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Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\

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Anne O'Lauglhin

Anne O'Lauglhin

Douce Ministre de la Magie

Humeur : débordée


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MessageSujet: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /! /! Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /! /! Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeSam 25 Fév - 8:32

Il ne restait plus beaucoup de temps avant que je n'arrive à l'école. Je regardais silencieusement la fenêtre du train se déplaçant expressément pour ma personne. Rien à voir avec le Poudlard Express, je n'étais plus vraiment en âge de voyager à l'intérieur. C'était un véhicule plus... privé, plus confidentiel. Mais je n'avais pas vraiment eu le choix, c'était cela ou le balais volant et il ne fallait pas être né de la dernière pluie pour savoir que j'avais une peur bleue de monter sur ces machins. Certains moldus, eux, avaient peur de ce qu'ils appelaient "avion". Moi c'était des balais. Il était hors de question que je retente un voyage aérien, depuis la fois où j'avais vu un cousin tomber de plusieurs mètre d'altitude et s'écraser vilainement en bas. Il n'avait pas été mort mais plusieurs de ses os avaient été broyés et si nous n'avions pas vécu dans une société magique où ce genre de chose est facilement (ou pas) soignable, il aurait demeuré un légume à jamais. Et même si je savais pertinemment que les risques d'accident en train étaient envisageable, je préférais toujours m'éclater sur la terre ferme qu'en l'air.
J'avais été habituée au voyage. Au début, je n'aimais pas trop ça mais il avait bien fallu que je me fasse une raison et que je m'y habitue. Étant au poste le plus haut placé du monde des sorciers d'Angleterre, il était de mon devoir de partir un peu partout, que cela soit en Angleterre ou un peu partout dans le monde. Cette fois ci, j'avais eu plutôt de la chance, je ne devais aller qu'à Poudlard, école de magie ou moi même j'y avais fait mes études. Ce n'était pas la première fois que je m'y rendais depuis la fin de mes études et j'avais toujours été amusée à l'idée d'y revenir. Les souvenirs du bon vieux temps revenaient toujours et je me surprenais même à être un temps soi peu nostalgique. J'avais aimé étudier là bas, je trouvais cela très enrichissant et je me souvins avoir eu beaucoup d'amis. Je n'avais aucun regret quant au temps que j'y avais passé en tant qu'élève et j'espérai que ma propre fille en pensait autant.

Si je venais à Poudlard ce jour ci, c'était parce que mon mari avait réclamé ma présence. Pas pour des mamours ou ce genre là, de toute façon, il ne me ferait pas déplacer pour une chose pareille. Apparemment, il y avait de quoi discuter et j'espérai que cela ne soit pas trop grave. Ma nature anxieuse ne pouvait pas s'empêcher de refaire surface. De toute manière, j'avais entendu parler de ce qu'il s'était passé à Halloween et cela n'avait rien de très rassurant. Au ministère, rien ne semblait troubler notre quotidien. Il en demeurait pas moins que, depuis fin octobre, je me méfiait de tout le monde. Ce n'était pas nouveau, je savais pertinemment qu'il fallait que je fasse confiance en personne habituellement (enfin, façon de parler) mais là, c'était encore pis. Je n'étais pas encore au stade de la paranoïa, il en demeurait pas moins que je me préparais psychologiquement à un bouleversement complet d'un jour à un autre. Cela s'était déjà produit plus d'une fois dans notre histoire, cela pouvait se reproduire encore et j'étais sur mes gardes.
La première chose que j'avais appris en devenant Ministre de la Magie, la première chose que l'ancien ministre m'avait dite en me cédant sa place était cette phrase : "Attention à vous O'Lauglhin, nous ne sommes jamais en sécurité. N'oubliez jamais cela." Certains auraient pu prendre cet avertissement comme une foutaise, moi je l'avais bien ancré dans mon cerveau. Je n'avais pas développé une garde plus rapproché à m'en enfermer à double tour dans mon bureau mais je faisais tout de même attention. J'essayais de m'organiser le mieux possible pour qu'aucune mauvaise surprise ne nous parvienne mais on n'était jamais à l'abri d'une intelligence plus forte que la notre.

Le train s'arrêta devant les grilles de l'école. Je me levai, descendis du train à la suite de mon secrétaire personnel et le concierge ouvrit de lui même la porte lorsque nous nous approchâmes.


"Oh Madame, vous voilà enfin! J'ai été prévenu de votre arrivée mais je pensais que vous seriez plus que deux."

"Inutile de faire venir tout le Ministère" répondis-je d'une façon presque amusée. "Je ne vais qu'à Poudlard."

