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Dans le plus simple... appareil ? <Lexou>

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Autumn Stevens

Autumn Stevens

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MessageSujet: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeVen 10 Juin - 17:38


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    La soirée avait été beaucoup plus mouvementé qu'elle ne l'aurait dut. Nous devions tous passée l'une des plus belles soirées de notre parcours scolaire et je m'étais plutôt retrouvée devant un Détraqueur qui m'avait remémoré avec peu de délicatesse la mort de ma bonne amie d'enfance. Autant vous dire tout de suite que c'était exactement le contraire que ce que mon Lexou m'avait promis avant le début du bal, c'est-à-dire, que se serait notre soirée. Si encore il m'avait dit que j'allais me souvenir toute ma vie de cette soirée, j'aurais été d'accord. Mais à m'entendre parler, l'on pourrait croire que je n'avais pas passer une belle soirée. Pour dire la vérité, malgré tout, cette soirée avait eut du bien, puisque j'avais enfin dit à Alexander que je l'aimais et il avait fait de même de son côté. De plus, maintenant, je n'étais plus seule à porter le fardeau de la mort de mon amie sur le dos, puisque je l'avais partagée avec Lexou.

    Pour finir la soirée, mon chéri m'avait proposer de me reconduire à mon dortoir pour aller me reposer. Il faut dire que j'étais vachement amochée après toute les émotions que je venais de vivre et que je n'avais pas envie d'être toute seule. De plus, je venais de me rapprocher de lui et nous avions manqué un bon moment de notre soirée avec ses Détrqueurs, c'est pourquoi nous prîmes plutôt la direction de la salle sur demande. Je ne l'avais encore jamais vu de mes propres yeux et c'était dommage de la voir lors de ma dernière année. Simplement, je laissais à Lexou le soin de me montrer comment fonctionnait cette salle magique et entrait derrière lui, un peu émoustillé de savoir que j'allais passer la nuit à ses côtés, dans ses bras. J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure simplement à me l'imaginer.

    J'entrai donc dans une imitation de chambre avec un lit immense et une salle de bain attenante. Je souriais, me demandant alors comme j'allais me changer pour enlever mon costume quand, en ouvrant la placard, je tombais sur des vêtements. Il avait vraiment penser à tout, comme il pouvait être adorable. Pour mettre un peu plus de piquant, je décidais donc de mettre une chemise avant de me jeter sur le lit, en attendant mon chéri. Quand il me rejoins, je tombais vite dans les bras de Morphée, m'endormant rapidement dans ses bras, son odeur contre la mienne.

    Je me réveillais doucement, me sentant déjà mieux que la veille. Je regardais par la fenêtre pour voir le grand soleil qui montrait le bout de son nez. Aussi, je me tournais vers mon chéri qui dormait toujours à mes côtés. Il était tout simplement magnifique lorsqu'il dormait, il semblait si inoffensif. Aussitôt, je me mis à sourire, attendri par la scène qui se déroulait sous mes yeux. Je me levais sans faire de bruit avant de me diriger vers la salle de bain. Je devais me laver, avec toute les émotions de la veille !

    L'eau était chaude et elle coulait sur mon corps avec satisfaction. Je me sentais bien et je ne pensais à rien. Une douce odeur de vanille planait dans l'air, mon parfum favoris. Je me lavai les cheveux par la même occasion, simplement parce que j'aimais sentir bon, comme toute personne normalement constituée. Je sortis de la douche, prenant une serviette que je passais dans mes cheveux. Je n'entendais pas de bruit du côté de la chambre, donc je crue avec certitude que mon chéri ne dormait. J'ouvrais la porte pour vérifier quand je tomba nez à nez avec lui. Le rouge me monta aux joues... j'étais nue après tout. Je bafouillais un léger :

    "Euh... Euh... Je reviens dans trente secondes !"

    Avant de claquer la porte et m'adosser à celle-ci. J'avais le coeur qui battait si vite ! Je m'habillais rapidement avant de ressortir, complètement rouge comme une tomate trop mûre.
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Alexander Bright

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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeVen 10 Juin - 20:12

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J'étais seul, dans un champ, torse nu. Le soleil réchauffait mon corps de sa lumière bienfaisante. L'odeur de l'herbe m'emplissait de bien être et le vent soufflait dans mes cheveux sans que j'ai froid. Je me mis a marcher, me baladant simplement, les pieds nus au milieu des coquelicots. Je vis tout a coup Dylan, mon meilleur ami avec un ballon. Je lui souris, comme si c'était normal de voir un meilleur ami défunt au milieu d'un champ inconnu. Il me lançai son ballon de loin, fort. Si fort que la balle de devint un trait marron dans le ciel, cependant je n'eu aucun mal a l'attraper. Je relevai le regard vers mon ami qui devint tout a coup vapeur et disparut en un coup de vent. Le ciel s'assombrit tout a coup et des gouttes se mirent a tomber sur moi, je courus dans le champ, histoire de trouver un lieu ou m'abriter, mais cet espace semblait infini. Les gouttes devinrent grêlons, lacérant ma peau et l'herbe mouillée devint coupante, tranchant ma plante des pieds a chaques pas. Je vis une ombre se déplacer sur le côté mais je continuai de courir, malgré les blessures et les grêlons qui obscurcissaient ma vue. Puis les passages de l'ombre devinrent plus fréquents, je commençai a avoir réellement peur. Puis, un détraqueur passa devant moi, montrant le trou béant de sa ... bouche aspireuse d'âme. Je me mis a hurler, puis il posa ses lèvres sur les miennes ...

Je me réveillai en sursaut, dans le lit de la Salle sur Demande, a Poudlard, au Royaume Uni. Ce n'était qu'un rêve et pourtant, j'étais trempé de sueur. J'examinai mon studio de la Salle afin de me rassurer, tout était la ... Sauf Autumn ! Je me mis a la chercher un petit peu partout, puis me rassurais en me disant qu'elle était sûrement partie déjeuner, après tout l'attaque d'hier avait fait mal. Très mal.

L'attaque, sûrement la plus horrible des expériences que j'aurais l'occasion de vivre durant toute ma vie. La peur infligée par les détraqueurs, les remontées d'images les plus marquantes de ma vie en face de moi, alors que je protégeais Autumn. Puis l'agression de Wyatt, de Kate, d'Autumn et sûrement de tant d'autres... Les larmes d'Autumn, les miennes, celle de plusieurs dizaines d'élèves sûrement ... Je ne voulais plus revivre ça. Je m'assit sur le bord du lit, allumant une cigarette que je trouvai dans mon jeans troué de zombie. Je tirai une bouffée et celle ci m'apaisa légèrement, je recrachai la fumée en rond, histoire de me concentrer sur autre chose que mon cauchemar , l'attaque, ou bien le fait que j'avais extrêmement mal a la tête. Je me levai une fois la cigarette fumée entièrement, puis allai vers la salle de bain, droit vers la porte vers la quelle je tendis la main, sur de moi.

La porte s'ouvrit tout a coup, me faisant sursauter mais ce que je vis après me surpris encore plus. Autumn, s'essuyant les cheveux trempés après sa douche avec une serviette blanche. Entièrement nue. Je ne pus m'empêcher de détailler ma petite amie du regard le peu de temps que je la vis. Elle était en tout point parfaite, finalement, des seins de taille plus qu'honorable, une chute de rein magnifique, des jambes fines, une peau bronzée ... C'était la première fois que je voyais Autumn nue et ça ne m'as pas du tout déplu. Bien sur, la réalité nous rattrapa. Elle bafouilla qu'elle revenait dans "trente seconde" et me claquai la porte au nez, réveillant ma migraine. J'attendis patiemment qu'elle se rhabille, elle sortit rouge comme une tomate. Et je ris devant l'incongruité de la situation. Hier, nous étions au bord de la mort et de la perte de notre âme, aujourd'hui, il nous arrivait quelque chose de drôle. Je pris sa main, histoire qu'elle n'aille pas plus loin puis déposai un baiser sur ses lèvres.

Bonjour mon coeur, bien dormi ?

Je lui souris et la serrai dans mes bras puis me rendis compte que j'étais en boxer. Elle habillée, moi en boxer, y'avait pas un problème la ? Enfin, je lui souris et caressai son visage en la regardant comme si elle était la huitième merveille du monde ce qui était le cas, a mon sens. Mon sourire s'agrandit en voyant son air gêné, et je lui dit pour la rassurer.

T'inquiètes pas ma chérie, t'as pas a avoir honte ! On finiras bien par se voir nu, et puis je t'avouerais que la vue ne m'as vraiment pas déplue !

Je l'embrassai a nouveau, heureux que tout puisse sembler normal, malgré tout ce qui peut nous arriver.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 14 Juin - 13:54

    J'étais encore un peu mal à l'aise, derrière la porte de la salle de bain. Comment j'avais pu sortir comme ça sans penser une seule minute qu'il pouvait très bien s'être réveillé et avoir quitter la salle sur demande dans le plus grand des silences... mais pourquoi aurait-il fait ça, d'ailleurs ? On s'aimait et il ne m'aurait quand même pas laisser ici sans la moindre explication, non ? Peut-être ? Je ne crois pas... pourquoi est-ce que je doute ? Parce que je n'arrive pas à croire que notre histoire est vraie, probablement ! Je n'étais pas dupe et je savais reconnaître que ma situation était étrange. Alexander et moi avions décidés de vivre une relation libre et je l'avais souvent vu faire les yeux doux à d'autre fille, peut-être était-ce la raison pour laquelle j'avais soudain peur. Et si je me donnais corps et âme dans cette relation et que je terminais par être... déçue ? Que je me prenais à rêver de l'avoir pour moi toute seule ? Est-ce vraiment mal de le penser, car, après tout, j'étais aussi libre de mon côté, non ? La seule chose que je voulais savoir, c'était si nous allions vivre ainsi le temps de notre relation. Parce qu'il ne faudrait tout de même pas oublier qu'il touchait des femmes qui n'était pas moi d'une façon qu'il n'avait encore jamais fait avec moi... sa petite amie.

