Who are you?

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▬  CARACTÈRE : Comme le dit si bien son prénom Elektra est électrique. En effet, c'est une vraie pile électrique, elle ne tient jamais en place. Il faut qu'elle bouge tout le temps, même en cours l'idée même de rester assise pendant une heure l'horripile. C'est pourquoi, elle est une adepte des mouvements de jambes, ou bien des tapotements sur le bureau avec un rythme plus ou moins effréné, ce qui a pour conséquence d'énerver la plupart de ses voisins. Mais bon, si ils ne sont pas contents, ils n'ont pas qu'à s’asseoir à côté d'elle, elle ne risquera en aucun cas de changer pour eux. Téméraire et assez catégorique pour certaines choses, la jeune fille n'a pas sa langue dans sa poche lorsqu'il s'agit d'exprimer ses idées. Son père lui a apprit à défendre ce qu'elle croit être juste et de ne jamais laisser les autres lui faire perdre sa propre opinion des choses. Adepte de la traque en tout genre, la jeune fille a été initié dés son plus jeune à chercher des choses dans le jardin, dans la maison, puis dans un périmètre de plus en plus grand. Cela s'explique par le fait que son père a toujours voulu qu'elle devienne une Auror et par conséquent, cette dernière devait maîtriser parfaitement la traquer et avoir un sens aiguisé pour retrouver les choses. Si un jour vous perdez un de vos instruments, vous pouvez être certain qu'Elektra vous le retrouvera. Curieuse, la jeune fille aime observer les autres, c'est ce qui l'aide à les comprendre. Car bien souvent, elle a du mal à comprendre les agissements de telle ou telle personne. Elle cherche toujours la petite bête car selon elle, tout doit s'expliquer d'une manière ou d'une autre. Sociale, Elektra aime parler de tout et de rien, peut être est-elle un peu trop pipelette parfois? Mais au moins elle n'est pas pour autant ennuyante. Désireuse d'en apprendre toujours, la jeune fille est capable de rester des heures entières à lire des manuels, bien entendu en bougeant. En amitié, elle se révèle être une jeune fille charmante, toujours à l'écoute et surtout toujours prête à faire le clown pour faire rire ses amis. Ce qui compte pour elle, ce n'est pas la tristesse mais plutôt le bonheur qu'ils pourraient ressentir. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle ne peut pas s'empêcher de grimacer allant même jusque dans le ridicule quand ses paroles ne sont pas assez suffisantes. Certains la qualifient d'immature, alors qu'en réalité ce comportement s'explique d'une toute autre manière. Elektra ne montre que très rarement ce qu'elle ressent, c'est pourquoi elle se cache aux travers ce masque de clown qui lui va si bien. Elle ne se confie pas, elle garde toujours tout pour elle. Peut être est ce pour cette raison qu'elle bouge tout le temps? Protectrice envers les gens qu'elle aime, la jeune fille serait capable de se sacrifier les yeux fermés pour eux. Jalouse à certaines heures, elle a tendance à voir le mal partout. Mais que voulez vous personne n'est parfait n'est ce pas? Généreuse, Elektra donnerait la terre entière à ses amis si elle le pouvait. D'ailleurs, elle n'hésite pas à les chérir à sa manière en leur offrant des cadeaux. Simples ou plus élaborés, ils constituent pour elle une façon de prouver qu'elle tient à eux plus que tout. Car ne l'oublions pas, ce sont nos amis qui font de nous ce que nous sommes. En amour, la jeune fille est tendre et douce, elle déplacerait monts et montagnes pour l'être aimé, sauf qu'elle reste tout de même assez distante vis à vis de ce qu'elle ressent. Elle le montre mais ne le dit pas, c'est ce qui a posé un léger soucis pour ses exs par exemple. Comme tout le monde, Elektra n'aime pas BEAUCOUP de choses et parmi celles ci on peut mettre en haut de l'affiche, les personnes imbues d'elle même. Lorsqu'elle en croise une, la jeune fille ne peut s'empêcher de la descendre par la parole juste pour le plaisir. Certes, elle sait pertinemment que c'est un jeu auquel, elle incite l'autre à rétorquer mais bon, personne n'est parfait.

What's your story?