Il nous laissa passer et je m'aventurais ainsi dans le château d'une démarche calme bien qu'au fond de moi, j'étais à la fois inquiète et surexcitée. Combien de temps je n'avais pas revu l'homme que j'avais épousé? J'avais l'impression qu'une éternité s'était passée depuis lors. Et même si c'était pour parler de choses sérieuses et que je ne pouvais m'empêcher d'accentuer mon anxiété, je devais admettre que j'étais plutôt heureuse à l'idée de le revoir.

"Tout va bien madame?" me demanda mon secrétaire.
"Je vais très bien rassurez vous" lui répondis-je en continuant de regarder droit devant moi et en tentant de me rassurer moi même que tout allait effectivement très bien.
Nous rencontrâmes quelques élèves dans les couloirs qui nous dévisagèrent en silence et je continuai mon parcours jusqu'à arriver devant les escaliers du bureau de John. Je me tournai vers mon employé et lui ces quelques mots :


"Attendez moi là voulez vous? Je veux être seule à seule avec lui."
"Vous en aurez pour combien de temps?" me demanda-t-il poliment.
"Je l'ignore mais je vous appellerais lorsque je jugerais qu'il serait préférable que vous soyez là."

Il confirma sa compréhension par un hochement de tête et après avoir énoncé le mot de passe, je montai les escaliers à présent levés.
J'arrivai alors dans le bureau qui semblait désert. Il était toujours aussi grand avec plein de livres, le même bureau qui me donnait l'impression d'être vide à côté du miens qui débordaient de parchemins divers partout dessus. Bien entendu, mon secrétaire faisait du mieux que possible pour tout trier mais vient un moment où on ne sait plus quoi faire de tout un tas de rouleaux dont la plupart étaient, avouons le, inutile.
Je m'approchai de la fenêtre et le paysage attira toute mon attention. Vu d'ici, le sol de l'extérieur paraissait plutôt haut, ce qui était normal étant donné que le lac était juste en dessous. Je regardai les quelques élèves s'amuser sur la pelouse de la terre ferme et me mis à sourire à les voir aussi amusé. Aah, si je pouvais retourner dans le temps pour pouvoir jouir à nouveau de ces jeux là...


Dernière édition par Anne O'Lauglhin le Jeu 5 Avr - 15:01, édité 2 fois
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John O'Lauglhin

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MessageSujet: Re: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeDim 26 Fév - 10:10

John était légèrement surexcité en se levant ce matin. Il allait revoir Madame O'Lauglhin ! Et cette nouvelle le comblait de bonheur. Depuis combien de temps ne l'avait-il pas vu ? Il ne savait plus exactement, peut-être un mois, peut-être deux. Cependant il avait l'impression que cela faisait tellement, tellement plus longtemps ! Il buvait son café à petites gorgées tandis qu'il réfléchissait. C'était si dommage qu'ils ne puissent se voir qu'en période de crise! Seulement Monsieur et Madame O'Lauglhin occupaient tous les deux un poste important et étaient absorbés par leur boulot. Seulement il y avait eu l'attaque d'Halloween... Et il avait besoin de savoir ce que le Ministre de la Magie en pensait, bien sûr elle devait en avoir eu vent mais il n'en restait pas moins qu'il fallait prendre des mesures radicales pour protéger les élèves de Poudlard...

Il avait longtemps hésité à convier également le personnel de Poudlard, et il l'aurait fait si le Ministre n'était pas sa femme ou du moins qu'ils se voyaient tous les jours, seulement puisqu'elle serait bientôt là autant en profiter, non ? Il jeta un coup d'oeil à la grande pendule au-dessus de son bureau, il était dix heures, et il l'attendait à quinze heure. Soit dans cinq heures, il savait compter, c'était beau... Ainsi avait-il le temps d'aller régler certains détails... Vêtant la robe de sorcier qui lui tombait la première sous la main, il donna à manger à son hibou... En effet il n'avait pas de phoenix, en effet ce n'était qu'une grande chouette blanche, mais quelle importance ? C'est toujours mieux qu'un lézard... Quoique... Et sortit une pile de paperasses... Il détestait tellement ça ! Passer sa journée à trier des documents administratifs qui avaient une importance mineure par rapport à ce qu'il se tramait. Mais il était respectueux de son travail, et donc s'en acquittait tant bien que mal... Un léger fond sonore envahissait ses oreilles, ne l’empêchant pas de consacrer bien plus de quatre vingt dix pour cent de son attention à la tache qu'il faisait. Il se fit une nouvelle coupe de café, la sirotant doucement, faisant une petite tache sur l'un des documents officiels, peu importait ce n'était que du café... Un document l'intéressa plus particulièrement, il informait des faits et actes d'un jeune Nathaniel Rider, renvoyé pour avoir sectusembriser un élève de sa maison... C'était regrettable, tellement dommage, le serpentard avait du potentiel, et John était persuadé qu'il n'était pas mauvais, seulement il se devait de montrer l'exemple et de donner des punitions exemplaires pour que Poudlard ne soit pas une véritable foire... L'école avait une réputation à tenir...
Il était donc allé voir le serpentard et l'avait viré définitivement de Poudlard, la discussion avait été relativement tendue mais il avait fini par partir, de toute évidence il n'avait pas le choix. Le directeur lui avait exprimé sa déception, puis un nouveau regard à sa montre lui avait indiqué qu'il était l'heure de rejoindre son bureau et qu'il était déjà en retard... Pourri de gamin qui allait peut-être mettre un peu a patience de sa femme à plus ou moins rude épreuve.
Il courut donc dans le couloir, les élèves lui lançaient au passage un regard médusé, alors il les saluait de la main. Seulement la cloche sonna et les élèves se précipitèrent à l'extérieur... Bien plus compliqué pour passer entre eux... Il luttait pour ne pas se noyer dans cette marée humaine d'élèves, par chance le voyant passer la plupart des élèves s'arrêter et se mettait sur le côté, bon il devait distribuer quelques coups de coude, et le chemin jusqu'à son bureau. Il eut alors qu'à prononcer le mot de passe pour pouvoir grimper les escaliers... Et arrivé en haut il y découvrit sans surprise sa petite femme en train de regarder dehors. Même de dos elle était superbement attirante... Il ne tarda pas à la rejoindre, passant ses bras autour de sa taille.


