« Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. J’ai l’impression qu’il va exploser d’une seconde à l’autre. J’ai envie de tout laissé tomber, mais les aboiements des chiens et les cris de guerre des humains me forcent à avancer. Je dois continuer de courir et ce même si je suis morte de fatigue. Ma vie en dépend. On m’a prit en chasse il y a de cela deux jours. Je dois constamment être sur mes gardes et me cacher sinon il se produit ce que je suis en train de vivre maintenant. C’est cette course qui déterminera mon… Je n’ai pas le temps de poursuivre. Je dois absolument sauver ma vie et celle que je garde dans mon ventre.

Mes jambes faiblissent à chaque pas que je fais. Je dois me rendre à l’évidence, je suis trop faible pour poursuivre cette lutte pour ma vie. Mais je suis rendue à un stade où je ne pense plus à moi, mais plutôt à ce petit être qui veux voir le jour. J’aurais dû m’en douter que ça finirais comme ça. J’aurais dû m’en douter que me tenir avec Jason Parker ça me mènerait au désastre. J’ai envie de m’effondrer pour la sottise que j’ai pu faire. Comment avais-je pus croire que le sentiment d’amour que j’avais pour lui n’étais pas réciproque, qu’il se servait de moi ? C’était peut-être pour ça que j’étais allée voir ailleurs. Allée voir son meilleur ami. Thomas avait toujours été plus attentionné, plus aux aguets avec moi que ne l’a été Jason. Jason me donnait l’impression d’être fuyant. J’avais tant eu besoin de lui et il c’est joué de moi. Il m’a trouvé à l’abandon de ma famille, complètement déboussolée et sans ressources. Il m’a offert un refuge, une nouvelle vie. J’ai trop honte de moi quand j’y repense que je me suis laissé si facilement embobinée. Quand je pense que cet enfant qui est en moi vient aussi de lui. Non, mon enfant ne saura jamais qui est son père. De toute façon c’est de sa faute si je suis obligée à la fuite.

L’intensité des cris diminuent derrière moi. Je gagne de l’espoir me disant que la fuite d’aujourd’hui ne serait pas ma dernière journée, que je pourrais le mettre au monde avant ma mort. Je peux maintenant mieux vous raconter ce qui se passe dans ma vie et ce qui se passera dans les deux prochaines générations. Le monde dans lequel je vis et celui que vous vivrez sera semblable en tout point. Je peux vous le dire puisque c’est comme ça depuis des siècles avant moi. Nous sommes dans les temps où les mentalités diverses beaucoup. Les races se mélangent les unes aux autres et les combats éclatent les uns après les autres. J’ai appris à connaître les différentes races. Vous connaîtrez qui elles sont dans les autres pages de ce cahier. J’ai appris que je ne suis pas comme les autres. Je veux dire, je suis une sorcières de pur sang. C’est pour ça qu’on me prend en chasse. Jason m’a dénoncé aussitôt qu’il l’a su. Je suis certaine par contre de ce qu’il l’a motivé à me dénoncer. Il a su pour mon infidélité et pour la trahison de son meilleur ami. Nous lui avions toujours tout caché jusqu’à ce qu’il nous découvre dans une ruelle abandonnée. Il m’a dit qu’il avait toujours eu des doutes sur mon identité et dans ces derniers temps, de mon infidélité…. »


***

« J’ai finalement réussis à me cacher. J’ai tout laissé derrière moi, Thomas, Jason, ma vie. Je ne peux plus vivre sans me cacher. J’espère seulement pouvoir être calme suffisamment longtemps pour pouvoir vous mettre au courant de tout ce qui se passe. Je dois vous avouer que je suis terrorisé à l’idée qu’ils me retrouvent. Les humains et les chasseurs font la chasse à toutes personnes qui sont considérées comme anormales. Pourtant, ils ne savent pas faire la différence entre quelqu’un de bien et quelqu’un de mal. Ils ont des doutes, ils vont faire des démarches pour essayer de nous inculquer d’un meurtre où d’un phénomène étrange quelconque pour nous faire brûler vif. Les brûler sont les personnes qui ont été trouvées en train de faire de la sorcellerie ou prouvant qu’il n’était pas normal. J’espère que ça changera pour vous. Je vous avertis, faites attention à vous. Vous pourriez vous retrouver dans une situation que vous ne désirez pas, comme moi. L’existence des sorciers est peu connue et d’alters l’est encore moins. C’est pourquoi les humains s’attardent à s’attaquer à nous les sorciers. Je suis certaine que ça fait bien leur affaire. Cependant je manque de temps pour tout vous expliquer. Il me faudrait une vie entière pour tout vous expliquer de fond en comble. Il ne me reste pas tant de temps que ça. Vous devez surtout retenir que l’équilibre est profondément brisé. Les luttes entre races s’aggravent. J’espère que ma mort marquera la fin de ces conflits parce que toutes les races peuvent cohabiter. Enfin presque. Je vous le dis, ne faites pas la même erreur que ceux de mon temps. Ils jugent sans connaître…