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Il était une fois, une charmante petite blonde au sein d'une belle famille. Cette toute petite fille, avec ses grands yeux bleus répondait au doux prénom d'Elektra. Un prénom choisi par son père, archéologue et partisan de l'époque hellénique, il était donc tout à fait normal que sa petite fille possède le prénom d'une divinité locale, peu connue de tous. Sa mère, une sorcière femme de ménage pour une très grande famille de l'aristocratie londonienne, décida de rajouter derrière ce prénom divin, celui de sa mère, morte en couche, Callista. C'est donc ainsi que notre charmante petite fille se retrouva avec des appellations marquant une association de culture et scellant ainsi son destin quant à sa faculté de à s'ouvrir au monde. Elle grandit d'ailleurs dans cette perspective, puisque son père s'affaire dés son plus jeune âge à l'initier à la chasse au trésor. Elle ne se souvient pas exactement de l'âge auquel elle commença son initiation, pour elle elle l'a toujours fait avec lui. Mais sa mère raconte un sourire au lèvre, que son charmant époux n'avait pas pu s'empêcher, alors qu'elle avait cinq ans, à s'amuser à lui dérober sa totote et la cacher quelque part dans le salon, juste pour que Elektra apprenne à la retrouver. Cette sucette qu'elle devait quitter au vue de son âge, se transforma plus tard en gourmandises. Et enfin, lorsqu'elle eut l'âge de s'intéresser aux choses, son père se décida à lui apprendre les premières ébauches de l'Histoire. Bien entendu, il le fit toujours sous formes de jeux afin de capter l'attention de sa petite princesse comme il le disait si bien. La relation que la jeune fille entretient avec son père est d'ailleurs sans égale grâce à cela. Son père représente tout et le fera toujours, elle ne prend aucune décision sans lui en parler au préalable par exemple. Son avis est très important, tout comme il représente son équilibre à part entière. Cela jalousa la mère de la petite fille un peu, mais elle ne put leur en vouloir bien longtemps. Ils représentent à tous les deux sa famille et sa raison de vivre, voilà pourquoi elle ne s'interpose jamais entre eux. De même que Elektra a toujours su trouver sa mère dans les moments plus difficiles. Les gestes tendres dont une petite fille a besoin pour se sentir réconforter et pour se cajoler étaient toujours partagés avec sa mère. Toutes les deux développèrent une relation assez étrange d'ailleurs, visant à savoir qu'elles étaient là l'une pour l'autre sans jamais se le montrer pour autant. C'est ce qui marqua la petite Elektra et qui la fit devenir ce qu'elle est aujourd'hui. A la maison, hormis les jeux qu'elle appréciait avoir avec son père, il n'était pas permis de dire ce que l'on ressentait. Pourquoi? Tout simplement pour la sauvegarde de chacun. Les Rhys avaient développé l'idée que parler des sentiments était une faiblesse et ne constituait que de belles paroles en soit mais rien de plus. Ce qu'il fallait mettre en avant était les gestes que l'on s'accordait à chacun. Car cela restait contrairement aux paroles qui pouvaient être oubliées des années après. Ainsi donc, si la petite fille laissait échapper un « Je t'aime » à sa mère ou à son père par mégarde, cette dernière avait droit à des explications qui duraient des heures sur le fait qu'il ne fallait pas le faire. Ils lui avaient même fais croire à l'époque, qu'en le disant, cela perdait l'amour qu'elle voulait leur transmettre. La petite fille apprit donc à se taire et à vivre dans un monde de non dits. Si bien qu'elle finit par se créer une bulle dans laquelle elle se voyait invincible. Cette bulle grandit encore et encore au fil des années, jusqu'à ce qu'elle n'éclate le jour de ses dix ans. En effet, son père avait attendu cet âge afin de lui faire passer une sorte de rite d'initiation sans le dire bien évidemment à son épouse. Le périmètre de recherche dans les fouilles qu'il s'accordait à lui apprendre avait considérablement grandit. Adieu le salon, la maison entière, le jardin, la rue, le village, cette fois ci il avait décidé de voir beaucoup plus grand. Trop d'ailleurs. Il avait pris la voiture et l'avait amené dans les bois. Ils avaient pénétré les lieux sous une humidité croissante, si bien que l'air lourd semblait les étouffer. Ils marchèrent près de trente minutes, avant qu'il ne se décide à lui donner un morceau de papier et une boussole avec pour simple indication « Si tu trouves ton chemin, tu auras ton cadeau. ». Excitée comme une puce, la petite fille se dépêcha de déplier le morceau de papier légèrement cramoisi et chercha sur cette carte la croix de son