- Tu m'as manqué Anne. fut la première phrase qui lui vint en tête.
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Anne O'Lauglhin

Anne O'Lauglhin

Douce Ministre de la Magie

Humeur : débordée


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MessageSujet: Re: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeDim 4 Mar - 8:13

Je n'aimais pas particulièrement les voyages, par n'importe quel moyen qu'il soit mais à force, j'avais fini par m'y habituer. C'était même devenu une sorte de passe temps pour moi, j'allais à droite et à gauche et au final, dans une année, je n'étais pas autant dans mon bureau au Ministère que certains pourraient le croire. D'une part parce que je faisais des voyages officieux lorsque j'estimai que ce n'était pas d'une gravité ou d'une importance extrême, un peu comme ce cas là, d'autre parce que je préférais m'entretenir avec le moins de monde possible. Ce n'était pas pour me cacher, juste que je n'avais jamais compris cette utilité de se déplacer avec toute une foule de monde juste pour aller discuter. Ainsi, j'avais préféré aller à l'école avec uniquement mon secrétaire personnel que j'avais même laissé à la porte parce que je ne voulais pas qu'il soit là. Disons qu'il y a certaines choses dont j'avais à "discuter" avec John moins professionnelle que d'autre et il serait ennuyeux qu'il fut là.
Quoiqu'il en soit, je ne faisais pas une visite de courtoisie et j'en étais parfaitement consciente. Je n'avais pas autant de temps que cela derrière moi parce que je ne tenais pas particulièrement à ce qu'on trouve mon absence longue. Au ministère, je leur avais simplement dit que je faisais un déplacement sans préciser trop de détails. La presse n'avait pas à avoir vent de cela, à quoi cela servirait-il après tout?

Ainsi, je regardais par la fenêtre de la pièce à l'extérieur. Je fus soudainement et surtout idiotement pris d'un élan nostalgique, un peu comme à chaque fois que je venais ici. Disons que j'avais pris du bon temps et que c'était plus facile d'être un élève que travailler après. Peut être moins bien, moins indépendant mais plus facile tout de même. On avait le temps de tout faire malgré les devoirs que les professeurs donnaient mais ça, ce n'était rien comparé au peu de temps libre que j'avais à présent. Mais j'imaginai que, plus les élèves grandissaient, plus ils avaient conscience de cela. Ça me l'avait fait, à moi, en tout cas. Et penchée ainsi contre la vitre, je ne voyais pas le temps passer tellement j'étais absorbée par ce que je faisais.
Je n'entendis même pas la personne qui était à présent entrée dans la salle et qui s'approchait de moi. Ce n'était pas tant être particulièrement attentionnée par ce que je voyais mais j'étais aussi fatiguée et stressée, tellement que je ne faisais plus attention à rien. Ce n'était pas forcément très bien mais j'avais beau y avoir travaillé, je ne m'étais jamais débarrassée de cette manie mais je n'avais encore jamais eu de mauvaises surprises.

Ainsi, lorsque John O'Lauglhin me prit dans ses bras, je sursautai tout d'abord comme si l'on venait de me sortir d'un lourd sommeil d'un seul coup et sur le coup, je m'étais bêtement posé la question de qui c'était. Puis je me souvins d'où j'étais et de la raison pour laquelle j'étais là et le parfum de John me fit prendre conscience de qui c'était.


