Je courrais dans les couloirs parce que j'étais encore en retard. J'avais trop dormi cette nuit du coup je m'étais réveillé en quatrième vitesse, habillé pareillement een quatrième vitesse puis j'étais arrivé tout juste devant la salle essouflé comme une vache me rappelant et ne voyant personne venir. Non ne me dites pas que j'avais cours juste l'heure d'après? Je levais les yeux au ciel. Je m'étais trompé de jour. Je ris de ma bêtise. Contrairement a beaucoup d'autres mes conneries me fesaient rire. Je n'étais pas un Grisham pour rien. Je passais donc l'heure suivante à aller déjeuner puisque je n'en avais pas eu le temps. Je mangeais un bon petit déjeuner gros gouffre que j'étais. Je ne vis pas ma jumelle et me demandais ce qu'elle avait en ce moment. C'était moi ou elle m'évitait? Je n'aimais pas cette sensation.
Toujours est-il que je partis finalement en cours. La journée fut assez cool et je croisais quelques amis par ci par là et profitais pour raconter quelques blagues et quelques histoires qui m'étaient arrivées parce que j'en vivais des choses incroyables. Disons que j'avais juste toujours quelques chose à raconter. Donc la journée se déroula paisiblement et sans encombre. A la fin de cette journée j'avais prévu d'aller à la bibliothèque avec une bande d'amis. On s'y rendis donc et là j'y aperçus ma jumelle en plein travaille. Je souris parce que je ne l'avais pas vu de la journée. C'est donc à pas de loup que je me dirigeais vers elle disant aux autres que je les reverrais tout à l'heure. Je me glissais jusqu'a elle silencieusement mon but étant de lui faire peurr. Puis je dis à haute voix espérant la faire sursauter.

"Alors c'est ici que tu te cache jumelle!?"

J'eus le droit a un chut provenant de la jolie bibliothècaire. Je lui lançais un regard d'excuse et m'assis face à ma soeur. Elle avait l'air bien pensive. Je me demandais ce qui la tracassait. Avec mon chic habituelle je ne t'ardais pas à lui demander:

"Y a quelque chose qui va pas on dirait t'a l'air d'un strongulot qu'on s'appreterait à abattre."

J'avais l'impression que depuis quelques semaines Laetitia était introuvable. J'avais eu beau chercher partout elle n'était jamais disponible. Je soupçonnais qu'elle me cachait quelque chose et son air me l'indiquait clairement. J'étais très fort pour deviner les choses de plus nous avions quelque chose en commun étant jumeaux j'arrivais parfois à ressentir si elle allait bien où pas. La suite de ces paroles ne me confortèrent pas dans l'idée que j'avais et m'inquiétèrent même de ce qui se passait. Je la trouvait très évasif. Elle devait penser à autre chose et j'étais sûr qu'elle avait quelque chose à me dire. D'ailleurs j'avais aussi quelque chose à lui dire il serait tant de lui avouer que je sortais avec une prof.

«Je vois … tu as quelque chose à me dire c'est ça? Je connais trop bien ton petit air soit tu me cache quelque chose soit tu as fait une bêtise dans les deux dis le moi parce que moi aussi j'ai un truc à te raconter.»

Je gardais mon sourire et ma bonne humeur. Quoi que cela fut ça n'avait pas l'air d'être dramatique enfin jusqu'à ce qu'elle me parle de vérité. Je me sentis un peu mal parce que j'avais l'impression que ces paroles me désignait et qu'elle était par je ne sais quel moyen au courant de ce que je vivais. Totalement désorientée par ces mots je finis par la regarder et m'avouer vaincu. Si elle était au courant ce serait plus simple pour moi de la vérité.

«T'es au courant … je ne sais pas comment j'allais te le dire mais je t'assure que j'allais le faire.»

Ce qui me turlupinait c'était de savoir comment elle l'avait su. J'étais vraiment persuadé qu'elle savait et je ne pensais pas que ce n'était pas de moi qu'il s'agissait. De nous deux j'avais toujours trouvé le moyen pour me mettre dans des histoires pas possibles alors je ne voyais vraiment pas ce que ça pouvais être si ce n'est qu'elle savait pour moi et Lilja. Du coup je ne pus m'empêcher de lui demander.

«Comment t'a su?»