paradis. Que voulez vous à cet âge, on aime les défis et on a peur de rien... On ne peut pas lui en vouloir d'être partie directement à la recherche de cette chose sans dire au revoir à son père. Elle s'engouffra un peu plus dans la pénombre et suivit ce qui semblait être la piste de pas de son père. Souriante, elle suivit ces pas pendant près d'une heure environ, mais fatiguée à cause de ses petites jambes, elle s'arrêta aux pieds d'un arbre et s’endormit... Combien de temps était-elle restée ici? Elle n'en avait aucune idée, quoi qu'il en soit, si les gouttes n'étaient pas tombées contre sa joue, la petite fille aurait dormi quelques heures encore. Se frottant les yeux, Elektra se réveilla à tâtons, essayant de se remémorer où elle était et la raison pour laquelle elle était ici. Ah oui, son anniversaire, son cadeau. Se dépêchant de reprendre ses ustensiles, la petite fille fut confrontée à une sacrée épreuve alors qu'elle cherchait les traces de pas de son père. Effacées... Il n'y avait plus rien, comme si quelqu'un s'était amusé à le faire pendant son sommeil. En réalité, il s'agissait de l'humidité transportée par la pluie qui avait alourdi l'heure et fait en sorte que la terre retrouve son aspect intact. La panique ne la saisissant pas encore, la petite fille regarda sa carte et sa boussole. Elle devait marcher vers l'est, si elle voulait trouver ce qu'elle désirait. Chose qu'elle s'activa à faire sans la moindre hésitation. Malheureusement, plus elle s'avançait vers l'est et plus la forêt devenait sombre, il y avait des bruits étranges autour d'elle. Et il fallait bien reconnaître qu'elle s'était perdue... Foulant les lieux comme elle le pouvait, la petite fille commença à paniquer, laissant ainsi les larmes longer ses joues alors qu'elle appelait à l'aide. Elle n'eut pour simple réponse que son propre échos répondant à son appel désespéré. Elektra tourna encore et encore, le froid commençait à la saisir, la faim se faisait de plus en plus ressentir, et elle voulait les bras de ses parents pour la réchauffer. Prise de remords et de tristesse, la petite fille s’assit contre un arbre et serra ses genoux aussi fort qu'elle le pouvait en pleurant. Son vœu le plus cher était de rentrer à la maison avec les gens qu'elle aimait. Ses sanglots devinrent de plus en plus grands, provoquant ainsi des tremblements de tout son être. Comment allait-elle faire? Est ce qu'on la retrouverait? Toutes ces questions ne cessaient de tambouriner dans son esprit, jusqu'à ce qu'elle sente le frôlement d'une feuille contre son bras. Relevant sa tête doucement, la vision complètement brouillée par ses larmes, elle sécha ces dernières à l'aide de ses mains et retint un nouveau sanglot alors qu'elle se rendait compte que toutes les feuilles virevoltaient autour d'elle. Prenant peur, la petite fille se mit à courir, oubliant au passage la boussole et la carte qui l’accompagnaient. Elle finit par trébucher en se prenant le pied dans une racine saillante, ce qui lui valut une belle bosse sur le front. Se réajustant en position de fœtus, elle pleura encore et encore. Pourquoi ce cauchemar ne se terminait jamais? La nuit allait bientôt tomber en plus... Prenant conscience de ce fait, elle se rappela de ce que son père lui avait appris à ce sujet. Elle devait toujours trouver un refuge ou s'en créer un. Son foyer serait son abris. Cette phrase prenait tout son sens en cet instant. Se relevant encore une fois, toute boueuse, la petite fille chercha autour d'elle quelque chose qui pourrait constituer un abris. Une feuillage, un rocher, n'importe quoi ferait l'affaire. Elle trouva néanmoins un tronc d'arbre assez épais, qui devait probablement avoir servi de refuge pour un animal quelconque, puisque le sol était creusé à sa base. Ramenant quelques feuilles qu'elle trouva de ci de là autour d'elle, elle les entassa dans cette masse et s'y réfugia. Mais elle avait froid, très froid... Et elle ne disposait de rien du tout pour lui permettre de faire un feu, d'autant plus que l'humidité régnant ici aurait juste étouffé la fumée et encore... c'est alors qu'elle se rappela encore une fois de ce que son père lui avait dis : « Tes bras se réchaufferont tous seuls, veille à réchauffer ta poitrine et ton cœur en frottant. », ni une ni deux, Elektra s'affaira à cette tâche avec entrain. Il fallait qu'elle reste éveillée, si elle dormait cela causerait sa perte et elle ne saurait pas si elle se réveillerait le lendemain. Mais étant hyperactive, lorsque ses piles étaient déchargées, ajoutez à cela le froid, ses paupières se firent de plus en plus lourdes. Elle chanta pendant un temps, mais son ton finit par