"Tu m'as manqué Anne." me dit alors sa voix.

Durant quelques brèves secondes, je restai sans voix et sans bouger. Puis je me retournai d'un seul coup pour lui attraper la cravate afin de l'attirer à moi pour pouvoir l'embrasser soudainement. J'ignorai moi même ce qui me donnais cette énergie là, peut être le fait qu'il m'avait manqué ou que... je ne savais pas, mais toujours était-il que je me sentais tout à coup en pleine forme.
Je rompis soudainement le baiser et l'obligeai à se pencher davantage pour coller mon front contre le siens, l'obligeant à me regarder droit dans les deux. Je finis par lâcher la cravate pour plaquer mes deux mains sur ses joues et caresser doucement ses lèvres d'un pouce.


"Tu m'as manqué aussi John" dis-je alors sous un murmure.
Je descendis mes mains jusqu'au niveau de torse et le poussai en arrière, encore, encore et encore, jusqu'à ce que le mur derrière lui ne puisse plus me permettre de le pousser davantage. Alors, je l'attrapai une nouvelle fois par la cravata et l'embrassai une nouvelle fois en passant mon autre bras derrière sa nuque pour venir me coller tout contre lui. Mes mains descendirent à niveau pour aller lui retirer les trois premiers boutons de sa chemise puis encore plus bas pour aller lui enlever la boucle de sa ceinture.
Alors je rompis les baisers en respirant du mieux possible, comme si je venais de courir un cent mètre et le regardai à nouveau droit dans les yeux.


"Vois tu mon chéri, je suis fatiguée, je suis très fatiguée!" dis-je sous un ton presque de colère alors que je ne l'étais pas. "Et tu sais ce qu'il se passe quand je suis très fatiguée! De toute façon, tu as toujours trouvé les meilleurs arguments pour y résoudre."

Sans lui laisser le temps de répondre je l'attrapai encore une fois par la cravate, non seulement pour l'embrasser mais aussi pour la défaire afin que cet obstacle ne me sois plus ennuyant dans ce que je compte faire à l'instant même. Combien de temps nous nous étions pas revus déjà? Je ne savais pas, j'avais arrêté de compter.
Bien entendu, et je le soutenais toujours, je n'étais pas venu là dans le domaine du privé. Néanmoins, avant de s'attaquer aux choses plus sérieuses, comme il devait certainement en découdre, j'avais un point à satisfaire, tout de suite, là, maintenant. Après tout, je n'avais jamais aimé commencer directement, surtout quand il s'agissait de lui...
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John O'Lauglhin

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MessageSujet: Re: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:16

Il l'avait donc viré. Cela faisait une vingtaine d'années que John O'Lauglhin était directeur de l'école de magie et de sorcellerie de Poudlard, il y avait donc une différence entre magie et sorcellerie... Oui il n'y avait jamais fait attention avant cela, peut-être parce qu'il s'agissait là d'un détail complètement insignifiant... Enfin quoiqu'il en soit malgré cette vingtaine d'années à exercer cette noble profession jamais il n'avait eu à renvoyer un élève, non qu'il soit trop indulgent mais simplement que chaque élève avait un minimum de savoir vivre. Et devoir le faire l'avait hautement peiné. Il détestait ça, être obligé de répondre à une action par de la force brute... Seulement Nathaniel ne lui avait pas laissé le choix, cette agression avait compromis son pouvoir et s'il n'avait pas agi sans doute chaque élève aurait cru bon de faire tout ce qu'il souhaitait pensant que de toute façon le directeur était un faible incapable de sévir. Alors non John ne regrettait pas son geste, il regrettait simplement d'avoir du en arriver là.

Seulement après la peine vient souvent la colère, souvent la colère envers soi-même, s'il s'est passé ça c'est qu'il avait merdé quelque part. L'erreur s'il avait décelé plus tôt que ce serpentard était un nid à problème, n'aurait jamais eu lieu. Il n'avait pas été assez sur le dos de ses élèves, à les surveiller comme un père inquiet. Mais bon sang de bonsoir, ce n'était pas ça son rôle ! Il ne pouvait se permettre d'avoir des entretiens particuliers avec tous les élèves de toutes les maisons ! C'était juste ingérable ! Si faute il y avait c'était celle des professeurs ! C'est eux qui auraient pu déceler quelque chose de suspect dans le comportement du jeune homme, c'était eux qui avaient été en contact avec lui ! Eux pas lui ! John avait lu quelques rapports sur ce jeune élève et n'avait toujours pas assimilé ce qui avait pu clocher... Enfin il était à serpentard certes mais n'avait jamais été complètement accepté dans cette maison... et puis il n'avait aimé cette poufsouffle... Un serpentard qui aime une poufsouffle, la preuve qu'il n'avait jamais eu la vraie mentalité détestable du très cher Salazar Serpentard, non que John ait quelque chose contre les verts et argent mais il devait avouer que cette maison était un vrai nid à problèmes. Enfin bref, Nathaniel s'était toujours montré calme, jamais de remarques désobligeantes des professeurs quant à lui, jamais John n'avait eu à le convoquer, toujours le gamin avait il plutôt subi le caractère de ses compagnons... et puis ça... Quelqu'un avait vraiment du remarquer un changement ! Obligé !

