Who are you?

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[b]▬ CARACTÈRE : Bailey est une jeune fille très gentille. Trop gentille même. Elle se soucie beaucoup des autres, c'est une fille très attentionnée qui a toujours été présente pour les gens. Elle aime les consoler, les rassurer, donner des conseils et c'est une fille assez sage en soi.
Malheureusement, elle est un peu naïve, maladroite et se laisse facilement avoir mais elle ne se préoccupe pas trop de cela. Elle, tant qu'elle est heureuse, c'est tout ce qui lui importe. Elle n'est pas exigeante, ni capricieuse, elle ne demande pas plus que ce qu'elle reçoit et parfois, elle ne voit pas forcément où est le mal des autres. Elle ne verra pas si on profite d'elle ou non, tout comme elle se rendra pas compte si on la manipule car pour elle, faire le bonheur des autres est sa priorité.
Elle est souriante, elle ne se plaint jamais, ne se met pas en colère, est plutôt crainte mais elle est courageuse et déterminée. Elle n'est pas tout à fait idiote, elle est même intelligente et déductive.

▬ PHYSIQUE : C'est une jolie fille qui n'a rien à envier à personne. Ce qu'il faut déjà savoir, c'est que Bailey n'a pas de complexe physique. Elle n'ira pas jusqu'à se vanter sur son physique mais elle ne se trouve pas moche, juste bien dans sa peau. Elle prend soin d'elle comme la plupart des filles mais pas jusqu'à l'extrême au contraire d'autres qui y tiennent absolument. Elle est plutôt mince, n'a jamais envisagé de régime, mange sainement quoiqu'un peu gourmande à des moments mais elle est bien comme elle est.
Elle est facilement reconnaissable grâce à ses longs cheveux blonds, souvent bouclés légèrement et ses grands yeux clairs dans les tons bleus un peu vert. Elle a un visage doux et expressif, elle est de taille moyenne et s'habille un peu comme tout le monde. Elle ne veut pas forcément paraitre différente, elle met juste ce qui lui plait.
Elle porte sur elle un collier avec la photo de ses deux parents, une photo immobile puisque tous les deux sont moldus et ne s'en sépare jamais, c'est son bien le plus précieux et elle fait toujours très attention de l'avoir sur elle..

▬ Pouvoir : Depuis sa troisième année, Bailey s'est mis dans l'objectif de pouvoir se transformer en un animal. Cela a commencé lorsqu'elle a feuilleter les livres sur la métamorphose et qu'elle est tombée sur la définition de l'animagus. Séduite par l'idée, elle s'est mise à interroger son professeur de métamorphose sur comment devenir animagus soi même et si une personne comme elle avait un jour des chances d'en devenir un. Une fois les réponses acquises, elle s'est mise à réfléchir sur un animal qui lui plairait pour se transformer et lorsque son choix fut porté, elle décida de s'y atteler. On lui avait prévenu que ce sera pas facile, qu'elle allait surement vouloir abandonner au cours de son apprentissage mais elle était plus que déterminer à en être un. Après tout, plus tard, elle voudra être elle même professeur de métamorphose parce qu'elle adore cette matière!
Effectivement, comme elle s'y était attendu, l'entrainement fut rude et surtout très long. Comme tout les animagus, elle avait pas mal souffert physiquement pour parvenir à ses fins mais pas une fois elle n'a voulu abandonner son souhait. Elle voulait se montrer à elle même qu'elle pouvait y arriver et que quoiqu'il arrive, elle irait jusqu'au bout. Ses compétences en métamorphoses l'encourageait que trop bien et ce fut après trois longue années qu'elle réussi à y parvenir.
Depuis peu, Bailey sait se transformer en un lapin nain tout blanc avec une tache noire grisée à son œil gauche, au bout de ses petites oreilles et un peu sur son pelage. => Dùduùù

What's your story?

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Toutes les histoires ont un début, à commencer par la mienne. Elle n’est pas très jolie mais elle n’est pas moche non plus, c’est une simple histoire d’une fille banale telle que je suis.

Je suis née un 14 juin dans la petite ville de Salisbury, au sud de l’Angleterre. Malheureusement pour moi, peu avant ma naissance, mon père fut emporté par une vilaine grippe. Il aurait été sorcier, sans doute aurait-il été sauvé mais mon père était un moldu qui n’a jamais connu ce monde. D’après maman, c’était un homme fort et courageux mais surtout très gentil, qui était très proche des autres. Normal après tout, il était médecin, ce qui est assez paradoxal car il arrivait à sauver des vies mais il n’est pas parvenu à sauver la sienne.
Ce fut donc ma mère qui m’éleva au prix de sa peine. Elle fut une mère très câline et je n’ai jamais eu à me plaindre. Elle avait retrouvé du travail en tant que professeur dans une école ce qui nous permettait de vivre sans trop de difficulté. Elle a toujours représenté la sagesse pour moi parce qu’elle était le seul parent que j’avais. J’avais quelques contacts chaleureux avec ma grand-mère mais peu souvent puisqu’elle vivait encore trop loin alors on ne pouvait pas la voir souvent, malheureusement.