    J'étais donc ressortie de la salle de bain quelques instants plus tard, balayant mes craintes d'un mouvement de la main. Le moment viendrait bien assez vite où nous tomberions sur le sujet, c'était inévitable. Pour le moment, tout de même. j'avais envie qu'il me regarde comme il ne l'avait encore jamais fait (j'avais quand même fait fort de ce côté en arrivant complètement nue dans la chambre qu'il avait créer pour qu'on puisse dormir, mais je voulais dire avec des vêtements...) et j'avais décidée de faire apparaître quelques vêtements qui ne devait habituellement pas être vu par les professeurs de l'école. J'avais compris le principe de la salle, lorsque j'avais remarquer qu'Alexander ne faisait que souhaiter quelques choses à plusieurs reprises. J'avais donc souhaiter un haut rouge flamboyant qui faisait ressortir ma peau légèrement basanée et un pantalon noir qui épousait les formes de mes jambes. Ai-je mentionné que j'avais le ventre à l'air, simplement pour sentir ses caresses ? Non... et bien maintenant vous le savez !

    Mon chéri prit donc ma main dans la sienne et m'apporta à lui pour déposer un baiser sur mes lèvres, geste auquel je ne pu m'empêcher de sourire. J'adorais sentir ses lèvres contre les miennes et je ne rêvais plus que de ça. Maintenant que j'y avais goûter et que je lui avais avouer mes sentiments, je voulais me nourrir de ses baisers comme un lion se nourrit de la chair fraîche. Je caressais sa joue pendant notre petit baiser qui me parut beaucoup trop court, mais il faut tout de même avouer que c'est le tout premier de la journée et qu'il risque d'y en avoir bien d'autre par la suite, autant de ma part que de la sienne. Il me demanda alors si j'avais bien dormi et je souris doucement, regardant par la même occasion son torse. Il était toujours en boxer et il avait bien profité de la vue que je lui avais offert, donc je pouvais bien le faire à mon tour, non ? Je caressais donc son torse avant de me mordre la lèvre inférieur et de venir plonger mon regard dans le sien, en lui souriant :

    "J'ai déjà connue mieux... disons que c'était un long sommeil sans rêve, de ceux que l'on appelle sommeil réparateur. J'aurais largement préféré rêver de nous deux, mais on ne peut pas tout avoir dans la vie. Et toi ?

    Viens ensuite le moment de ma nudité spontanée. Il tenta de me rassurer en me disant que nous allions bien finir par nous voir complètement nus et je savais qu'il avait raison. Nous ne pouvions quand même pas faire du sport de chambre avec tout nos vêtements et simplement en nous regardant dans le blanc des yeux... quoi que c'était encore très drôle ! L'amour oral était quand même pratique courante de nos jours... mais je commence à m'égarer dans ma conversation ! Je souris donc timidement, simplement parce que j'avais envie de le faire craquer et qu'il me trouve mignonne comme tout avant de lui souffler un petit :

    "Je sais bien..."

    Ma voix était mielleuse et de relevai mon regard qui brulait d'amour vers lui alors qu'il venait m'embrasser de nouveau. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassai avec une passion que je m'étais découverte. Je l'aimais et je ne voulais plus me cacher. Nous avions attendu si longtemps avant de nous montrez devant tout le monde, maintenant je ne me cacherais plus, certainement plus ! Après de longues minutes à ce baiser, je séparais mes lèvres des siennes. Elles étaient douloureuse, suite à ce baiser passionné, mais je me sentais bien, mieux que jamais. Tellement bien, je lui soufflais quelques mots qui traversent mes lèvres sans que je puisse les retenir :

    "Je vous aimes, Mr. Alexander Bright..."
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeLun 4 Juil - 15:38

Est-ce que j'avais rêvé ? Enfin, c'était une situation qu'on voyait seulement dans les comédies romantiques, ça ne pouvait pas arriver en vrai ! Voir sa copine nue comme ça en sortant de la douche, si c'était pas carrément cliché ! Je me demande si y'a pas une entité au dessus de nous qui joues avec les humains, comme un espèce de joueur de SimCity ... Mais en vachement plus développé. Si c'est le cas, je sais pas si je dois l'engueuler ou le remercier ! A la fois j'étais affreusement gêné, après tout, la nudité était une part de soi même que l'on offrait, pas que l'on montrait sans le vouloir, et je ne doutais pas que ma chérie était gênée par la situation, sûrement plus que moi. Mais j'étais aussi heureux, je veux dire, je suis un mec et je me rends compte que ma petite amie a un corps de rêve, sans imperfections , une véritable invitation a la passion. Je tentais de juguler mon envie d'ouvrir la porte de la salle de bain et lui sauter dessus en l'embrassant comme un fou. C'était très difficile de résister a la tentation, mais je crois que mon amour pour elle m'a retenu, complètement et aussi sûrement que des chaines d'acier. Bien sûr que j'avais envie de lui faire l'amour, elle était plus belle que quiconque et j'avais la chance d'être son petit ami, seulement, je la respectais assez pour qu'elle fasse le premier pas. Ainsi, je choisis d'attendre docilement qu'elle sorte de la salle de bain, ce qu'elle ne tarda pas a faire, et j'en fus bouche-bée.

Elle était définitivement... Canon ? Magnifique ? Sublime ? ... Non, pire que ça , elle était désirable au delà du raisonnable. Son ventre dénudé laissant apparaître ses hanches fines, son haut légèrement décolleté laissant apparaître la naissance de ses seins et son pantalon moulant me laissèrent sans voix. Vraiment, j'étais pétrifié, une déesse ne s'y serait pas prise autrement pour me séduire. Je souris doucement en me ressaisissant puis lui pris la main pour l'embrasser passionnément, mes mains s'égarant sur les hanches de ma magnifique petite amie. Je souris durant ce baiser car Autumn avait caressé ma joue avec une infinie douceur. Ce baiser fut court, comme un avant gout de ceux qui allaient suivre, un simple amuse gueule en gros, si vous me permettez ce raccourci. C'est loin d'être classe , je sais bien, mais bon, j'ai rien trouvé qui puisse correspondre. Je lui avais demandé si elle avait bien dormi et sa réponse m'arracha un sourire. Elle aurait préféré rêver de nous deux ... Vraiment, c'était juste un supplice, j'avais une envie irrésistible de l'embrasser, la maintenant tellement elle était mignonne. Ce que je fis d'ailleurs, en déposant un léger baiser sur sa joue douce comme la soie.


J'aurais aussi préféré rêver de nous deux, mais a la place, après un sommeil réparateur comme le tien est venu un sommeil agité, dont un cauchemar lié a hier soir, mais rien de grave.

Je mentais, bien sur, ce cauchemar m'avait bouleversé, mais je m'interdisais de montrer ça a Autumn. Enfin vint le sujet délicat de sa nudité. Je me rendis compte de ce que je disais au moment ou je le disais, stupide ! Idiot ! Crétin ! Tu passe pour un pervers maintenant ! Enfin, faut dire ce qu'il est, je vais bien finir par la voir nue , de son plein grès cette fois et elle vas finir aussi par me voir nu, ce qui semble avoir bien commencé, étant donné que je suis en boxer. Ce qui ne sembla pas échapper a ses yeux magnifiques. Je frissonnai alors qu'elle glissait un doigt malicieux le long de mon torse glabre et sourit doucement lorsqu'elle me dit qu'elle savait que nous finirions par nous voir nus. Je préférai ne pas aggraver les choses en faisant une nouvelle gaffe et me contentai de caresser ses cheveux.

J'avais voulu l'embrasser tendrement, seulement notre semi nudité, l'ambiance de la pièce et l'amour qui nous liait tous les deux a rendu ce baiser passionné. Plus ardent que toutes les flammes de l'enfer, je sentis un frisson parcourir ma colonne vertébrale et je glissai mes mains dans les cheveux bruns d'Autumn, approfondissant le baiser, le rendant si intense que j'en oubliais de respirer. Une fois le baiser rompu, le souffle coupé et les yeux brillants, Autumn me dit alors qu'elle m'aimait . Je lui souris et la serrait contre moi doucement puis lui dit d'une voix vibrante d'émotion, d'aucun auraient dit de désir.

Je vous aime , Miss Autumn Stevens, je vous aime vraiment.

Puis je pris doucement son visage entre mes mains et déposai un baiser soupir sur ses lèvres. Aussi léger qu'un battement d'aile de papillon, aussi puissant qu'un ouragan, je lui souris. Doucement.

Le cauchemar est complètement sorti de ma tête. Je suis complètement obsédé par Autumn, l'envie de connaître la douceur de sa peau, boire ses paroles a la source, sentir son coeur contre le mien ... Je l'aime, c'est absolument tout ce qui compte a ce moment précis. Je suis amoureux et c'est réciproque, qu'importe ce qui s'est passé hier, ce qui se passeras demain, c'est le plus intense moment de ma vie, c'est mon présent.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeSam 23 Juil - 23:14

    Maintenant qu’il m’avait vu nue, je n’arrivais pas à penser à autre chose que la nudité que je venais de lui offrir. En fait… je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il me voit aussi rapidement dans le plus simple appareil, alors que notre relation venait tout juste de se concrétiser. Peut-être que j’étais un peu trop vieux jeu, mais je me devais tout de même respecter mes principes. Comme je ne m’attendais pas tout à faire à ce genre d’évènement c’était pour cela que j’avais rougit aussi violement…. du moins, c’est ce que je voulais me faire croire. La vérité, c’était que j’avais seulement une chose en tête, une chose que je m’imaginais sans cesse et qui me rendait plus mal à l’aise qu’autre chose. Je n’arrivais pas à enlever cette image : Le corps nu de mon chéri contre le mien, nue également. Juste d’y penser encore que je me mets à rougir et à transpirer. Je sais bien que ce moment arrivera et je dois m’y préparer… je souhaite seulement qu’il me laisse du temps pour me préparer et m’offrir à lui complètement.

    Alexander m’ouvrit son cœur en m’avouant qu’il avait fait un mauvais rêve et qu’il aurait largement préféré rêver de nous, comme le souhait que je venais de lui dire. Aussitôt, mon visage s’éclaira et je m’illuminais complètement avec ce sourire que je lui réservais. Ce sourire était pour lui et pour personne d’autre. Alors qu’il m’avouait avoir eut un sommeil réparateur suivit d’une nuit agitée, mon sourire se transforma en une grimace que je ne tentais même pas de dissimuler. J’allais le prendre dans mes bras, mais je me dis que ce n’était peut-être pas l’idéal. Il pourrait croire que je le fais parce que je veux l’inciter à m’en parler, mais je ne voulais pas… quoi que la tentation fut plus forte que tout !