S'était donc passablement énervé que John avait repris le chemin de son bureau après avoir annoncé au serpentard qu'il avait une journée pour quitter le château... Certes il aurait pu s'expliquer avec lui mais il se doutait que Nathaniel aurait d'autres choses à faire que de vouloir lui parler et n'avait donc pas pris la peine d'essayer. Quand il était entré dans son bureau il n'avait pas remarqué immédiatement qu'Anne était déjà là, peut-être était-il trop absorbé par ses pensées... Toujours est-il que c'est en regardant la grosse pendule au-dessus de son bureau qu'il s'était rendu compte que la ministre de la magie devrait déjà être là, son regard avait dérivé vers la fenêtre et alors l'avait-il vu. Immédiatement alors qu'il l'avait serré dans ses bras s'était-elle retournée, le saisissant d'une poigne ferme par la cravate. John adorait quand elle faisait ça, elle était si excitante. Elle l'embrassa fougueusement, puis colla son front au sien. Oui en effet qu'est-ce qu'elle était sexy comme ça ! John lui ferait bien l'amour juste là, sur le bureau, contre le mur ou même sur le sol. Cela faisait tellement longtemps qu'ils n'avaient pas pris du plaisir tous les deux, cela faisait tellement longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu !

Elle le poussait contre le mur tout en continuant de l'embrasser, baiser qu'il prolongeait encore et encore. C'est que sa petite femme était décidément bien entreprenante ce soir et cette réaction le surprenait légèrement même si elle lui plaisait au plus haut point. Elle lui retira les boutons de sa chemise, puis une fois qu'il fut collé au mur lui retira sa ceinture, faisant monter son désir, faisant monter son excitation. Jusqu'à ce que tout son corps la désire, jusqu'à ce que ses yeux ne voient plus qu'elle, que son coeur batte plus vite, que son souffle lui manque et que son sexe se lève. Oh oui bon dieu qu'il la désirait ! La réunion pouvait bien attendre, le monde pouvait bien se figer là il n'avait la tête qu'à une chose : lui faire l'amour comme jamais il ne l'avait fait.


- Fatiguée ?!? Tu en es certaine ? Tu m'as l'air en si bonne forme que je te dévorerai bien.

John posa ses lèvres contre son cou, l'embrassant avec fougue, faisant mine de la dévorer. Puis descendit ses mains, retirant à son tour cette chemise qui lui empéchait de pouvoir admirer le corps si parfaitement sculptée de sa petite femme, l'empéchant de voir ces deux merveilleuses formes rondes qui formaient ses seins. Alors il descendit ses lèvres le long de son cou puis dans l'embrassure de son soutien gorge, embrassant ce qui en dépassait, avant de remonter vers ses lèvres bien vite, peut-être trop vite, son désir de lui faire l'amour étant bien trop ardant pour qu'il l'ignora plus longtemps. Alors sans attendre davantage il fit descendre ses mains pour retirer le bouton et la fermeture éclair de ce vètement qui n'était plus la bienvenue, il le fit glisser au sol, attardant ses mains sur sa fine culotte. Que cela faisait du bien de la retrouver !
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Anne O'Lauglhin

Anne O'Lauglhin

Douce Ministre de la Magie

Humeur : débordée


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MessageSujet: Re: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeJeu 5 Avr - 15:24

J'ignorais comment se déroulait les journées de John, si elles étaient plutôt bonnes ou mauvaises, si ça se passait bien ou non. Dans un certain sens, il ne m'avait jamais adressé un hibou pour venir se plaindre de quoique se soit et de ce fait, j'estimai qu'à l'école, tout se déroulait normalement, mis à part cet intrusion de détraqueur au moment d'Halloween. Depuis lors, il n'y avait rien eu mais je ne savais pas si c'était rassurant ou plutôt inquiétant. Je devais admettre que j'étais de plus en plus soucieuse car il ne fallait pas prendre ce genre de"menace" à la légère. Parfois, exténuée, je me disais que c'était une mauvaise blague d'un petit plaisantin, juste histoire de me rassurer. Ce n'était pas le cas. Un élève de Poudlard n'aurait jamais eu la capacité de faire amener des détraqueurs dans l'école. Comment aurait-il fait de toute façon? Il n'y avait qu'un adulte pour venir les appeler et les faire amener jusqu'au château.

