e. Morwenna Brycham

  « mademoiselle. »       ♣ ♦ ♠ ♥ ♣ ♦ ♠ ♥   feat. Rachel McAdams

ϟ Âge: Trente-deux ans. ϟ Date de naissance: Trois Novembre. ϟ Lieu de naissance: Londres, Angleterre. ϟ Origines: Britanniques (père), tziganes/gitanes (mère). ϟ Groupe: Ministère de la magie (employée au service des usages abusifs de la magie ainsi que membre du magenmagot). ϟ Ascendance: Née pure. ϟ Baguette magique: Bois de saule, larme de sirène, 25.6 cm, souple et rapide (excellente pour les enchantements). ϟ Patronus: Faucon pèlerin. ϟ Epouventard: De gigantesques flammes qui l'encercle et l'asphyxie (pyrophobe). ϟ Capacité: Don d'empathie (capacité de ressentir les émotions de quelqu'un d'autre).

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Don d’empathie  ― «L'empathie est une vertu publique obligée alors que l'indifférence est un vice privé.»
Description contée sous forme d'une histoire a la première personne.
Traversant les générations de la famille Brycham, le don d'empathie perdure et se transmet de mères en filles depuis la nuit des temps. Les premiers « symptômes » bien qu'ils fussent évidents firent leurs apparition à l'âge de quatre ans environ, ce qui était parfaitement normale dans cette famille. La chose perturba beaucoup mon enfance et pour mon propre bien-être je me devais de rester à l'écart des autres, loin de toutes formes de vie ayant des capacités émotionnelles hormis les miens. Plongée dans la plus terrifiante des solitudes, n’ayant qu'une très faible vie sociale ne côtoyant personne sauf ma défunte mère qui s'occupée de me faire réciter mes cours je cru à plusieurs reprises devenir folle et l'envie de m'enfuir me submergée presque à chaque fois que je me retrouvée seule.
Ma mène hélas, ne pu peaufiner cet apprentissage que jusqu'à mes six ans, avant que ses monstres de mangemorts ne viennent prendre sa vie en même temps que celle de mon père.
Au fur et à mesure des années, cette soit disant «malédiction» s'avéra être très utile afin de savoir ce que réellement les gens pouvaient ressentir envers moi et aujourd'hui je vis parfaitement bien avec et m'en tire à merveille.

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Caractère  ― «Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère.»
Femme déterminée qui ne se laisse jamais détourner du chemin qu'elle choisit, Morwenna n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds et déteste par dessus tout les hypocrites, les menteurs, les gens qui se croient meilleurs que les autres et ceux qui disent qu'une femme n'est pas capable de faire le travail d'un homme aussi bien. Quand elle s'énerve mieux vaut ne pas se trouver sur sa route car elle n'est pas du genre à piquer la moitié d'une colère surtout quand s'est plus que justifié. Courageuse, elle n'a pas peur d'aller au devant de situations parfois périlleuses ou même de monter en première ligne quand les combats font rage. Débrouillarde, elle est de ceux qui savent faire de grandes choses avec peu "d'accessoires", c'est un peu la Reine du Système D. Sympathique, les gens viennent naturellement se confier à elle mais en revanche, elle n'aime pas vraiment parler d'elle, ce n'est pas un sujet qui l'interpèle lors d'une conversation. Dynamique, elle peut-être parfois un peu considérée comme une "timbrée" ce qui la fait beaucoup rire et si certains la traite de folle, elle ne fait jamais rien pour le démentir. Elle se moque bien de ce que les gens peuvent penser d'elle. D'un autre côté, si les critiques atteignent son entourage de plus ou moins près, mieux vaut se ranger car elle défendra ses protégés jusqu'au bout même s'il faut user de la violence ou des menaces.

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Physique  ― «Ce sont toujours les mochetés qui critiquent le physique des autres mochetés.»
Morwenna est quelqu'un -selon elle- de tout à fait banale point de vue physique. Rien de très flagrant, pas de piercing ou de tatouages ni aucune colorations farfelues. 100% naturelle.
De magnifiques cheveux d'un brun éclatant -passant roux au soleil- le plus souvent attachés afin qu'ils ne viennent lui obstruer la vue, orne son crâne. Cheveux qui s'associent aux deux noisettes qui lui servent d'yeux. Marrons eux aussi il abordent le regard d'une personne sensible, compréhensible et endurcie. Il est facile de s'y perdre ou de s'y noyer alors prenez garde messieurs, dames car la douce Morwenna vous laissera y plonger la tête la première -ils sont ses armes principales en matière de dissuasion et de manipulation-
Un corps très fin et très élancé. Une élégance naturelle dans sa démarche et les postures qu'elle utilisent tout au long de ses journées.
Bien qu'elle ne possède pas les atouts requis afin de se lancer dans une carrière de mannequin, Morwenna demeure cependant une belle femme et ceci en partie grâce à cette classe et élégance qu'elle possède. N'étant pas stupide elle sait comment mettre ses quelques atouts en valeurs et n'hésite pas à le faire en cas de besoin ou tout simplement pour plaire à quelqu'un qui lui tient à cœur et/ou qui lui plait.