    "Tu... tu pourras m’en parler lorsque tu en sentira le besoin. Je l’ai fait et je me sens mieux, maintenant que tu connais mon histoire."

    Je me sentais tellement bien, lorsque les lèvres de mon chéri partageaient les miennes. Il arrivait à me faire passer par toutes les gammes d’émotions sans que j’en aie la moindre conscience, sans que je n’aie besoin de le demander. Il arrivait à me rendre vulnérable avec un seul regard, à me faire flamber avec un seul touché. Je pouvais me laisser aller dans ses bras, être la véritable personne que j’étais en réalité, je pouvais respirer librement, je pouvais me sentir libre, je pouvais vivre ma vie. Je voulais simplement me sentir aussi bien durant tout le reste de ma vie… et cette pensée me fit peur, puisque je venais de me rendre compte que j’avais besoin de lui à mes côtés. Cette révélation me frappa durement au ventre et je sentis un petit picotement au creux de moi. J’en rosis doucement, donnant toute mon amour dans les caresses et les baisers que je lui accordais. Je touchais son corps comme si c’était la dernière fois que je devais le faire, je l’embrassais comme si le simple fait de quitter ses lèvres allait m’arracher le souffle.

    Je lui avais dit que je l’aimais, parce que j’en sentais le besoin. Je voulais absolument qu’il sache combien j’étais bien en sa compagnie. Il arrivait à me rendre comme une vraie femme, même en déposant son regard sur moi et en me souriant. Il n’avait même pas besoin de me toucher pour que je sente sa présence à mes côtés et lorsqu’il me dit qu’il m’aimait lui aussi, je me sentis bien, comme si on venait de me mettre le feu. Je sentais le feu qui passait partout dans mon corps. Je lui souris alors et passait ma main dans ses cheveux avec toute la tendresse que j’avais en réserve. Jamais je n’avais touché un garçon comme j’étais entrain de le toucher et je me demandais si je n’étais pas entrain de devenir folle. Je voulais qu’il sache à quel point il était unique pour moi et que, si jamais il devait me quitter, j’en souffrirais atrocement.

    "Non, tu... tu ne comprends pas ! Je t’aime vraiment… comme je n’ai jamais aimé auparavant."

    Et je me mis à rougir, comme pour lui montrer la véracité de mes propos, comme pour lui montrer que je ne plaisantais pas et que j’avais envie de passer ma vie à ses côtés.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeDim 24 Juil - 12:06

Je crois que le fait que je l'avais vue nue avait beaucoup de signification pour Autumn,je pouvais certes comprendre certaines, mais la plupart des raisons qui la rendrait gênée a ce point, je ne les comprenais pas. Malgré le fait que je sois amoureux d'elle, me montrer nu a elle ne me gênerait pas ... Pas par exhibitionnisme bien sur , mais simplement pour m'offrir tout entier a elle, montrer mon corps a la personne que j'aime ne me dérangeait pas. Mais Autumn et moi étions différents sur un point. J'étais un garçon et elle une fille. Ne riez pas ! Mais a mon avis, un garçon et une fille ne voient pas la nudité de la même façon. Je ne sais pas, peut être que les filles ont entendues leur maman dire qu'il fallait se montrer nue seulement si on le voulait et a la personne que l'on aime... Ce genre de truc ... Personnellement, s'il y'a une leçon que j'ai retenu de mon père, c'est je devais être moi même, sans retenues, faire ce que je veux tant que ça n'était pas trop gênant pour les autres. Leçon que j'ai d'ailleurs suivi depuis mes 6 ans et que je continuerais sûrement a suivre jusqu'au bout de ma vie. Peut être que je me calmerais si j'ai des enfants, et encore, je ne suis pas réellement sur. Je n'insistai donc pas sur sa nudité, bien que son corps ait révélé des envies ... Assez contradictoire avec le sujet qu'on abordait, c'est a dire mon rêve de la nuit.

Elle me disait que je pourrais lui en parler, c'était tellement elle, s'inquiéter pour moi, se proposer pour m'aider ... Tant de gentillesse, de douceur et de candeur en une seule personne , on pourrait la comparer a un énorme bonbon. Pas physiquement ! N'allez pas lui dire que je lui ai dis ça, je parlais de son caractère, toujours bon et bienveillant. Je ne pu m'empêcher de lui sourire tendrement. Je pris sa main et la mis contre la joue puis en embrassait la paume délicatement puis pris cette petite main fragile entre mes deux paluches fortes et la regardai dans les yeux.

Je n'ai pas encore la force d'en parler a quiconque, la soirée d'hier a été marquante, mon rêve n'est qu'un resultat de celle ci. Rien d'inquiétant, je suis sur que beaucoup ont fait des cauchemar semblables cette nuit. Mais c'est vraiment gentil de te proposer, j'aime que tu sois la pour moi et sache que la réciproque est vraie. Je suis tout a toi si tu as besoin, je suis tout a toi en permanence.

Nous nous étions embrassé ensuite. Un baiser passionné, partagé, un baiser d'amoureux, un baiser d'amants, un baiser parfait. Une alchimie de deux lèvres, de deux corps fait l'un pour l'autre. Une vague de désir me happa littéralement et je du me retenir pour ne pas pousser mes caresses, mes baisers. Je voulais qu'elle s'offre a moi d'elle même et, c'était une chose que j'avais toujours respecté avec n'importe quelle fille , qu'elle se sente parfaitement prête. Ses mains sur mon torse étaient encore timides, elle rosissait d'ailleurs tandis que je la serrai contre moi. C'était très touchant, elle était encore plus belle que si elle tentait de me séduire. Son petit sourire légèrement embarrassé, ses joues roses et ses yeux pétillants, elle était plus attirante que n'importe quel sex-symbol maquillé a fond et retouché , modifiée tout ça. Sa beauté était naturelle, elle était naturelle, ça la rendait encore plus belle.

Le fait que je lui dise que je l'aimais avait eu l'air de lui faire plaisir, ce qui du coup me fit plaisir a moi aussi.Elle passa sa main dans mes cheveux et je caressai du bout des doigts sa joue, lui souriant toujours. Puis elle sembla tout a coup s'agiter et m'expliquait que c'était la première fois qu'elle ressentait ça pour quelqu'un. Mon sourire s'accentua et je luttai contre des larmes de joies qui allaient embuer mes yeux si je me laissais aller. Je déposai un léger baiser sur ses lèvres puis dit d'une voix rauque, presque cassée par l'émotion.

Je n'ai jamais dit "Je t'aime" a une fille, Autumn. Lorsque je sortais avec d'autres filles et qu'elles me disaient qu'elle m'aimaient, je ne répondais pas et m'esquivais. Tu es la première a qui je dis que je l'aime, alors je te pries de croire que je suis sincère. Je t'aime , je t'aime, je t'aime ...

Je continuai ma litanie en la serrant contre moi, un sourire qu'on pourrait appeler "Bonheur" s'étalant sur mon visage et des yeux brillants d'émotions. Puis je m'écartai d'elle et m'essuyais brièvement les yeux pour lui sourire a nouveau.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 9 Aoû - 20:01

    Je me sentais étrange, alors que je regardais mon chéri dans les yeux. Je n’’arrivais pas à mettre le doigt sur le mot qui pourrait décrire les sensations merveilleuses qui me passaient un peu partout dans le corps. Joie ? Non, c’était bien plus que ça. Extase ? C’était à peu près ça. En fait, si je pouvais seulement imager les sensations qui me parcouraient, Je n’aurais pas hésité à dire, tout de suite, un feu d’artifices. Des milliers d’explosion qui me réchauffaient et me faisaient me sentir si bien lorsqu’il se trouvait tout près de moi, dans mon champ de vision. J’arrivais à oublier tous les moments tragiques qui étaient survenues la nuit dernière lors du bal, j’arrivais à ne me concentrer que sur une seule chose et la plus importante de toute : Alexander Bright. Mon être brillait du simple fait de me trouver à ses côtés et de respirer le même air que le sien… si seulement c’était le cas pour lui aussi ! Malheureusement pour moi, je n’arrivais pas à percer à jour ses intentions à mon égard et ça m’était un peu égal.

    Je venais de lui dire qu’il pouvait se confier à moi et j’espérais vraiment qu’il le ferait. J’avais longtemps cru que garder le silence sur les évènements qui s’était produits la journée où j’avais perdu mon ami était la bonne chose à faire, mais je venais de comprendre que j’avais eut tort sur toute la ligne. Je m’étais confiée à lui et je lui avais racontée tout l’histoire et maintenant que je l’avais fait, je me sentais si libre qu’en fermant les yeux, j’avais l’impression que je pourrais m’envoler au loin en l’emportant avec moi. C’était peut-être un peu pousser par les cheveux, mais c’était exactement le sentiment que je ressentais. Il prit alors ma main et la déposa sur sa joue. Je ressentis des multitudes de chocs électriques quand il déposa des baisers sur ma peau et se transpirait à grosses gouttes quand il captura ma main entre les siennes. C’est alors qu’il m’expliqua qu’il ne pouvait pas en parler maintenant. Une ombre de déception traversa mon regard, mais je tentais de le dissimuler en tournant la tête. Il lui dit qu’il serait, lui aussi, toujours là pour moi, et je lui souris pour cacher ma peine. Je le pris ensuite dans mes bras.

    Mon chéri me dit alors quelque chose qui m’acheva, qui me scia les deux jambes, qui m’aurais bien fait pleurer si je n’avais pas été aussi surprise. C’était la déclaration d’amour la plus belle et merveilleuse que j’avais entendue de toute mon existence. C’est alors que je sentis les larmes qui coulaient sur mes joues, j’étais tellement émue par ce qu’il venait de me dire que ma voix n’arrivait plus à franchir mes lèvres. Je voulais lui dire à quel point je l’aimais moi aussi, mais je compris que c’était inutile, mes yeux parlaient pour moi. Je devais quand même lui faire comprendre tout mon amour !