devenir de plus en plus lointain, même le froid était devenu moins terrible que cela. Elle finit par tomber dans les bras de Morphée sans s'en rendre compte. Le néant l'avait saisi et elle pensait être morte. D'ailleurs elle se sentait flotter dans les airs et cru voir un ange lorsqu'elle ouvrit ses yeux une première fois. Mais la fatigue étant telle, elle se rendormit aussitôt se laissant entraîner par cet ange quelque part. Lorsqu'elle se réveilla une seconde fois, sa tête lui tournait tellement, qu’elle préféra rester couchée sur le lit dans lequel elle était tout empaquetée. Une femme, sûrement l'ange qui l'avait transporté toute à l'heure, remarqua qu'elle était réveillée et lui apporta un bol de soupe bien chaude. Elle lui demanda de la boire sans avoir peur, qu'il fallait qu'elle reprenne des forces. S'exécutant, de son souvenir Elektra n'avait jamais été aussi fatiguée et calme que ce jour là. A peine avait-elle bu qu'elle s'était rendormie encore une fois. Elle se réveilla enfin, ses piles paraissant rechargées, elle regarda alors autour d'elle et s'aperçut qu'elle était dans une sorte de cabane. La vieille femme qui s'était occupée d'elle vint la voir et lui demanda comment elle se sentait, ce à quoi la petite fille répondit qu'elle pensait aller bien et qu'elle devait partir pour retrouver ses parents. La vieille dame lui expliqua le chemin à prendre permettant ainsi à Elektra partit aussitôt tout en l'ayant remercié bien évidemment. Elle retrouva enfin la route et se dépêcha d'aller retrouver ses parents, qui morts d’inquiétude avaient imaginé les pires scénarii à son image. Les retrouvailles furent bien entendu émouvantes pour tout le monde, Elektra pleurait, ainsi que ses parents et ils ne se lâchèrent plus pendant près d'une heure. Son père s'excusa de ce qu'il avait fait, sa mère elle ne disait mot et se contentait de les regarder, alors que la petite fille souriait à son père, des larmes ruisselant sur ses joues. Il était pardonné, il n'avait pas besoin de s'excuser, il n'y avait rien eu. Sauf qu'elle ne pouvait pas le dire... Lorsqu'on lui demanda comment elle avait réussi à survivre, Elektra raconta son histoire, sans omettre le fait que la vieille dame l'avait trouvé et s'était occupée d'elle. Heureux d'apprendre cette nouvelle, son père lui demanda de l'accompagner à sa rencontre afin qu'il puisse la remercier de s'être occupée de sa petite fille. Ils reprirent le chemin des bois quelques semaines plus tard et alors que Elektra passait les mêmes chemins qu'elle avait emprunté pour revenir, elle tomba sur cette petite clairière d'où la vieille dame avait érigé sa petite cabane, sauf que... Il n'y avait plus rien, même pas les prémices d'une habitations d'antan... Rien... Cherchant de part et d'autre afin de s'apercevoir qu'il n'y avait pas une autre clairière, la petite Elektra regarda son père dépitée, qui se contenta de sourire en lui demandant de le suivre pour rentrer. Cette histoire de vieille dame restera à jamais sans réponse. Le temps suivit son cours. Durant l'été qui suivirent ses onze ans tout frais de juin, la petite Elektra reçut sa lettre d'acceptation à l'école de sorcellerie de Poudlard. Impatiente, le jeune fille accourut à travers toute la maison répétant à tue tête qu'elle était prise et qu'elle allait devenir une sorcière comme son père elle aussi. Elle rentra dans cette école prestigieuse avec une légère boule d'angoisse dans le ventre. Le choixpeau ne mit pas beaucoup de temps à choisir sa maison: SERDAIGLE s'époumona t-il à travers la grande salle alors qu'il avait juste effleuré le haut de son crâne. Fière de rejoindre la maison des aigles, la jeune fille apprit ainsi à faire les différences primordiales entre telle et telle caste et ainsi de suite. Vouant un culte particulier à l'histoire de la magie, grâce à ce que son père lui appris sur l'histoire des moldus, la jeune fille a toujours de très bons résultats en ce qui concerne les matières touchant à ce domaine. En revanche, elle dispose de quelques difficultés dans la réalisation des potions. Pourquoi? Parce qu'elle bouge trop en général et que les ingrédients sont trop mélangés entre eux. Aujourd'hui, elle est au cours de sa dernière année de scolarité. Les Aspic approchant à grande vitesse, la jeune fille ne peut s'empêcher de faire le pitre, en dehors des cours bien entendu, une manière pour elle d'extérioriser son stress.

PRÉNOM : Liline SURNOM : Lumière AGE : 24 ans (plus pour longtemps mdr) SEXE : FILLE COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Toujours de la même façon FRÉQUENCE DE CONNEXION : Every day QUELQUE CHOSE A AJOUTER? : Je vous aime