J'espérai que les Aurors et que toute la Justice Magique travaillait sur cela sérieusement. Il n'y avait eu aucune nouveauté à ce sujet mais je ne comptais pas oublier Halloween pour autant et je devais admettre que cela me rendait assez nerveuse de ne rien trouver. Je ne savais pas quoi dire à la presse si ce n'était qu'on avait toujours trouvé personne à l'origine de cela et que, si un fait de ce genre devait se reproduire dans l'enceinte du château, alors les élèves rentreraient surement chez eux et nous fermerons l'école le temps d'avoir enfin résolu le problème, c'était une évidence même. Mais le fait qu'il ne s'était toujours rien produit semblait "rassurer" les parents des élèves ainsi que la population, pourtant, je ne pouvais pas m'empêcher de m'attendre chaque jour qui passait à un retournement total de la situation. Je n'étais pas Auror, je ne travaillais pas pour le Ministre de la Justice mais j'étais tout de même Ministre de la Magie et donc assez intelligente et réfléchie pour savoir qu'un grand mage Noir calculait précieusement ses plans et surtout, qu'il ne devait pas être seul pour préparer son coup.

John m'avait donc conviée à venir, sans doute pas pour prendre le thé et j'étais curieuse de savoir ce qu'il comptait m'annoncer. Mais je n'avais pas envie de m'arrêter là. Je n'avais quasiment pas de jour de congé et les jours où j'en avais, je travaillais tout de même à la maison d'arrache-pied. Autrement dit, je ne prenais jamais de temps pour moi et cette fois ci, je songeai à en prendre, ne serais-ce qu'un tout petit peu. Mais l'homme que j'avais épousé il y a de cela plusieurs années n'était pas (encore) présent dans son bureau et, pendant un bref instant, je me demandais s'il n'avait pas stipulé un lieu de rendez vous bien particulier. Je me disais que ce n'était pas de son genre et que j'aurais surement remarqué ce détail et si ce n'était pas moi, c'était mon secrétaire qui l'aurait fait.
J'avais donc décider d'absorber mon attention sur ce qu'il se passait à l’extérieur, comme je le faisais toujours. Je ne savais pas ce que j'avais à toujours épier ce qu'il y avait derrière une fenêtre lorsque j'étais du côté intérieur mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Pourtant, je ne regardais pas pour y voir quelque chose en particulier, comme si j'attendais une chose spéciale ou quoi.Mais j'avais envie de regarder, c'était une façon que j'avais de passer le temps.

John O'Lauglhin arriva enfin. Je ne le remarquai pas de suite, il m'avait surprise en m'enlaçant par derrière et je n'avais pas mis beaucoup de temps à lui sauter de dessus dans le sens littéral du terme. De même, je n'avais pas mis longtemps à lui exposer les besoins que j'avais envie de satisfaire sur le champs, étant donné que cela faisait une éternité, à mes yeux, que nous nous étions pas revus. Il me manquait tout le temps. Pourtant, depuis la première fois que nous nous étions rencontrés, c'était une habitude qu'on avait de ne pas se voir beaucoup, surtout lorsqu'il avait terminé ses études alors que moi, à l'époque, j'entrais seulement en cinquième année scolaire. Ainsi je ne l'avais vu seulement durant les vacances scolaires et de très rares fois à Pré au Lard vu qu'il s'était mis à travailler.
Mais lorsqu'il n'était pas là, il me manquait et c'était une chose indéniable, à laquelle je ne m'y étais jamais vraiment habituée. Dans un certain sens, je me demandais ce que serait ma vie si j'avais été auprès de lui presque tout le temps. Même s'il y avait peu de chance que je m'en serais lassée, notre relation n'aurait pas été la même et ma façon de le voir non plus, j'imaginais.


"Fatiguée ?!? Tu en es certaine ? Tu m'as l'air en si bonne forme que je te dévorerai bien." dit-il alors en répondant par la même "intensité" à mes avances.
Je ne pus m'empêcher de sourire d'une façon malicieuse et lui mis mon index sur ses lèvres pour exiger son silence. Visiblement, il avait la même envie que moi et cela ne me surprenait pas étant donné que la majeure partie du temps, lorsque nous nous retrouvions comme maintenant, la première chose que nous faisons était souvent la même.
Il ne s'attarda pas à défaire les vêtements que je portais mais je fis force pour l'arrêter dans sa course cessant légèrement son empressement. Je déposais un doux baiser sur ses lèvres avant d'y mettre à nouveau mon index dessus
.