    Prenant les épaules de mon chéri entre mes mains, j’entrepris de le faire s’allonger doucement sur le lit sur lequel il était assis. Je rougis un peu, forte devant mon audace. J’avais auparavant je n’aurais fait quelque chose comme ça. Alors qu’il était allongé, se demandant surement ce que j’étais entrain de faire, je grimpais sur lui, sentant mes joues en feu. Je me penchais alors vers lui et l’embrassais comme jamais, laissant mes cheveux tomber doucement sur son corps. Je caressais avec passion chaque courbe de son corps, y allant doucement pour ne pas dépasser la limite que je m’étais imposée… si jamais j’arrivais vraiment à me retenir. J’embrassais sa bouche avant de descendre doucement vers son cou, caressant doucement ses cheveux, sans un mot. Alors, je me relevai doucement pour le regarder dans les yeux. Les miens brillaient d’amour pour lui.

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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMer 10 Aoû - 10:22

J'avais constamment l'image du corps d'Autumn en tête. Je n'arrivais vraiment pas a me l'enlever, l'image que j'avais d'elle semblait imprimée a l'encre indélébile sur ma rétine. Ce n'était pas tellement par obscénité que son corps m'obnubilait, mais par ... adoration. Elle était si parfaite, comme sculptée par des anges de la beauté. Quoi que , même ces anges la ne pourraient rivaliser de beauté avec elle. Son corps tout en harmonie, ses courbes parfaites, son visage trempé de la douche qu'elle venait de prendre ... C'était une vision féérique, je crois que les plus belles vélanes du monde auraient peur de se montrer après l'avoir aperçue. J'avais l'impression qu'un halo fait de pureté l'enveloppait, bien qu'en même temps elle me semblait terriblement tentatrice. Sexy et innocente, pure mais si désirable ... Elle était la perfection dont j'avais toujours rêvé, a la fois physiquement qu'intérieurement. Mon jugement était peut être faussé, peut être étais je simplement aveuglé par l'amour, j'avais entendu parler de ce genre de réaction lorsque l'on est amoureux ... Mais je m'en fiche. J'ai la chance de sortir avec une déesse, ça me comble littéralement de joie.

Je sentis qu'elle était déçue que je ne lui confiais pas mon cauchemar. Mais la bulle dans laquelle j'étais était si parfaite que je ne voulais pas la faire éclater en racontant ça. L'histoire des détraqueurs était trop fraîche pour qu'on l'aborde sans risquer de tout foutre en l'air. La Salle sur demande offrait un havre de paix, loin de la folie des hommes, de la peur et de la haine. Une salle faite pour l'amour, l'amitié, les nobles pensées ... Alors n'allons pas détruire l'essence même de ce havre de paix ! Je lui caressai les cheveux, et l'embrassai, essayant de ne pas la décevoir de trop non plus. Enfin, je comprendrais si elle pensait que je ne lui faisais pas confiance, ça devait être l'impression que ça donnait. Mais je n'en avais tout simplement pas la force ...

Elle m'avait ensuite dit qu'elle m'aimait plus qu'elle n'avait jamais aimé un autre homme. A cela, je lui avais ouvert mon coeur et avoué que c'était la première fois que je disais "Je t'aime" a quelqu'un. Même a mes parents, je ne leurs disaient pas , même a mon frère, ou a mes anciennes conquêtes. Et a priori, ça lui avait fait très plaisir. La suite des évènements me le prouvèrent ! Elle s'était mise a pleurer ! Mais de joie, si j'en crois le sourire noyé de larmes qu'elle me fit ! Je souris , gêné et rougissant. Je n'avais jamais fait pleurer de joie une fille ... Enfin, il y'avait bien cette nana , en 5eme année , mais c'était au lit, dans un contexte ... différent. Je lui souris et caressai a nouveau sa joue, touché au possible par cette démonstration d'amour qui, plus que les mots , m'émuait au delà des larmes. Je fermai les yeux doucement, pour me calmer et ne pas fondre en larmes puis je sentis alors une légère pression sur mes épaules. Pas plus forte qu'une plume mais je m'allongeai docilement sur le lit ou j'étais assis. Je la sentis un peu gênée, comme si elle s'étonnait elle même d'être si audacieuse. Je sentis ses cheveux tomber sur mon torse puis glisser le long de mon cou tandis qu'elle m'embrassait. Une sensation si délicieuse, si enivrante que j'en oubliai tout. Le cauchemar, la haine, la rage, la folie dont faisait preuve les hommes ... Il n'existait désormais pour moi que notre amour, nos peaux se frôlant et nos lèvres se touchant. Je la sentis m'embrasser dans le cou et j'ouvris les yeux, l'observant en train de caresser les courbes dessinées par mes muscles. Ses doigts parcourant mes abdominaux me firent tourner la tête et ses yeux reflétaient le même amour, le même désir frénétique que le mien. Je pris doucement son visage entre mes mains, caressant du bout des doigts ses joues tout en relevant son visage vers moi. Puis je pris doucement les commandes, l'embrassant du bout des lèvres, je dis d'une voix rauque.

Je t'aime ...

Ce n'était pas pour la presser, pour la stresser, je voulais qu'elle aie le choix de m'arrêter si elle jugeait que l'on allait trop loin. Je lui souris avec malice et inversai les positions , me retrouvant au dessus d'elle. Je me mis a m'amuser a l'embrasser un peu partout sur le visage, m'attardant bien sur sur ses lèvres rubis. Je me mis a mordiller ses lèvres pendant les baiser, jouant avec le feu certes, mais c'était délicieusement grisant. Je descendis le long de son cou, parcourant chaque centimètre de sa peau de baiser puis tout en remontant mordiller son oreille je mis mes mains sur ses hanches, les caressant par dessus ses vêtements. Je mourrait de désir pour elle, mais c'était a elle de décider si il fallait aller plus loin ou pas. Je ne demandai pas directement, pour ne pas la "braquer", elle déciderait si on s'arrêterait ou pas. Je me mis face a elle et plongeai mon regard humide par les larmes de bonheur que j'avais retenue dans ses yeux magnifiques, y lisant toujours le même désir, le même amour ...
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMer 28 Sep - 21:04

    Le monde au alentour n'avait plus aucune raison d'être, maintenant que j'étais auprès de lui. Il arrivait à me rendre heureuse simplement en me souriant. C'était un sentiment auquel je n'avais encore jamais eut le bonheur de goûter. Une sensation que même les mots les plus forts du dictionnaires n'auraient jamais été capable de décrire. Peut-être qu'il serait temps que je me mette à la création, que je me mette à inventer les mots justes pour les femmes amoureuses qui n'arrivent à exprimer justement à leur homme les sentiments qu'ils font naître en elles. J'étais le genre de fille à laisser transparaître mes émotions dans les actions que j'entreprend à tous les jours. En d'autre mot, je suis une livre ouvert, une personne qui parle et qui n'utilise que très rarement les paroles pour montrer son amour et son amitié envers une personne. Mon regard dans celui d'Alexander devait déjà parler pour moi et il devait comprendre toute l'amour que j'avais pour lui, pour la personne merveilleuse qu'il était. J'avais déjà oubliée tous les moments difficiles qui nous avions vécus la veille, dans cette salle de bal. Nous nous étions promis que cette soirée resterait à jamais dans notre tête et nous ne savions pas à ce moment que se serait aussi vrai, mais j'avais tout de même réussi la grande mission de me remémorer, seulement, les moments heureux que j'avais passés dans ses bras.

    Les paroles de Lexou sonnait toujours plus vrai que nature à mes oreilles. Il aurait très bien me murmurer les pires mensonges à l'oreille que j'aurais très probablement crue toutes les choses qu'il m'aurait dit, même si c'était l'existence de père noël ou du big foot. En ce moment même, j'aurais été capable de le suivre au bout du monde, de le suivre peu importe l'endroit où il aurait envie de m'emmener, que se soit en enfer ou au paradis. Oui, vous avez très bien comprit, j'étais prête à le suivre jusqu'en enfer si jamais il venait à me le demander. Peut-être que cette pensée était plus folle que je ne le pensais, mais je me rendais compte à ce moment là que j'étais complètement folle amoureuse de lui et que le simple fait de le perdre me donnait la nausée et des pensées plus que noires. Que deviendrais-je s'il décidait du jour au lendemain de partir avec une autre fille beaucoup plus belle, plus gentille, plus... tout que moi ! Serais-je toujours capable de sourire au monde, de faire semblant que tout allait bien alors que tout irait au plus mal ?

    Alors que je commençais à déprimes de mes propres pensées, les mains de mon amour encadrèrent mon visage et mes yeux se posèrent sur lui. Il caressa doucement mes joues et approcha mon visage du sien. Automatiquement, mes yeux se fermèrent pour mieux apprécier le baiser que je savais pertinemment qu'il allait me donner. Je goûtais de nouveau, mais tout doucement, puisque son baiser m'était presque voler. Ce petit baiser, aussi minuscule soit-il, arriva à me faire perdre la tête. Je m'imaginais déjà notre vie lorsque Poudlard serait derrière nous, mais je n'avais aucunement envie d'en parler avec lui pour le moment. L'on m'avait toujours dit que les hommes prenait peur lorsque les femmes commençaient à discuter d'avenir et la dernière chose que se souhaitait, c'était de le voir s'enfuir en courant. J'attendrais donc docilement qu'il en vienne au sujet par lui même, car je me doutais bien qu'il finirait par le faire. Alors que je souriais de mes pensées, la voix rauque de mon amour me ramena à la raison, une voix d'où l'on devinait facilement le désir brûlant qu'il avait pour moi, un désir qui me fit monter le rouge aux joues. Jamais un homme ne m'avait encore parlé avec ce timbre de voix... avec ce désir.

