander quand est ce qu'elle aura bientôt terminé, à cligner des yeux à chaque phrases qu'elle terminait.

« Les Aurors travaillent pour le ministère madame. Et c’est bien ça le problème si je puis me le permettre. Ces Aurors donnent une mauvaise image du ministère avec de telles attitudes ! Faudrait, je pense, faire une relève et les changer. Je vois pas pourquoi Mr O'Lauglhin serait contre cette avis n’est-ce pas ? »

Je cherchais à savoir quoi lui répondre et plusieurs phrases se disputaient la place pour s'échapper de ma bouche. J'étais à la fois abasourdie et en colère. Qui étais-ce cette femme, à exiger tant de choses alors qu'il y avait largement plus important à se préoccuper, comme des inquiétudes vis à vis de mage noir susceptible d'attaquer l'école, par exemple? Cela dit, elle semblait savoir beaucoup de choses et je ne savais trop comment le prendre.
Ainsi, je fronçai les sourcils et me mis en position debout. Cependant, je n'étais pas au bout de mes surprises.

« Alors je reprends… voyez-vous madame, je pense que c’est tout le système éducatif qu’il faut revoir à Poudlard d’où ma proposition de test pour les professeurs. Quant au directeur, peut-être devrait-il penser à passer la main ? Du renouveau fait parfois du bien. Il faut que vous vous concentriez sur vos concitoyens. Poudlard doit être un endroit correct et non un bordel…. » avait-elle dont ajouté. Cette fois ci, c'en était trop. Je me penchai vers mon bureau en la fiant des yeux. Il fallait que je tente de maitriser ma colère, chose non facile, surtout que j'étais fatiguée, très fatiguée.

"Mademoiselle Sylvester, j'apprécie vos initiatives à prendre de telles idées mais puis-je savoir COMMENT vous pouvez oser dire de telles choses? Qu'avez vous fait, puis-je le savoir, et surtout, sous quels ordres? Il ne me semble pas vous avoir demandé de faire quoique se soit et si le directeur a eu de la visite, je pourrais savoir POURQUOI je n'ai pas été mise au courant?"

Je me rassis d'un seul coup et respirai un bon coup. J'avais la tête qui tournait légèrement à cause de la fatigue et il me manquai de café. Je me sentais assez légère, ce qui était assez mauvais. Mon esprit avait peu de place pour la réflexion, mais je faisais néanmoins l'effort de réfléchir tout de même, c'était la moindre des choses. J'ignorai où la conversation mènerait mais je m'efforçai de garder mon calme le mieux que possible. Je n'avais pas vraiment la tête à gérer une embrouille en ce moment même et si je pouvais faire cela du mieux que possible et surtout le plus vite, ce serait parfait.

"Les Aurors sont là pour protéger l'école" poursuivis-je de façon un peu plus calme. "Ils ont toujours été fidèles à leur convictions, d'autant plus que le directeur et moi les connaissons bien ainsi que leur capacité à faire leur travail. Je n'ai pas de temps à perdre avec de simples impressions ou de rumeurs que se seraient monté les élèves entre eux. Une école est une école, pas une prison."

Je pinçai les lèvres en la regardant droit dans les yeux. Puis je souris et pris une plume, commençant à griffoner de lettres un parchemin au dessus de moi.

"J'ajouterais que mon mari a toujours 'la main' comme vous dites et que jusqu'ici, tout semble... bien se passer. Du moins, aucune attaque ne semble montrer le bout de son nez mais on est jamais trop prudent."

Je continuai alors mon récit si je pouvais le qualifier de tel, sur mon enquête à Poudlard. Pour l'instant, la ministre n'avait pas trop fait d'interruption ce qui me fit faire un léger sourire. Je pensais qu'elle allait me donner raison et allait être fière de moi, du travail que je venais de fournir. Mais c'était ce que je croyais et mes pensées différaient souvent avec celles des autres. Malheureusement ! Je venais de terminer mon exposé sur ma visite à l'école de sorcellerie et j'attendais alors la réaction de la ministre. Réaction qui allait comme toujours me surprendre. Une femme surprenante, je devais l'avouer.
Et bien soit elle ne m'aimait pas, soit j'étais maudite avec elle car mon initiative ne plus pas du tout à la ministre. Elle voulait des réponse à ses questions. Et je devais lui en fournir si je voulais conserver ma place de secrétaire que j'ai eu tant bien que mal. Comment je pouvais oser dire ça ? Et bien j'avais envie de lui répondre : "parce que je suis Jennifer Sylvester" mais je préférai m'obstenir. Mais je ne pouvais changer mon comportement pour une seule personne et même si cette personne était la ministre elle-même.

« Et bien ce que j'ai fait ? Je suis allé faire un petite enquête sur cette école en évaluant les compétences de professeurs ainsi qu'en regardant les comportement des adultes : aurors et enseignants. Ce fut mon initiative personnelle. Vous êtes débordés de travail et je devais m'en charger. Il fallait bien y faire un jour ou l'autre n'est-ce pas ? Je sais bien que j'aurai du vous prévenir mais vous déranger pour ça alors que vous avez mieux à faire je pense... »

Puis la ministre fit une brève appartée sur les Aurors et leur travail dans l'école. Je ne contredisais pas trop le fait qu'ils faisaient du bon travail mais c'était la manière dont il le faisaient. Bien que pour moi, c'était surtout le résultat qui comptait. Et puis je n'ai jamais comparé l'école à une prison mais plutôt à un bordel comme disait les moldus....

«Madame, on se sait pas tout ce qui se passe à l'école avec nos Aurors. Certes ils surveillent bien mais ne font-ils pas d'autres choses aussi ? Des choses en secrets.... Et puis je ne veux pas que cette école soit une prison sinon on aurait une révolte de la population sauf qu'une école doit être au minimum correcte ! »

Argh ! Cela ne se passait pas du tout comme je l'avais prévu et cela ne pouvait que m'agasser. Mais je préférais ne pas le montrer et rester calme devant la ministre, faire bonne impression quoi. Maintenant j'avais le droit à son mari. Certes il faisait du bon travail mais il fallait savoir passer la main parfois...

«Vous dîtes qu'il n'y a pas d'attaques mais qui vous dis qu'une attaque ne se prépare pas ? Et qui vous dis qu'il n'y aurait pas des partisans chez les élèves du mal ? Il faut, comme vous l'avez si bien dit, qu'on soit prudent... J'ai peut-être une solution. Pourquoi ne pas envoyer un agent du ministère pour vérifier tout cela. Je veux dire pour faire une enquête plus interne avec la coopération de votre mari bien évidemment. Nous devons être sur de ne pas avoir une attaque sur le bras.... Vaut mieux être trop prudent que pas assez ! »

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Une mise au point s'impose {Pv Anne}

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