La vie entre les différentes races est profondément menacée. Aucun marché ne parvient à satisfaire entièrement les groupes. Chacun veut s’approprier le pouvoir. Pour ma part, je me contente de dire que c’est ridicule. Les guerres qui explosent de trop. Nous devrions pouvoir trouver un terrain d’entente, mais certains refusent de coopérés. C’est un véritable bain de sang. »


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« Ça y est. Ils m’ont retrouvée. Je suis prise au piège. Ils m’ont enfermée dans une cellule et ils m’ont pris mon enfant. J’ignore où il se trouve. Je suis terriblement inquiète. J’espère qu’il ne subira pas le même sort que moi. J’ai revu Jason. Il m’a dit qu’il était content de me voir emprisonnée et bientôt condamnée. Il est fier de ce qu’il a accompli. Il disait que la justice serait rendue. J’espère que ce n’est pas à lui qu’est tombé mon garçon. Mon pauvre enfant. Si jeune, sans mère, sans doute sans avenir. Mon exécution a lieu dans très peu de temps. J’entends déjà les pas pesant du bourreau qui vient me chercher. Ce sont les dernières paroles que je peux vous adresser à partir de ce livre. Il est dans ma cellule et il m’empoigne violemment. Lorsqu’il m’empoigne je réussis à apercevoir son visage. Je suis complètement démantelée. C’est mon heure. Des larmes ont commencées à coulée sur mon visage d’enfant. Je n’ai que 18 ans, mère nouvellement et celle qui trouvera la mort dans quelques minutes et mon bourreau n’est personne d’autre que mon bourreau.

Ça y est, je suis devant toute cette foule qui me hue. Ils sont contents de pouvoir exterminer une personne qui leur aurait supposément causé du tort. Je n’aurais pas attaqué les humains. S’ils avaient su. Ils sont ignorants. Ils gaspillent une vie pour rien. Mon bourreau me ligote fermement à mon poteau. J’ai le droit au bûcher pour avoir été jugé sorcière, mais également infidèle. Ma respiration devient ardue. En me ligotant, mon bourreau semble s’y être donné à cœur joie, c’est tellement serrer que mes membres s’engourdissent déjà. La mort me fait moins peur que ce que ça l’aurait dû être. J’aurais dû être terrorisé, mais je les plains plutôt. Je les plains d’être aussi ignorants. Mon bourreau s’éloigne pour aller rejoindre chercher la torche qui me fera brûler vivante. Je prends une grande inspiration. Le monologue du crieur commence.

« Aujourd’hui, nous sommes tous ressembler afin d’exécuter une dangereuse sorcière. Marianna Élizabeth James est montré coupable d’avoir fait de la sorcellerie et d’infidélité auprès de son mari. »

Un sourire moqueur s’étire sur mes lèvres. Je ne suis coupable de rien du moins pas d’avoir fait librement de la sorcellerie. Le crieur continu un peu son monologue en omettant de préciser que je n’avais jamais été marié avec Jason. Quant à moi, du haut de mon tombeau, je regarde la foule d’un œil vide. Il change aussitôt que j’aperçois Jason avec un poupon dans les bras. Il n’est pas très loin de l’endroit où je suis. Mon visage prend une expression horrifiée. Il tient mon enfant. C’est mon enfant. Il ne peut pas grandir avec l’assassin de sa mère. Non… Le bourreau commence à baisser la torche sur mon tombeau. Je ne peux plus me sauver. Avant de définitivement quitter le monde des mortels, un seul mot sort de ma bouche, les yeux rivé sur l’enfant que je chérissais.