    Avant que je n'ai le temps de dire la moindre chose, Alexander inversa les rôles et prit le dessus sur moi. Je me sentis aussitôt intimidé, comme si je n'avais encore jamais vécu cette situation avec un autre homme. Pourtant, ce n'était pas le cas... j'avais déjà senti le poids d'un autre contre le mien, mais aucun n'avait réussit à me faire sentir aussi femme que mon chéri à cet instant. Il couvrait chaque parcelle de mon visage de baiser et c'était limite si je ne ronronnais pas sous les caresses de ses lèvres. Ses mains caressaient mes hanches et je me sentis fiévreuse. Peut-être que je couvrais quelque chose de malsain ? Je relevais alors la tête vers lui pour l'embrasser de nouveau, comme si le goût de ses lèvres était le plus exquis des vins, comme si son souffle m'était vitale pour ma propre survie.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeDim 9 Oct - 13:28

Je n'avais jamais rien senti d'aussi intense. Jamais, j'étais complètement immergé dans les yeux de mon amoureuse, absorbé, perdu, noyé dans le désir qui brûlait dans ses yeux. Je me sentais comme transporté, prince des cieux emportant ma reine avec moi dans un monde fait de passion. Des flammes dansaient au creux de mes yeux, des papillons dansaient le madison dans mon ventre, ma peau jouait a changer de température entraînant des concerts de frissons. Nos baisers étaient feu follets et pluie, violents et incroyablement doux ... Je n'avais jamais ressenti ça avec les autres filles avec qui j'avais couché. Ce n'était pas le simple d'unir nos corps qui me faisait vibrer, c'était nos coeurs battant a l'unisson, nos esprits fusionnant, nos lèvres se joignant ... C'était sûrement ça l'amour, mélanger les sentiments et les réactions de nos corps, créant ainsi une véritable bulle de passion. Son corps contre le mien, ses mains dans les miennes, nos moindre mouvements devenant une symphonie silencieuse .

Les mots que je lui avait offert résonnaient encore dans ma tête, comme pour me convaincre qu'ils étaient réels, indiscutables ... Comme si j'en avais besoin ! Je le sentais dans toutes les fibres de mon corps que j'étais amoureux. Cette interminable répétition de "je t'aime" avait pourtant du bon, je me sentais grisé par cette révélation. C'était quelque part la première fois que je ferais l'amour a une fille. Avant, ce n'était que du sexe avec une (ou plusieurs) filles lambda, sans rien. Mais j'atteignais un nouveau niveau de plaisir, un plaisir intense, absolu. Il y'a tant de façon de dire des choses sans parler, par des gestes simples, des baisers, une main tendue ... Nos gestes suffisaient a nous dire que nous nous aimions. C'était un tout, un univers a nous deux. Et toute cette harmonie entre nous était si grisante que ma tête en tournait. Seigneur, bouddha, n'importe qui, je suis prêt a vous remercier toute ma vie pour m'avoir fait rencontré une femme qui me complétait si bien. Je me sentais incroyablement fort et a la fois si faible a ses côté. Prêt a soulever des montagnes pour elle, mais capable de hurler a la mort a la moindre accroche.

Elles étaient en dessous de moi, nos corps vibrant sans se toucher, désir intense mais passion retenue. Par respect pour elle, par respect pour nous. Je rêvais d'embrasser sa peau nue, de sentir nos corps s'unir ... cependant, j'attendais le feu vert, continuant cependant a jouer avec le feu, devenant de plus en plus coquin.. Jouant avec ses lèvres, caressant ses hanches, taquinant le bout de sa langue, je jouais le jeu de la séduction et j'étais assez bon a ce jeu, la plupart du temps. Je reprenais petit a petit mes marques, retrouvant mes habitudes, moins déstabilisé par mes sentiments je savais quoi faire. Elle m'embrassa fiévreusement, je souriais pendant ce baiser puis me mis a embrasser ses épaules, glissant ma main sous son Tshirt pour sentir la peau nue de ses hanches. Je trouvais ça quelque peu injuste qu'elle ait encore un haut tandis que j'étais en caleçon, torse nu, alors malgré mes bonnes résolutions, avec un sourire coquin, je lui retirai son haut délicatement, sans la presser. Je souris en voyant ses cheveux ébouriffés s'étaler sur le lit, comme un rideau de soie noire. Je me mis doucement a embrasser son ventre, remontant calmement vers son visage que je finis par prendre dans mes mains avec une infinie douceur pour l'embrasser passionnément. Je regardais son corps parfait, Aphrodite des temps modernes, invitation a la tendresse ... Terrible tentatrice ... Jusqu'ou me laisseras t'elle aller ? Devrions nous nous arrêter maintenant ? Je ne savais pas quoi faire, ce qui ne manquait pas d'ironie je trouve ...
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 13 Déc - 20:55

    La Terre pouvait bien exploser, disparaître, la race humaine pouvait s'éteindre que je n'en avais strictement rien à foutre. En ce moment, je vivais probablement la plus belle expérience de toute ma vie. J'avais bien entendu déjà été caressé par les mains d'autres hommes, mais jamais je n'avais ressenti une sensation aussi intense que celle qu'Alexander pouvait me faire vivre avec le simple contact de son souffle dans mon cou. Je plaçais mes mains sur chaque parcelle de son corps que je pouvais toucher et le simple fait de sentir sa peau, ses formes sous mes doigts me donnaient l'impression que j'allais perdre la tête. Je déposais mon regard rempli de désir dans ses yeux... ses yeux qui me noyaient au fur et à mesure que je continuais de me serrer contre lui. Je compris alors que tout était terminé, que je ne pouvais plus reculer, que cet homme était le mien et que je ferais tout en mon pouvoir pour le garder à mes côtés, que je ferais tout pour qu'aucune autre filles ne puissent se mettre dans le même état que le mien. Je voulais simplement que cette sensation d'amour, que cette vibration au fond de mon bas ventre ne pouvait appartenir qu'a une seule femme : moi. Le simple fait de penser qu'une autre fille, maintenant, pouvait vivre autant de tendresse et d'amour dans les bras de celui que j'aimais me rendait complètement folle, à un tel point que mes ongles s'enfoncèrent dans la peau de mon amour, alors que mon visage se contractait pour lui montrer à quel point j'étais désolé de m'être égaré dans mes pensées alors qu'il n'avait d'attention que pour moi, qu'il tentait de me faire comprendre à quel point notre amour était fort et unique.

    Alors que je pensais encore à toutes les autres filles et que je ruminais dans mon coin, mon tendre amour fit doucement glisser mon chandail. Je le laissais faire avant de comprendre qu'il n'avait rien à faire des autres filles. Je le compris enfin en voyant son regard se poser sur mon, un désir ou je pouvais voir la tendresse et l'amour que je recherchais depuis tellement longtemps ! Il caressa alors mon visage avant de l'embrasser avec passion, jouant à un jeu coquin, un jeu que nous n'avions encore jamais eut le plaisir de vivre à deux. Je mordillai tendrement ses lèvres pour lui montrer que ce jeu me plaisait et que je pouvais y jouer durant une période indéterminé. Je savais qu'il avait envie de moi tout autant que j'avais envie de lui. Ses baisers brûlants était toujours présent sur mon ventre et je pouvais sentir leur feu qui grandissait rapidement à l'intérieur de moi. Prise d'une violente envie, je soulevais doucement mon corps pour qu'on entre en contact. Lorsque je sentis son ventre contre le mien, son torse écrasant le mien et m'apportant sa chaleur, je me mis à voir trouble, la pièce commença à tourner autour de moi. Je pris alors l'initiative en prenant le dessus, le positionnant au dessus de lui. Je voulais tester sa limite, je voulais voir jusqu'à quel point il était tolérant avant de me sauter dessus et d'arracher mes vêtements... mais qui savais ? Peut-être bien que je serais la première à flancher...
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeJeu 29 Déc - 10:37

    Est ce que vous connaissez cette impression qui vous fait sentir comme le seul homme sur terre aux yeux d'une femme ? Cette vague de passion qui se déchaîne dans son regard au moment ou on l'embrasse ? C'était exactement ce que je ressentais en ce moment. L'air paraissait crépiter de désir alors que nos caresses se faisaient de moins en moins innocentes. La tension entre nous était quasi électrique, un courant que notre corps produisait. Nous étions en parfaite harmonie, même si ce n'était que quelques caresses pour l'instant, nous nous accordions. Accordé a quoi ? A l'autre, au flux de l'univers, bien que pour moi dans ce cas présent, c'était les deux même choses. J'avais trouvé l'élément qui faisait tourner mon univers, elle était en face de moi, éblouissante de beauté. J'étais complet, enfin. Je savais qu'elle avait déjà eu des conquêtes, c'était un passé que nous partagions, mais je m'en fichais. Je veux dire, ses baisers m'étaient destinés, ses sourires aussi, ce regard empli de désir n'était rien qu'a moi... Tout comme j'étais désormais entièrement sien, corps et âmes. Nous nous aimions, ça semble fou de le dire, mais nous sommes amoureux et je suis prêt a lui donner tout ce qu'elle veut. S'il lui faut ma force, je soulèverais des montagnes, s'il lui faut mon coeur, je l'arracherais de ma poitrine, s'il lui faut mon amour, je l'aimerais comme on a jamais aimé.