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Histoire  ― «Chaque biographie est une histoire universelle.»
Récit sous forme d'une histoire contée a la première personne.
Morwenna -comme beaucoup d'autres enfants- est le nom que mes parents me donnèrent à la naissance. Née d'une tzigane et d'un honnête citoyen britannique les temps passés auprès d'eux furent loin d'être désagréables et mon début de vie en générale ne fut pas le plus à plaindre. Mes parents me furent arrachés très tôt, à l'aube de mes six ans, tués pour avoir défendus mon aîné à l'époque mangemort contre ses propres confrères. N'ayant guère le choix, se sentant obligé de se faire pardonner auprès de l'âme de nos parents, il me pris sous sa coupe et nous partîmes nous réfugier en Espagne, chez la branche «gitane» de la famille. Malheureusement, au bout de quelques années, des mangemorts revint afin de le prendre de nouveau. Il n'essaya même pas de se défendre, visiblement heureux que ses anciens camarades aient de nouveau besoin de ses services et aussitôt enrôlé, ils disparurent ensembles dans un nuage de fumée noire.
C'est la dernière fois que nos regards se croisèrent, la dernière fois que j'eus l’occasion de revoir mon frère ailleurs que sous les verrous de la prison d'Azkaban. Accablée de honte et totalement dépitée par la voie que l'aîné de la famille avait choisit d'emprunter, mes pas se tournèrent alors vers la politique magique. Ayant été scolarisé dans des écoles moldues depuis mon arrivée en Espagne, je fus choquée les premiers temps de mon entrée dans une école de sorcellerie et mis quelques mois avant de me familiarisé avec ses nouvelles choses, toutes aussi curieuses et invraisemblables les unes que les autres. Dotée du gêne porteur des femmes de la famille, le don d'empathie fut d'une grande utilité lors de mes premières semaines à l'école magique. Si vous saviez le nombre de mauvaises personnes qui se disent êtres vos amis que l'on rencontre là-bas .. Bref. J'appris énormément sur les gens avec cette capacité, aussi il fut simple pour moi de trouver rapidement des personnes dignes de confiance que ce soit autant dans le personnel que dans les élèves.
Excellente élève, studieuse, dynamique et acharnée mes notes restèrent correct tout au long de mes années d'études et aussi une fois arrivée à l'examen, personne ne fut surpris que je le décroche avec autant de facilités. Première dans ma promotion aussitôt le diplôme en ma possession et après avoir mis un peu d'argent de côté je décida de prendre le large afin de voyager au quatre coins du monde, là où le vent m'emporterais.
Pendant cinq longues années je sillonna le monde de parts et d'autres de ses contrées, rencontrant de nouvelles cultures, apprenant de nouvelles coutumes, de nouvelles langues faisant des rencontres toutes aussi splendides les unes que les autres. Je passa des moments fabuleux et inoubliables, mettant de côté mes projets professionnels afin d'avant tout me faire plaisir.
C'est à contre-cœur que je rentra à Londres, suite à une lettre plus qu'inquiétante venant de la part de mon frère qui se disant en danger de mort. Je n'avais pas eu de nouvelles depuis très longtemps et y réfléchis à deux-fois avant de prendre la décision de lui porter secours. Après tout, il est quand même mon frère et aussi pourri soit-il, il aurait -sans doute- fait de même pour moi, j'en suis certaine.
Pendant quelques semaines je me mis à la recherche de mon aîné, malheureusement il restait introuvable. Comment retrouvé quelqu'un après tant de temps passé dans une ville comme Londres ... ? C'était comme chercher une aiguille dans une meule de foin. Je ne fus cependant pas découragée et repris mes recherches de plus belle, me souvenant des amis que nous avions dans les alentours, reprenant de se fait contact avec des gens que j'avais perdu de vue depuis très longtemps.
C'est après trois mois de recherches que je parvins enfin à retrouvé mon frère, ou plutôt c'est lui qui me retrouva, au cimetière, devant la tombe de nos parents. Il faisait peur à voir, il avait affreusement maigrit depuis la dernière fois que je l'avais vu dans par la fenêtre d'un café miteux de Londres, visiblement son séjour en prison l'avait beaucoup abîmé autant sur le point physique que pour le point moral et émotionnel, aussi lorsqu'il me pris dans ses bras il éclata en sanglots.
Nous rentrâmes et il m'expliqua les ennuis qu'il avait rencontrés depuis sa sortie d'Azkaban. Le seigneur des ténèbres voulait qu'il rentre de nouveau dans les rangs, étant un très bon et vaillant élément, le mangemort n'était pas d'accord que Valken (mon frère) « fasse le mur » et disparaisse si facilement aussi il organisa plusieurs battues afin de lui mettre le grappin dessus.
Il passa plus de trois heures à me raconté le tout en détails, pourquoi il avait décidé de se rendre aux forces de l'ordre du monde magique, et ce qui l'avait poussé à tirer définitivement un trait sur le maître des ténèbres et les mangemorts.
Persuadée qu'il allait repartir avec les mangemorts, je n’accepta -dans un premier temps- pas de l'aider et repris le cours de ma vie normalement. Cherchant un emploi au ministère de la magie. Mais trois jours après à peine la visite de mon frère qu'une bande de mangemorts força l'entrée de chez moi et détruit une bonne partie de la maison de mes défunts parents, une aubaine que je n'y été pas. Aussi, lorsque je revis Valken au cimetière j'accepta de lui venir en aide et de le cacher jusqu'à ce que le maître des ténèbres l'oubli et que l'affaire se tasse un peu.
Récemment, j'ai reçu une proposition d'emploi au ministère de la magique en tant qu'employée au service des usages abusifs de la magie ainsi que membre de la cour de justice magique. Bien évidement je sauta sur l'occasion et accepta l'offre entrant ainsi au ministère de la magie.

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ϟ Prénom ou Pseudonyme: Anya-Galla. ϟ Surnom(s): Nyanya, Fraise, Fraisouille. ϟ Âge: À l’abordage de la vingtaine. ϟ Comment ai-je connu le forum: Ancienne membrette. (Rony, Calypso, Lyudmila, etc ..) Double-compte d'Etain le demi-poney. ^^ ϟ Fréquence de connexion: Minimum Samedi & Dimanche.