« Non… »

La chaleur augmente, elle fait fondre ma peau. Je sais que je meurs à petit feu. Les villageois poussent des hurlements de joie. Je sens une main se logée dans la mienne. Je vois le visage de mon bourreau. Je lui affiche un dernier sourire avant de m’éteindre pour de bon. J’espère au moins que mon sacrifice servira à quelque chose. J’espère tant que mon enfant soit un bon homme. Un homme qui ne se laissera pas marcher dessus. Un homme qui saura se rappeler qui j’aurai été pour lui… »


***

Aujourd’hui, les barbaries de se genre sont bien terminée. Illowa la belle ville c’est maintenant calmée. Je parle bien qu’elles ne sont plus démontrées au grand jour. Les humains ne savent plus rien de rien puisque les mentalités ont encore une fois changées et que nous nous rendons compte que nous avons sacrifié des gens pour rien. C’est non longtemps après la mort de Marianna Élizabeth James que nous nous en sommes rendu compte. Cependant les luttes entre les différentes font toujours rage. De quel camp serez-vous ?

UN NOUVEAU MONDE

achetez la gazette du sorcier, achetez là. Le jeune garçon criait ça comme un bâtard que l'on voulait écraser car il n'avait pas le sang-pur d'un chien de race. En première page, la grande nouvelle, voldemort était mort, tué par le jeune harry potter, oui harry potter ce jeune sorcier que vous connaissez bien maintenant, mais tout cela c'était il y a un an déjà. Depuis peu d'évènements s'étaient produits, il y avait eu la rentrée, le trio se retrouvait après des vacances d'été mouvementés en émotions. Ils avaient amassés gloire, et joie ; même si à cette rentrée rien n'aurait changé pour eux, dans leurs petits train-train quotidien à l'école de magie. Ceux qui attendaient tous les anciens sixième année c'était bel et bien les ASPICS. Alors, l'année des dix-sept ans du jeune potter sera-t-elle une année de tranquillité à poudlard. Cela est peu probable, car une nouvelle menace rôde, les moldus ; ils s'intéressent de plus en plus aux évènements qui se produisent dans leur monde, ce que le ministère de la magie voit d'un mauvais oeil bien sûr. Alors les moldus, le peuple du canard jaune en plastique deviendra-t-il trop problématique ? Ou la magie peut-elle encore escompter couler des jours heureux dans l'anonymat ?

AHH, UNE BETEEE !

c'est la période de noël, il fait froid, la neige tombe aussi vite que les boules de neige dans les carreaux des salles communes. je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. on entendait la voix de l'un des frères weasley, qui étaient maintenant gérants de la boutique de farces et attrapes, ils étaient pourtant dans poudlard, avec leur carte qu'ils avaient réussi à trouver dans un autre exemplaire, ils regardaient les déplacements de harry potter, et de la nouvelle directrice. méfaits accomplis Et voilà, ils avaient trouvé la solution pour combler leur esprit sournois mais très drôle. Ils avaient glissé un homonyme de dobby, un petit elfe de maison très peu docile répondant au doux nom de hannibal, sous la cape d'invisibilité du jeune potter. Lui qui avait pour projet de retrouver en douce la belle ginny souleva la cape et se retrouva nez à nez putride et pleins de boutons avec le petit elfe qui avait plus la dégaine d'un troll. Et là, le petit être se mit à détaler dans poudlard, ce qui étonna potter qui n'eut même pas le réflexe de bouger ou de lancer un sort. Mais un elfe qui sait lancer le sort cracbadaboum dans poudlard en pleine hiver, ça pouvait faire des ravages. Après discussions et en cette période festive la direction vite mise au courant décida de lancer un jeu, attraper le troll ; cela rapporterait un bon paquet de points à la maison du vainqueur. Mesdemoiselles attention à vos petites culottes, messieurs attention à vos slips kangourous. Ah ces deux jumeaux weasley, ils trouvaient vraiment des choses incroyables.