    Tout l'amour que nous nous portions était visible, plus beau que milles arc en ciel, elle faisait briller mon avenir comme des millions de soleil. Je n'avais jamais été aussi sûr de notre avenir que maintenant que le tenais dans mes bras. Autumn semblait comblée de mes baisers, presque autant que je l'étais de l'embrasser. Elle mordilla mes lèvres tandis que je l'embrassais me faisant frissonner de désir. Ma volonté ne flanchait pas cependant, je resterais prêt a m'arrêter au moindre mot de sa part, si elle ne voulait pas aller plus loin. Bien que lorsqu'elle se cambra d'un coup, le contact de nos corps fit trembler la dite volonté sur ses fondations, je restais paré a l'éventualité qu'elle veuille s'arrêter. Je frissonnai et alors qu'elle était cambrée, je passais mes mains dans son dos pour la serrer contre moi, l'embrassant avec passion, sa poitrine contre la mienne, nos coeurs battant a un rythme frénétique. Je souriais quand elle se positionna au dessus de moi, elle semblait me tester, savoir si j'étais capable de résister a mon envie de lui faire l'amour. Je me mettais a frissonner en posant ma main sur ses hanches, l'autre se glissant entre les mèches brunes de ma petite amie pour rapprocher son visage du mien. En souriant, je regardais ses yeux, sachant que les miens exprimaient au moins autant de désir que les siens, je n'en fut pas pour autant moins excité. Elle avait ce regard que je n'avais vu que rarement, ce regard qui dit qu'elle m'aime, qu'elle sait que je l'aime, que ce que nous faisons coulait juste de source. Je l'embrassais passionnément, ma main sur sa hanche caressant la douce peau de mon amour. Je me mis a descendre mes baisers sur sa joue, puis sur son cou, m'arrêtant légèrement sur son lobe d'oreille, mordillant le petit bout de chair tendrement. Mes baisers descendirent doucement le long de sa clavicule pour que je me mettes a embrasser la naissance de sa poitrine, sans pour autant retirer le tissus les séparant de moi. Je voulais qu'elle le fasse, ce serait une autorisation en quelque sorte, celle d'aller plus loin. J'y tenais, je ne voulais pas que ce soit une première fois forcée pour nous. Je voulais un instant magique, je ferais tout pour que celui ci le soit.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMer 22 Fév - 1:43

    La terre pouvait bien cesser de tourner que je n’en aurais aucunement vue la différence. Présentement, la seule chose que je pouvais sentir tourner, et bien, c’était ma tête. Elle me faisait voir floue, je n’arrive tout simplement plus à trouver le nord. Dans d’autre situation, je me serais poser des questions, j’aurais tenté de trouver les raisons de mon symptôme, mais cette fois-ci, c’était inutile puisque je connaissais ma maladie, puisque je connaissais la raison pour laquelle je me sentais aussi fiévreuse et aussi maladive. Mon trouble portait un nom, un nom si doux que même les anges rougissaient lorsqu’on le prononçait : Alexander Bright. Un volcan en éruption n’aurait jamais réussit à vaincre le niveau de chaleur que je ressentais dans chaque partie de mon corps, puisque j’étais moi-même en éruption. Chaque caresse, chaque baiser, tout était triplé d’intensité et me faisait frissonner. Je voulais connaître chaque parcelle de son corps sur le bout des doigts, pour pouvoir m’imaginer son corps, lorsque je serais seule dans ma salle commune et que je commencerais à sentir que sa présence me manquait. Je savais alors que j’aurais une distraction aussi savoureuse qu’excitante. Je frémissais déjà à m’imaginer ce corps qui était celui de mon homme contre le mien, même en rêve. Le fait de vivre enfin cette sensation que j’avais imaginé mainte et mainte fois en rêve… ne pouvait que me combler de bonheur maintenant qu’elle se concrétisait. Il touchait ma peau qui s’électrisait, embrasser ma peau qui s’enflammait, caressait mon corps qui s’envoutait. Je ne désirais plus qu’une seule chose : Le connaître comme je ne l’avais encore jamais connu auparavant.

    Alors que nous devenions de plus en plus intense dans notre amour, je me pris à rêver de nous deux. Je le connaissais pour savoir qu’il avait été volage avant de me connaître et une part de moi continuait probablement d’avoir peur. Pourtant, je continuais de croire en lui et en notre amour, je continuais de toute mes forces à me dire qu’il ne devait aimer que moi et que ses yeux, qui brillaient d’une si belle intensité quand ils se posaient sur moi, ne pouvait signifier qu’une seule chose : qu’il serait mien pour le reste de nos jours… et si c’était mon avenir que de vivre à ses côtés et de l’aimer toute ma vie ? Je sais bien qu’un homme comme lui ne pouvait qu’être qu’un homme à aimer, un homme à chéri, un homme avait qui se serait un bonheur d’ouvrir les yeux, chaque matins et de le voir à mes côtés. Les lèvres chaudes de mon amour me virent revenir sur terre, au moment présent. J’aurais tout le temps de rêver, lorsque nous serions au repos, pour penser à des choses aussi heureuse que notre avenir et je devais plutôt me mettre dans la tête qui nous vivions un moment unique dans notre relation, que c’était la première fois qui nous communiquions aussi bien l’un avec l’autre. Je mordillai ses lèvres avec douceur, encore étonné d’avoir un aussi grand contrôle sur ma personne alors que chaque parcelle de mon corps me criait de lui sauter sauvagement dessus et de n’en faire qu’une seule bouchée. Je le sentais apprécié chacune des petites attentions que j’avais envers lui et je m’imaginais qu’il devait, lui aussi, prendre un grand contrôle pour ne pas me pousser à l’action, chose que j’appréciais énormément de ça part. Auparavant, il devait avoir été plus vite en affaire avec les autres filles, avoir une tonne d’expérience, chose qui me paralysait légèrement… mais la façon qu’il avait de me regarder et de m’embrasser arrivait très facilement à me calmer et me faire comprendre que devais rester moi-même, puisqu’il était lui-même en ma présence.

    Lorsque je fis bouger mon corps de façon à sentir le sien contre le mien, je le sentis vibrer dans chaque parcelle de mon corps et je laissai tomber un soupir rauque que j’aurais bien retenu. Il passa alors une main si douce dans mon dos pour me rapprocher de lui alors que ses baisers m’enivraient d’amour pour lui. Nos corps étaient si près l’un de l’autre que je n’arrivais tout simplement pas à distinguer si c’était son cœur ou le mien qui battait aussi rapidement… à moins que se soit un mélange de nos deux cœurs, qui battaient à l’unisson ? À force de se sentir aussi intime avec une personne, il en venait que l’on s’oublie et que le corps de l’autre deviennent le notre… du moins… c’était la sensation que je pouvais ressentir en ce moment. J’avais pris le dessus, ma volonté aillant probablement décider que le moment était venu de lui laisser le champ libre. L’une de ses mains se déposa sur ma hanche et l’autre ordonna à mon visage de s’approcher du sien pour qu’il puisse s’y amuser à sa guise. Alors que je voyais son visage si près du mien, je compris que j’oubliai de respirer, que je commençais à manquer d’air… à moins que se soit l’intensité du moment qui m’empêchait de respirer et qui compressait ma poitrine ? Je pouvais lire quelque chose dans ses yeux qui me retournait l’estomac, mais dans le bon sens du terme. Non, ses yeux ne me donnait pas envie de vomir… j’y voyais seulement quelque chose qui s’appelait le désir et qui enflamma mon ventre, comme si l’on venait de jeter du l’huile sur le feu qui y brulait intensément. Il embrassa alors mes lèvres et je fermai les yeux pour réellement apprécier ce moment. Il commença à caresser le bas de mon dos et je me sentis bien, malgré le fait que je frissonnais. Je n’avais pas froid, loin de là l’idée… en fait… j’avais véritablement chaud ! Ses baisers commencèrent à descendre le long de mon visage et il s’attarda à mon lobe d’oreille, accélérant par la même occasion ma respiration. Il continua alors sa descente, arrivant à la naissance de ma poitrine, me faisant de nouveau retenir ma respiration. Je caressai ses cheveux alors qu’il semblait s’attarder, comme s’il attendait quelque chose venant de moi. J’ouvris alors les yeux et détachait son visage de ma poitrine pour qu’il puisse me regarder et plongeait me regard remplie d’intensité dans le sien. Doucement, je pris sa main et la déposa sur l’agrafe de ce qu’il me restait de tissu sur le corps.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeSam 3 Mar - 15:45

    Je crois que je n'ai jamais ressenti un tel désir de toute ma vie. Vraiment. Cette fille était tout ce que je voulais au monde, et elle m'avait choisi moi. Moi celui qui trompait, quittait, laissait les filles comme d'autres laissent leur salade au restaurant. Elle m'avait donné sa confiance, elle m'avait donné son coeur sans aucune retenue, et ça me rendait tellement heureux... A vrai dire, je me sentais un peu désorienté par la tournure qu'avait prise notre relation, mais je n'avais pas peur. Je n'avais pas peur parce qu'au fond de moi, je savais que je mourrais pour elle, que je pourrais sacrifier l'Angleterre tout entière pour rester dans ses bras, pour pouvoir continuer a l'embrasser jusqu'a la fin de ma vie. Je pensais a nouveau a l'avenir, je m'imaginais avec elle dans six mois, un an, cinq ans, partout ou je regardais, je me voyais avec elle. Elle me laissait l'aimer, elle me laissait respirer le même air qu'elle et ça me suffisait. J'aurais du être effrayé, mais après ce qu'il s'était passé hier, je savais que quoi qu'il arrive, j'aurais son soutien, même face a des monstres, même face a mes propres démons, elle me donnerait la force comme elle avait su me la donner face aux détraqueurs. Je survivrais au jugement dernier si elle était a mes côtés, nous y survivrions ensemble. Ensemble, rien que ce mot me semblait si ... naturel maintenant. Chaque jours gris s'éclairait dès qu'elle me disait qu'elle m'aimait, dès qu'elle me souriait, dès que je sentais son odeur... Je suis amoureux, je crois que c'est ça le mot : amoureux, fou amoureux.