« Shht, shht, shht, ! » lui dis-je tout bas. « Laisse moi faire. »
Ces mots sonnèrent comme un ordre, puisque c'en était un car je ne voulais absolument pas le laisser prendre le dessus sur la situation et lui laisser prendre le dessus tout court d'ailleurs. J’enlevai alors mon doigt posé sur sa bouche et me mis à défaire le bouton de son pantalon et à tirer sur les coté pour faire descendre sa braguette sans avoir besoin de l'actionner. Je le fis reculer historie d'être certain que monsieur soit collé contre le mur tout comme je le voulais puis lui fit plein de bisous dans le cou tout en écartant les pans de sa chemises qui faisait obstacle à mes caresses sur son torse. Je descendis alors faire des bisous dessus, enlevant peu à peu les boutons de la chemise qu'il restait en descendant mes bisous à chaque fois
Arrivée au niveau de sa taille, une fois tous les boutons de la chemise défaits, j'écartais une nouvelle fois le vêtement pour faire un peu d'espace, surtout à ce que je comptais faire, et fis descendre son pantalon ainsi que ce qu'il se trouvait dessus pour libérer la chose longue et dure que ces vilains morceaux de tissus cachaient. Je posais mes genoux au sol, fermai les yeux et vint lécher "la machine" avant de la mettre carrément en bouche et poursuivre la gâterie que j'étais à présent en train de faire. J'en prie tellement de plaisir à le faire que j'en échappai des gémissements, enlevai l'engin de la bouche pour aller lécher les parties tout autour tout en le prenant dans la main et effectuant des va et vient avec. Puis je reportai à nouveau mon attention sur la chose, sortant la langue pour y lécher le bout de la même manière que je l'aurais fais avec une sucette à la fraise. Puis je remontai le long de son corps en passant la langue tout le long de son torse et arriver jusqu'à son cou. Je l'enlaçai ensuite au niveau des épaule et l'attira alors en le tirant par la chemise dans le coin de deux murs. Je m'y faufilai farouchement et levai une jambe que je collai au niveau de sa taille, obligeant à coller son corps contre le miens. J'aimais particulièrement avoir le contrôle dans ce genre de moment et à mes souvenirs, cela n'avait jamais dérangé John.
Je me remis alors à l'embrasser sur la bouche, de façon fougueuse et sauvage mais surtout très sensuelle puisque ce n'était pas de simple et doux baiser romantique que je lui distribuai. Je rompais alors le baiser et je le regardais droit dans les yeux en tentant de reprendre un rythme de respiration normale, bien que cela ne fut sans succès. Et, sur le coup du moment, je ne pus m'empêcher de lui sortir ça :


"Je t'aime"
Ce qui, en partie signifiait : à toi.
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John O'Lauglhin

John O'Lauglhin




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MessageSujet: Re: Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Ailleurs n'est jamais loin quand on aime (John) /!\ /!\ Ce n'est pas de ton âge petit cochon! /!\ /!\ Icon_minitimeSam 12 Mai - 12:57

A part l'attaque des détraqueurs il fallait avouer que la vie de directeur à Poudlard était de tout repos... Et la chose la plus intéressante qui marquait sa journée était bien souvent la saveur du café qu'il prenait le matin ! Boisson surtout moldue mais cela ne retirait rien à sa saveur... En fait souvent il s'ennuyait dans son bureau, à lire des lettres des professeurs se plaignant de tel ou tel élève et certaines fois des lettres qui au contraire aurait fait rougir l'élève en question...

Il y avait ces rumeurs sur cette jeune élève de Poufsouffle, Alice Casablancas et de ce très cher Thomas W. Croft. Une liaison peut-être interdite mais connaissant bien l'auror John avait décidé de fermer les yeux, malgré le passé délicat de ce dernier... Et puis de toute évidence ce n'était pas son affaire si les deux étaient consentants... D'autant plus que ce n'était que de simples rumeurs.

Non ce qui lui faisait plus peur c'était ce plat après l'arrivée des détraqueurs... N'importe quel sorcier n'avait pas la capacité magique de les emmener à Poudlard. Au début il avait pensé à un coup de la part d'un élève de serpentard, pour intimer le respect entre autre mais rapidement il avait écarté cette hypothèse, de nombreux serpentards avaient du subir cette attaque, et un sang pur évitait d'en attaquer d'autres lorsqu'il le pouvait. Le mystère du détraqueur était donc et bien... et bien un mystère...et John craignait fort que cette accalmie annonce un évènement encore plus sombre... Voilà de quoi lui rajouter de nombreux cheveux blancs, des cernes et peut-être aussi quelques rides, un teint plus cireux et une grande fatigue... Enfin si cela se reproduisait... Halloween ça commençait à dater donc il pouvait s'agir simplement d'une action isolée... Les questions envahissaient souvent John cependant au fur et à mesure du temps qui passait elles se faisaient de plus en plus rares... Le directeur n'oublierait pas cet incident c'est évident seulement il n'en faisait plus une priorité.