Les premières années de ma vie, je les fit dans une école moldue. Là dessus, j’appris à lire et à écrire comme tous les enfants de mon âge. Je n’ai pas eu beaucoup d’amis, souvent les autres enfants se moquaient de moi et j’étais toujours celle mise à l’écart, malheureusement. Je n’en étais pas fière, surtout attristée mais je ne pouvais rien faire contre la volonté des gens. Je n’ai jamais su pourquoi j’étais mise de côté, il ne me semblait pas avoir fait quelque chose mal. Mais maman me disait que les enfants étaient souvent méchants entre eux et me rassurait en me disant que ça allait, que tout allait bien. Ce n’était peut être pas vrai mais en tout cas, cela m’a redonné plus de force pour aller vers l’avant et je me sentais mieux car je savais que je n’étais pas toute seule.

Lorsque j’atteignis l’âge de onze ans, je reçus une drôle de lettre. Ma mère m’avait félicitée et me disait qu’elle était contente de moi parce que j’allais étudier dan une école de magie. De magie ! Si moi, j’avais su un jour que j’aurais un tel privilège ! Moi, la fille écartée de tous, celle qui était perdue dans la foule et qui ne disait pas un mot par peur d’aggraver sa situation. Mais c’était moi qu’on avait choisi, à condition que je fasse silence et que je n’en parle à personne parce que les autres risqueraient de ne pas me croire.
Ce fut un peu avant le début du mois de Septembre que j’écumais un tout nouveau monde où je fis acquisition d’accessoire divers qui appartenait au monde des sorciers. J’avais l’impression d’être dans un rêve et j’imaginais que cela avait renforcé un peu mon caractère naïf bien que je le suis toujours. Mais j’avais plus confiance en moi. J’avais l’impression d’exister enfin parce que j’allais côtoyer des gens autres que ceux que j’avais connu. Des gens qui seraient sans doute meilleurs.. mais peut être pire. Alors, un peu avant la rentrée, je décidai de commencer à lire quelques bouquins et à faire quelques petits tours de magie, mais trois fois rien.
Onze heure, gare de Londres, je montai à bord du Poudlard Express, un train rouge et noir que j’avais trouvé fantastique ! Cela faisait un peu vieillot mais c’était ce qui rendait la chose encore plus magnifique, j’avais toujours eu une préférence pour les choses à l’allure ancienne. Une fois montée dedans, je cherchais un compartiment où il n’y avait personne. Je finis par en trouver un alors que le train commençait à s’en aller. Ce fut une ou deux heures plus tard que je reçus de la compagnie/
- Excuse moi mais.. tu es toute seule ? me demanda la voix d’un garçon.
Ce fut les premières paroles d’une longue conversation qui suivit par la suite. Ce fut dans ce train, dans ce compartiment là que je fis la connaissance d’Isaac Redflied .

Nous devînmes de très bons amis lui et moi. D’ailleurs, à la sortie du train, je l’avais suivi et c’était avec lui que je pris la barque pour aller jusqu’à l’école. Nous restâmes ensemble jusqu’à notre cérémonie de répartition où nous fumes malheureusement séparés : lui à Gryffondor, moi à Poufsouffle. Néanmoins, ce n’était pas cette différence de maison qui détruisit notre amitié naissante. Les jours, semaines, mois et années qui suivirent, nous nous retrouvions dès que possible parce qu’il était une sorte de lumière pour moi. D’ailleurs l’été, je l’invitais à passer les vacances avec moi pour ne pas être seule et mais surtout parce que j’appréciais que trop bien sa présence avec moi.
Malheureusement, lors de ma sixième année, j’appris que ma mère décéda à son tour d’un accident de voiture et qu’elle avait été vidée de son sang avant que les secours n’arrivent, ce qui l’avait empêchée d’être sauvée. Le monde s’était soudainement écroulé, me retrouvant orpheline et pourtant, je fis tout mon possible pour intérioriser ma tristesse. Je gardais la tête haute, en me disant que quelque part là haut, ma mère était là pour veiller sur moi et qu’il fallait que je sois courageuse pour affronter le vie toute seule, même si à présent, c’était chez ma grand-mère que je me recueillais durant les vacances.
En somme, je suis plutôt une bonne élève. Je ne suis pas d’une brillance extrême mais je ramène plutôt de bonne notes, surtout en métamorphose qui est ma matière préférée. Je n’ai pas trop de difficulté ni même de branche que j’aime le moins car je me dis que quelque part, j’ai de la chance d’avoir l’opportunité d’apprendre la magie…

PRÉNOM : Tùtiù! SURNOM : Tùtù! AGE : 21 SEXE : F COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : en sortant d'un terrier de lapin ♥ FRÉQUENCE DE CONNEXION : souvent à priori QUELQUE CHOSE A AJOUTER? : Wuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuudùùùùdùùùùùùùùùù!!!!!