    J'embrassais a nouveau la moindre parcelle de peau dénudée, jouant doucement avec nos résistances a tous les deux, spécialement les miennes, car je sais que je n'avais jamais été aussi peu sûr des intentions d'une fille que j'avais ammenée dans un lit avant... Et la, je me sentais sur un chemin sans retour, dirigé complètement par le désir pour cette fille que j'aimais. J'avais très peur qu'elle me rejette, qu'elle me dise que ce n'était pas le bon moment, qu'elle voulait y'aller plus doucement. Embrassant la naissance de sa poitrine, doucement, comme si j'avais peur de lui faire mal, j'attendais un signal, un regard. Je sentis alors ses mains se poser sur mon visage, le soulevant au niveau de son regard et mes appréhensions s'évanouirent lorsque je vis le sourire qu'elle avait. Comme pour prouver que je n'étais pas trompé, elle prit ma main pour la poser dans son dos, au niveau de l'agrafe de son soutien gorge. C'était un geste simple, mais je ne pu empêcher un sourire réjoui, béat de s'étendre sur mon visage. D'une main je défis l'agrafe de la barrière de tissu qui séparait nos deux coeurs et l'enlevait délicatement de ma petite amie. Je l'embrassais tendrement en caressant son dos désormais complètement nu, des étoiles dansant devant mes yeux fermés. Un feu d'artifice illuminait ma tête, un feu nommé désir... Je mordillai sa lèvre inférieure puis reculais légèrement pour caresser sa poitrine. Je la découvrais avec l'étonnement d'un nouveau né découvrant la vie. Caressant sa peau au grain serré, sans imperfection tout en l'embrassant, je laissait glisser mes lèvres de nouveau vers sa poitrine puis me mis a embrasser ses seins doux et fermes. J'embrassais, mordillais, caressait sa poitrine tout en soupirant de désir. J'embrasssais une dernière fois ses seins pour remonter a son visage, caressant le bas de son dos puis plaquant son corps contre le mien d'un geste a la fois rapide et doux. De cette manière, je savais qu'elle ressentait tout le désir que j'avais pour elle, de manière physique je veux dire, et si elle ne me repoussait pas, ce serais le signal pour continuer, complètement.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 27 Mar - 18:19

    La vie nous joue parfois de drôle de tour. Je n'aurais, premièrement, jamais cru que je pourrais un jour me sentir aussi près d'une personne, aussi près que je ne l'étais avec Alexander. La seule façon qu'il avait de poser son regard sur moi en disait long sur la façon dont il voulait passer sa vie avec moi. Peut-être que je rêvais, mais j'avais vraiment l'impression d'être unique lorsqu'il déposait son regard sur moi. Les animaux pouvaient mourir d'une épidémie, la race humaine s'éteindre et les réserve d'eau potable devenir complètement imbuvable... que je n'y verrais aucune importance. Le plus important, c'était qu'il me regardait dans les yeux, avec amour, et que je pouvais y comprendre que notre amour survivrait à toutes les pires histoires possibles dans le monde. Ce genre de lien ne pouvait pas se tisser en a peine quelques mois... et pourtant ! Entre Lexou et moi, c'était si peu de temps à se connaître, plus de temps à chercher à se comprendre, à se retrouver... Enfin, vous comprenez ce que je veux dire ? Comment me sentir aussi prêt d'une personne qui me jouait dans le dos, avec ma permission, qui draguait d'autre femme, bien que je le sache pertinemment ? Maintenant, un tel comportement de sa part me paraissait impossible et je pouvais lire dans ses yeux qu'il voulait que je sois sienne... dès maintenant et à jamais.

    Mes mains tremblaient alors que je touchais chaque parcelle de son corps, comme s'il ne me serait plus jamais permis de le faire, comme si l'on m'obligeait à le quitter à tout jamais. Nos baisers devenaient de plus en plus insistants, de plus en plus entreprenants. Je le laissais me toucher comme je ne lui avais jamais laissés faire auparavant. Je devenais chose entre ses mains, je devais femme. Je ne vivais que pour retrouver un moment aussi intense, je ne m'imaginais tout simplement pas ailleurs, sachant pertinemment que ma place était ici, entre ses bras, ma peau frissonnant sous ses baisers.J’en venais à me demander comment une personne pouvait me rendre aussi vulnérable. S’il venait à sortir de la pièce, je me retrouverais seule, démunie et, le plus important, je n’arriverais tout simplement plus à survivre sans sa présence. Je devenais, maintenant, complètement accro, une âme sans vie lorsqu’il me quittait, véritable junkie de sa tendresse et de son amour. Je caressai son visage, douceur infini, plongeant mon regard dans le sien, prête à devenir une loque humaine s’il se décidait à me quitter, à me laisser seule dans ce monde si froid, moi qui avait maintenant besoin de son corps chaud contre le mien.

    Je voyais pertinemment que mon tendre voulait plus que ce que j’étais entrain de lui donner. C’est pour cette raison que je le laissais faire pratiquement tout ce qu’il voulait de moi. De toute façon, je ne me débattrais pas pour lui donner ce qu’il voulait de moi puisque j’en avais envie tout autant que lui. Nous nous étions maintenant trop souvent regardé dans les yeux sans rien faire, serrer dans nos bras sans arrière pensé… il était maintenant temps de passé à l’acte et j’étais tout à fait consentante… et prête !
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 1 Mai - 15:27

    Maintenant que nous étions tous les deux l'un contre l'autre, dans ce lit au milieux de la salle sur demande, je me sentais comme de retour a la maison après une grande absence. Je ne peux pas vraiment expliquer, mais j'étais aussi bien que l'on pouvait l'être, comme si c'était exactement la ou je devais être : dans ses bras. J'aimerais ne jamais avoir a quitter ce lit, ne jamais quitter ses bras, ne jamais avoir a sentir autre chose que son odeur, a toucher autre chose que sa peau, a entendre autre chose que ses soupirs. Notre nid d'amour semblait empli des étincelles de notre désir mutuel, imprégné a jamais de notre amour. Je me sentais prêt a lui faire l'amour, pour la première fois, la notre. Les souvenirs de la nuit dernière semblaient si loin, mon mauvais reve aussi, le seul rêve auquel je pensais était celui que j'avais devant moi. En regardant dans ses yeux, je sentais que je ne serais plus jamais seul, plus jamais. J'essayais de lui faire comprendre par la même façon qu'elle ne le serait plus jamais non plus.

    Toutes ces sensations qui déferlaient en moi me donnaient l'impression d'être un jouet entre ses mains, comme si elle pouvait faire ce qu'elle voulait de moi, ce qui est probablement vrai. Et même si je tiens beaucoup a mon indépendance, je crois que pour elle, je pourrais tout de suite l'abandonner sur la route. J'embrassais une dernière fois sa nuque en soupirant doucement, les yeux fermés, m'imprégnant de sa présence avec ferveur. Et alors en la serrant contre moi, j'entrais avec douceur en elle. Et c'est alors que je découvrais ce qu'était faire l'amour. Enfin,que je comprenais le sens entier de cette expression. Ce n'était pas qu'un acte charnel, c'était une concrétisation de tous nos sentiments en un seul mouvement. Une fusion, de nos corps, de nos esprits, de nos âmes, c'est ainsi que je le ressentais. J'étais complètement désarmé d'un coup, par toute cette intimité que je découvrais maintenant, autrement plus marquante que toutes les relations que j'avais eu avant. C'était une sorte de nouvelle naissance maintenant. Et je crois que jamais je ne l'oublierais.

    Une fois nos deux corps liés, je l'embrassais doucement , sans jeux, une démonstration d'amour pur car l'intensité de ce moment ne me permettait pas de jouer. Elle était mienne, j'étais a elle, nous nous appartenions, tout comme cet instant. Nos lèvres toujours liées, je commençais doucement a bouger le bassin, appréciant chacune des secondes que nous passions l'un contre l'autre. Je soupirais en la regardant droit dans les yeux, j'étais si heureux, si chanceux de l'avoir pour moi ... J'en aurais pleuré de joie. Recommençant a l'embrasser, je caressais ses joues sans arrêter mon mouvement de va et vient. Je crois que c'est pour ça que je n'ai jamais apprécié les histoires d'amour, c'est parce que je n'avais jamais connu quelque chose d'aussi intense jusqu'a maintenant. Voila ce que c'était, l'amour, le véritable, l'inconditionnel.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 1 Mai - 16:10



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Ma vie n'avait plus aucun sens, maintenant que je me retrouvais dans les bras de celui que j'aimais. Cette phrase pouvait avoir l’air tellement idiote quand on la regardait comme ça, mais c’était bel et bien vrai ! Si j’avais eut des doutes auparavant quant à l’amour qu’il pouvait éprouver pour moi, et si j’avais moi-même éprouver des doutes quant à l’amour que j’éprouvais pour lui… maintenant tout était clair et je n’avais certainement pas besoin de suivre un cours de divination pour le comprendre. Il y a des signes qui ne trompent pas, lorsque l’on tombe en amour. Lorsque je posais mes yeux sur Alexander, je sentais chaque parcelle de mon corps vibrer au rythme des battements de son cœur, mon cœur accélérait lorsqu’il me faisait un petit sourire durant les cours ou bien lorsqu’il murmurait à mon oreille lorsqu’il passait tout près de moi. Je me sentais prête à perdre conscience lorsqu’il effleurait ma main, lorsque je lui glissais un petit mot doux lors des cours où nous étions assis l’un près de l’autre. J’étais, maintenant et à jamais, complètement sous le charme et amoureuse à en perdre la tête d’Alexandre Bright.

Il m’avait entre ses mains et j’avais l’impression qu’il était la raison pour laquelle mon cœur continuait de battre et pour laquelle j’arrivais toujours à respirer. Il était devenu ma seule raison de vivre, il arrivait à me faire sentir vivante. Son souffle contre ma nuque faisait naître des papillons dans mon bas ventre, sensation que je ne connaissais pas, mais qui était vraiment loin d’être désagréable. C’est alors qu’il me serra contre lui et qu’il entra en moi, me faisant par la même occasion perdre le souffle et la raison. Je venais de perdre la tête et je n’arrivais tout simplement plus à comprendre comment fonctionnait chaque partie de mon corps… pour la simple et bonne raison que je n’étais plus maitresse de mes mouvements. Je n’avais plus le contrôle sur rien, mis à part ma tête, qui me dictait de ne pas quitter le regard bleuté de mon amant, chose que je fis en plongeant mes yeux bruns dans les siens. Je sentais que quelque chose de fort venait maintenant de s’établir entre nous, qu’un lien indestructible me liait maintenant à lui. J’étais sienne à jamais et je mourrais en n’aimant que lui.