Anne était une femme affairée, fatiguée, et pourtant toujours tellement pleine d'énergie ! C'était à se demander si oui ou non elle était humaine certaines fois... Le travail consommait toute sa vie, il y avait certaines fois où John allait jusqu'à la plaindre. Certaines fois d'ailleurs il lui avait demandé pourquoi elle en faisait temps, enfin il en avait connu des ministres de la magie mais peu en avait fait autant qu'elle... Quand son mandat sera terminé il s'arrangerait pour qu'elle reste à la maison pour se reposer... Enfin pour qu'elle ai une vie plus tranquille, l'idéal serait en fait qu'elle vienne à Poudlard pour qu'ils puissant être ensemble et qu'il puisse ainsi veiller sur elle. A force de trop en faire elle allait vieillir bien trop vite et s'épuiser encore davantage. Il est dur d'aimer une femme sans s'inquièter pour elle, et s'inquiéter pour Anne c'était l'une des occupations les plus récurrentes chez John... Que fait-elle en ce moment ? Va-t-elle bien ? Peut-elle souffler ? Oui c'était indéniable John était toujours aussi amoureux de Madame la Ministre que lorsqu'il l'avait connu comme jeune élève de Poudlard !

Elle l'embrassa et le fit taire. Qu'elle avait un magnifique sourire, ses yeux brillaient de mille malices et à nouveau il se rendit compte du manque qu'elle avait créé, et d'à quel point ils se désiraient. Certaines fois il avait envie de la faire venir simplement pour qu'ils puissent faire l'amour et pour le plaisir de la revoir... Il se contenait... On ne faisait pas venir la ministre de la magie pour des raisons si fu.. non si personnelles.. Rien n'était futile là dedans.

Anne dut trouver qu'il allait trop vite, peut être... c'est que ses cuisses ne demandaient qu'à être caressées ! Ainsi John lui avait retiré son pantalon et jouait-il avec ses hanches quand sa petite femme l'embrassa puis se dégageant lentement lui avait demandé de la laisser faire. Il avait embrassé son doigt doucement avant qu'elle le lui retire, déposant un dernier bisou sur sa main.

Elle voulait qu'il le laisse faire, soit il n'irait pas à l'encontre de cette volonté, bien qu'il aimait autant donner que recevoir et qu'il trouvait ça dommage de se contenter que de l'un. Il oublia ce fait quand Anne descendit son pantalon, et se retrouva dos au mur. Il fallait avouer que déshabiller était un art qu'Anne maîtrisait à la perfection. Tandis qu'elle lui retirait sa chemise, l'excitation montait en John grâce également à ses baisers qui se faisaient de plus en plus bas.

Elle retira les bas du directeur, posa un genou au sol et se saisit de son sexe, déjà levé par l'excitation qu'avait provoqué les nombreux baisers descendant de sa femme... Alors qu'elle le mettait en bouche John ferma les yeux, prenant une longue inspiration. Il posa une main sur la tête d'Anne comme pour l'encourager, sa respiration se faisait toujours plus laborieuse, et la chaleur le couvrait de toute part tandis que sa femme le léchait. Il devait faire un effort pour diminuer la vitesse de son excitation, afin qu'aucun incident malheureux ne survienne. Puis elle se releva, léchant son corps, le poussant dans un coin de la pièce. Anne était une véritable tigresse effarouchée et John adorait ça. Ainsi l'une de ses jambes vint l'entourer, tandis qu'il se rapprochait d'Anne, dont la chemise était toujours un obstacle.

Je t'aime lui dit-elle. Il ne répondit pas et lui rendit son baiser enfiévré, puis lentement il descendit ses lèvres, embrassant son cou, y appliquant une légère pression trop faible et trop courte cependant pour que cela se transforme en suçon, tandis que de ses mains il retirait la chemise de la ministre. Puis petit à petit il fit descendre ses lèvres, tout en caressant ses cuisses tandis que de l'autre main il galéra légèrement pour retirer son sous-vétement. Il ramena sa main pour jouer avec ses seins fermes, prenant beaucoup de plaisir à cela, son autre main remonta le long des cuisses d'Anne, écartant sa culotte pour jouer avec son intimité. Ses lèvres descendirent pour embrasser ses deux merveilleux seins. Son index s'enfonça davantage dans son intimité tandis que John remontait ses lèvres pour embrasser celles de sa femme. Il s'arrêta un instant pour retirer sa culotte qu'il fit glisser au sol et repris ses caresses.
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