Le baiser qu’il déposa sur mes lèvres me fit frémir et je commençais à descendre mes mains le long de son dos, pour me remémorer chaque partie de son corps lorsque je serais seule dans mon dortoir. Il soupirait et mes soupirs se mélangèrent rapidement au sien, aillant de la difficulté à retrouver mon souffle déjà perdu auparavant. Je n’avais pas mal, loin de là, ressentant une douce chaleur en moi qui me faisant me sentir bien et aussi vivante que je pouvais l’être. Je capturais ses lèvres, l’encourageant ainsi à continuer, les mordillant doucement pour ne pas lui faire de mal. Je voulais que ce moment soit magique pour lui, tout comme pour moi… et il le serait assurément !
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMar 1 Mai - 17:42



Dans le plus simple appareil / ALEXANDER&AUTUMN

Je perdais complètement le contrôle maintenant. A vrai dire, je crois que j'avais perdu tout contrôle dès que j'avais donné mon coeur a cette jeune fille contre moi. Je n'avais plus aucun droit sur moi, elle tenait les rênes de ma vie, je ne m'en rendais compte que maintenant. Et ça ne me dérangeais absolument pas. Je ne pourrais pas me passer d'elle dorénavant, alors si je devais lui confier le contrôle de tout mon être, je le ferais sans hésitation. Je me sentais si bien prisonnier de ses bras... J'étais devenu accro, dès le premier essai. Je reconnais que c'est plutôt cliché, mais elle était devenue une addiction, chacune des parcelles de son corps, chaque mot qu'elle prononçait me rendait de plus en plus dépendant. Moi qui croyait qu'il fallait me méfier des drogues, j'étais accro a la plus douce et meurtrière d'entre elles. Je devais être masochiste au fond, pour m'attacher sentimentalement a quelqu'un qui finalement, pourrait me briser en milles morceaux ... Mais je crois qu'on l'est tous un peu non ? Ca doit être dans la nature humaine ... On était donc destiné a se faire trimballer en laisse par les filles, j'avoue que cette révélation blesse mon égo, mais bon, ça vaut le coup je crois.

Une fois nos corps liés, je me sentais comme sur une autre planète. A vrai dire, je crois que je ne pourrais pas me sentir sur terre tant qu'elle sera a mes côtés. Sa présence me fait quitter la terre ferme ... Tout se mélangeait dans ma tête, les sensations, les souvenirs, les soupirs , son visage, tout . Je n'étais plus moi même, j'étais un être issu de la fusion de deux âmes parfaitement ajustées. Les gémissement de ma petite amie me ramenaient doucement a la raison et je commençais a accélérer mes mouvements de hanches tout en l'embrassant passionnément. C'était plus que du sexe, c'était une nouvelle façon de vivre. Nos lèvres étaient scellées , nos corps aussi et je continuais a accélérer, collant mon ventre au sien et regardant dans ses yeux si profonds. Je poussais un long soupir en glissant mes mains dans les siennes, tandis que mes hanches continuaient de bouger. Lorsqu'elle me mordit les lèvres, mon coeur manqua un nouveau battement mais a vrai dire, je ne m'en inquiétais pas. Je me mis a jouer aussi, mordillant sa langue, ses lèvres puis faisant glisser ma bouche le long de sa mâchoire. Mordillant chaque parcelle de sa peau, je m'amusais a la faire trembler gémir, je sentais que je lui faisais perdre la tête autant qu'elle me faisait perdre la mienne. Je sentais l'effet que je lui faisais et je jouais avec ça, décidant de pimenter un petit peu notre acte d'amour. Je me mis a mordiller son oreille, puis son cou. Lorsque je revins a son oreille , ce fut pour murmurer d'une voix rauque.

Je t'aime tellement Autumn...

Puis je me remis a l'embrasser, continuant mes coups de reins, de plus en plus vite en me serrant contre elle. Notre valse d'amour devenait tango endiablé petit a petit, je me sentais fort et faible a la fois et j'adorais ça.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeMer 2 Mai - 14:39



Dans le plus simple appareil / ALEXANDER&AUTUMN

Il ne pouvait tout simplement pas imaginer comment je me sentais, maintenant, ici, avec lui. Je n’avais jamais aussi près de lui, aussi près de personne d’autre. Bon, je ne peux tout de même pas dire que je ne l’avais jamais fait, puisque se serait tout simplement un mensonge… mais jamais mon corps n’avait ressentie autant d’émotions et de satisfaction qu’entre les bras d’Alexander. Jamais un homme ne m’avait fait me sentir aussi femme et je savais qu’aucun autre après lui ne pourrait réussir cet exploit. J’étais sienne pour le reste de ma vie et il pourrait me briser à tout jamais en me disant que plus jamais il ne voudrait poser ses yeux d’un bleu si pur sur moi. Si ce moment devait arriver, alors qu’on m’enferme immédiatement à Azkaban, puisque je deviendrais aussi loque humaine que lorsque les détraqueurs passent sur le corps de leur victime. Je ne pourrais plus jamais supporter qu’une autre femme dépose ses lèvres sur les sienne, lui sourient et qu’il lui sourie en retour. Se serait le meilleur moyen de me tuer, de me détruire à tout jamais, puisque je ne vivais que pour lui depuis notre premier baiser, depuis que je comprenais que je pouvais vivre enfin l’amour entre les bras d’un homme sans en avoir honte.

Maintenant qu’il était en moi, je commençais à prendre goût à ce que certaines personnes devaient appelés, le septième ciel. De moins, si je n’y étais pas encore, probablement que je finirais par m’y rendre ! Tout pour dire que ses caresses, ses baisers et chacun de ses mouvements arrivaient à me faire perdre la tête et qu’il n’en fallait pas plus pour que j’ai l’impression d’avoir perdu la raison. Alors qu’il soupirait, ses mains se glissèrent dans les miennes et je les serrais fort, tournant ma tête un moment pour y déposer un petit baiser, comme un souffle. Ses lèvres retrouvèrent rapidement les miennes et j’entrepris de les mordiller avec affection. Ses mouvements ne cessèrent pas et, je crois bien que s’il l’avait fait, j’aurais grogné pour lui montrer mon déplaisir. Il commença à mordiller ma langue, embrassant chaque parcelle de mon visage, commençant par ma mâchoire et mordiller chaque parcelle de ma peau qu’il pouvait mordre. Je frissonnais de plaisir et, se fut plus fort que moi, je me cabrai légèrement en soupirant de bien-être. Qu’est-ce qu’il pouvait me faire de l’effet, celui-là ! Mais, puisque je n’étais pas le genre de fille à recevoir sans donner, j’allais finir par prendre mon tour et lui donner moi-même un peu de plaisir. Seulement, au moment où j’allais me mettre à l’action, sa voix douce et rauque se fit entendre à mon oreille et il me dit qu’il m’aimait tellement. Se fut le noir complet dans mon esprit, si bien que j’aurais eut de la difficulté à lui parler si je ne mettais pas moi-même remis du choc. Après tout… ses paroles voulaient dire tellement pour moi, plus qu’il ne l’imaginait, surtout dans un moment comme celui-ci. Je me soulevais légèrement, juste assez pour ne pas déranger notre plaisir et pouvoir avoir accès à son cou, que je mordillais doucement. Rendu tout près de son oreille, je passais ma langue sur son lobe et lui murmurait, d’une voix qui ne laissait aucune illusion sur le plaisir qui m’habitait et l’envie que je ressentais :

Et moi je t’aime d’un amour que tu ne peux même pas imaginer.

Puis nos mouvements devinrent plus rapides, comme si nous étions avides de connaître plus intimement l'autre, comme si le temps nous manquait, alors que nous avions toute notre vie devant nous.
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeDim 20 Mai - 9:05

    Nouvelle découverte, nouveau corps a parcourir, j'en avais eu tellement avant et aucun ne me paraissait rendre justice a cette image de la perfection féminine que je tenais dans mes bras. Si nous avions fait ça plus tôt, elle aurait été un trophée de plus, maintenant je savais qu'elle était celle qui me fallait pour toute la vie. La concrétisation de notre relation était parfaite, comme si après l'épreuve que nosu venions de traverser était une manière de tester nos sentiments pour finalement atteindre le Nirvana. Les détraqueurs avaient voulu prendre nos âmes et maintenant nous étions en train de fusionner nos esprits, sauvés, heureux comme jamais.

    Maintenant que nos corps étaient scellés, je me sentais enfin complet. Comme si nous n'étions destinés qu'a ça, ma vie avant elle n'était qu'un prélude a cet acte charnel. Les lèvres d'Autumn embrassaient mes mains puis mordillaient mes propres lèvres quand je l'embrassais, c'était un ballet sensuel, un ballet de deux corps ensemble, le Lac des cygnes version duo. Alors que je laissait ma bouche parcourir sa machoire elle se cambra, collant son ventre au mien et je ne pus retenir un gémissement de plaisir. Excité par ce geste, je continuais mes mouvements en soupirant tandis que je descendais mes lèvres le long de son cou. L'odeur de sa peau me rendait ivre de plaisir, tout comme ses caresses et ses baisers. Lorsque je lui avais murmuré que je l'aimais, elle s'était mise a m'embrasser le cou, puis m'avait murmuré a l'oreille qu'elle m'aimait aussi, plus que je ne pouvais imaginer. J'avais envie de lui dire qu'elle se trompait, qu'elle était la première que j'aimais autant. Qu'elle était celle avec qui je voulais faire ma vie, que je voulais épouser, avec qui j'aimerais fonder une famille. Mais ce n'était pas le bon moment, il me fallait attendre. Mais je ne pus me retenir de lui répondre doucement.

    A tout jamais, mon amour, a tout jamais.

    Nos mouvements s'accéléraient petit a petit, devenant mille fois plus passionnés a chaque secondes. Je me mis a nous faire rouler sur le lit, puis me retrouvant a nouveau au dessus d'elle, ma bouche fondit sur la sienne tandis que je continuais mes vigoureux mouvements de reins. J'avais envie de lui crier "Je t'aime" , j'en mourrais d'envie mais je me sentais trop faible pour ça, bien que je puisse encore accélerer. Mais je n'osais pas, je ne voulais pas interrompre le silence que seuls perturbaient nos baisers, nos soupirs et nos gémissements. Je caressais le côté de ses seins puis glissa mon bras sous son dos en la soulevant pour la coller doucement a moi. J'enfouis alors ma tête dans son cou, mordillant chaques parcelles de peau que je pouvais trouver a portée de mes lèvres. Elle et moi, nous étions maintenant complètement unis. Des mèches de ses cheveux chatouillaient mon nez et je ne pus m'empêcher de sourire, mais je continuais de remonter le long de sa gorge pour atteindre sa joue, son autre joue, j'embrassais ses deux yeux puis collais doucement mes lèvres aux siennes.
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O. Axel Deboissy

O. Axel Deboissy

Medicomage à Ste Mangouste


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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitimeVen 13 Juil - 9:55

le rp est il toujours d'actualité?
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MessageSujet: Re: Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Dans le plus simple... appareil ? <Lexou> Icon_minitime

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